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L’honneur perdu d’un compatriote conspirateur – Par Babacar Ndiaye (MALIK)

Il me parait que j’avais bien raison de vous classer dans la 3eme catégorie de la célèbre citation de Confucius: « Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui 3 sortes individus. Ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens, d'autant plus sévères, qu'ils ne font rien du tout. »


Rédigé par leral.net le Jeudi 14 Août 2014 à 12:20 | | 81 commentaire(s)|

L’honneur perdu d’un compatriote conspirateur – Par Babacar Ndiaye (MALIK)
Lorsque m’a habité la pulsion de répondre à votre charabia (le mot est encore clément), j’avais précisé les deux raisons qui justifiaient mon choix : C’était d’abord d’éclairer votre gouverne (si tant est que ça soit possible) et ensuite dénoncer les manipulations d’un régime carrant et malveillant.

Pour cette fois, j’ai pris le parti d’écrire pour deux autres raisons très simples : Vivifier le profond respect que je voue à ceux qui nous lisent et corriger l’erreur que j’ai commise dans la première missive en vous concédant le titre d’intellectuel. Parce qu’un intellectuel ne se débine pas dans le dialogue soutenu, parce qu’un intellectuel ne triche pas. Précisions :

Je jure la main sur le cœur que le texte apporté à ma réponse n’est pas de vous. Il provient de la magnanimité d’un négre de service que vous êtes allé chercher pour vous porter secours. Il ne reflète ni votre style, encore moins vos schèmes de réflexion. Il s’agit là d’une supercherie et d’une malhonnêteté intellectuelle inacceptable et qui ne vous honore point. Il n’est nul besoin d’être un exégète pour s’en rendre compte.

J’invite solennellement nos lecteurs à en prendre connaissance à travers nos deux textes initiaux : Contribution de Moustapha Mbaye : « Que cachent ces mouvements de soutien à Karim Wade? »

Réponse de Babacar Ndiaye du club MALIK : « Des galéjades d'un compatriote dubitatif ».
Mais qu’à cela ne tienne. Je suis capable de comprendre le traumatisme que cette réponse a pu provoquer dans votre métabolisme sentimental au point que vous eussiez besoin d’un cerveau collectif pour faire face

Avec un niveau d’écriture qui frise « toto tape Pathé », la solution ne pouvait venir que du cerveau collectif, c’est à dire de la mutualisation de vos réflexions pour sauver l’honneur. Peine perdue.

Juste un conseil Moustapha. Allez plutôt apprendre à pécher au lieu de toujours happer le poisson qu’on vous tend. Vous n’aurez pas toujours la possibilité de vous faire assister pour soutenir vos débats. Remarque d’un passant

Le seul regret que j’ai, c’est qu’en faisant cela vous avez nettement sali ce débat qui perd dès lors toute son objectivité. Mais, je vous comprends. C’est bien évidemment votre honneur de blogueur apostrophé qui était en jeu

Passée cette précision, il me plait de m’adresser à votre employé(e) du moment pour dire ceci :
Monsieur ou Madame, la remarque que vous me faites avec autant de fierté qu’un gamin qui vient de réussir son premier tour de vélo est tout à fait fausse. Je confirme et vous apprends par la même occasion que la citation citée supra est bien de Confucius (551 - 479 avant JC) et qu’elle a simplement été reprise par Jules Claretie. Je vous invite à affiner votre recherche sur Wikipédia (il y’a pas de honte à cela c’est un excellent outil de travail). Cela vous permettra de « dormir moins bête » …passez-moi l’expression.

Monsieur ou Madame (toujours selon la personne sur qui vous avez jeté votre dévolu).

Il n’y a pas de fautes à « j’y adjoins les hommes … que le votre… » Il s’agit bien ici d’un déterminant possessif. Si on se fie à la règle grammaticale, la relation de connaissance sinon d’appartenance avec la personne est clairement établie …donc.

Retenez ensuite cher(e) Monsieur ou Madame que, dans « je viens de vous conter exactement la métaphore qui illustre du fonctionnement de la CREI», nulle règle grammaticale vérifiable ne corrobore votre argumentaire sinon votre désir ardent de chercher noise. Car, si tant est qu’on est dans la grammaire formelle, rien ne l’interdit. « du » résultant de la contraction entre de+le, alors on peut utiliser « le » dans cette construction tout comme « du ». C’est un choix de langage. La preuve, c’est que le choix du « du » n’altère en rien le sens de la phrase, bien au contraire.

Je ris de vos précisions sur la typographie avec 1, 2 ou 3 points d’exclamation à respecter !!! C’est un détail qui offre la possibilité de montrer l'ampleur de l'étonnement.

Sur l’argumentaire du droit et l’analyse de fond, pour parler de la CREI, je vous renvoie à « Galéjades d’un compatriote dubitatif », ce texte qui vous a manifestement donné le tournis. Il trône pour l’éternité dans les annales du web 2.0

Maintenant cher Moustapha, je vous laisse retourner à l’ombre !!!
Parce que plus jamais vous ne soulèverez ma plume.

A moins que l’administration de Leral.net que je saisis ici solennellement ne daigne organiser un plateau pour qu’on tranche le débat entre vous et nous. Je demande solennellement à ce que ça soit en français pour qu’on sache : de l’écrit à l’oral chez vous.

Babacar NDIAYE
Chargé de communication du Club MALIK (MAcky!!! LIbere Karim)