Il a voulu arrêter cette année, mais Lamine Diack n’a pas pu. Des collègues et des fédérations l’ont convaincu de continuer de présider aux destinées de la Fédération internationale d’Athlétisme. Mission qui prendra fin en 2015. Mais Lamine Diack pense qu’il y a plus important que l’Athlétisme. Son pays, le Sénégal. « Depuis le mois d’avril 2010 à Doha, j’avais dit à mes amis de l’Iaaf : si le Sénégal a besoin de moi, je vous laisse tomber. Le soutien de mon pays est beaucoup plus important », précise-t-il dans une interview avec l’Observateur parcourue par www.Leral.net.
Son mandat à la tête de l’Iaaf va jusqu’en 2015 mais il avertit : « si entre-temps dans mon pays on a besoin de mes services et que les conclusions de la transition doivent déboucher sur la mise en place d’une démocratie digne du Sénégal, je m’engagerai ».
Sur sa candidature, il a promis de convoquer la presse une fois la décision prise mais il fait savoir qu’il reste disponible tout en rappelant que l’avenir du Sénégal est au-dessus de toutes les considérations.
Son mandat à la tête de l’Iaaf va jusqu’en 2015 mais il avertit : « si entre-temps dans mon pays on a besoin de mes services et que les conclusions de la transition doivent déboucher sur la mise en place d’une démocratie digne du Sénégal, je m’engagerai ».
Sur sa candidature, il a promis de convoquer la presse une fois la décision prise mais il fait savoir qu’il reste disponible tout en rappelant que l’avenir du Sénégal est au-dessus de toutes les considérations.