De l’inauguration de la grande mosquée Massalikoul Jinaan, on attendait qu’elle fût un succès. Et c’en fût réellement un. Avec la cerise des retrouvailles entre le Président Macky Sall et son prédécesseur Abdoulaye Wade, sur le gâteau de l’inauguration d’un majestueux bijou religieux et culturel. Et plus tard, comme si une armée de fées déminait le chemin menant vers la concorde nationale, en ces temps d’insécurité à nos frontières, il y a eu la grâce présidentielle pour ouvrir la porte de la liberté à l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall.
Réélection historique en 2019, dès le 1er tour pour un quinquennat. D’incontestables prouesses économiques réussies, assorties de réels impacts sociaux jamais atteints auparavant grâce au Plan Sénégal Emergent (PSE), en dépit de lourds passifs d’une gestion erratique. De bonnes performances macroéconomiques attestées par les Partenaires du développement après évaluation du Plan d’actions prioritaires (PAP1). Les belles et bonnes promesses de l’exploitation future du pétrole et du gaz, éclaircissant davantage l’horizon de l’émergence pour le Sénégal. La liste n’est pas exhaustive. Le Président Macky Sall a tous les atouts pour se parer des habits de la quiétude et tous les atours pour revêtir le diadème d’une force sereine.
Malgré une telle posture qui pouvait l’installer dans une position rassérénée, une droite patience qui pouvait le maintenir, politiquement, dans un «wait and see», le Président Macky Sall qui n’est pas dans la pensée magique, a choisi le pari et le défi de rassembler en convoquant des assises pour un dialogue inclusif. Il travaille la pâte d’une nouvelle page de l’émergence.
Les retrouvailles entre l’actuel Président Macky Sall et l’ancien Président Wade ont été célébrées et magnifiées avec ferveur par la majorité des Sénégalais, comme si chacun d’entre eux attendait, épiait, souhaitait cet instant magique à marbrer dans le livre de notre exaltante aventure démocratique. Cette ferveur qui a enchanté et galvanisé tout le Sénégal épris de paix a eu pour siège sublime la mosquée Massalikou Jinaan, portant le sceau de la volupté de nos diversités unies qui ont toujours cimenté l’exception sénégalaise. Le khalife général des Mourides aura grandement participé à de nouvelles osmoses qui épurent les cœurs des divisions, parfois si factices.
La libération-surprise par grâce présidentielle de l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall a réjoui et doit réjouir tous ceux qui, au fond, sont réfractaires aux versions dégénérées des relations politiques conflictuelles. Les deux événements qui coloniseront encore longtemps les tabloïds, les petits rectangles et les clics, constituent deux initiatives politiques de haute portée qui allient, rallient et relient. Ils ont enfiévré un rêve partagé, un désir ardent d’une résidence commune, pour des milliers et des milliers de Sénégalais qui n’habitent pas les demeures turbulentes et insolentes des réseaux (a)sociaux.
«FAUT QU’CA SAIGNE ! »
Peu porté pour les paroles inflammatoires, le Président Macky Sall, tout en composant avec les inhérentes turbulences démocratiques du pays et les spasmes électoraux qui rythment l’espace politique, joue une symphonie patriotique en plaçant ses actions à la hauteur de son statut de gardien et de garant de la paix sociale et civile. La préservation et l’abnégation dans la construction républicaine et l’impératif de réussir encore et mieux la phase II du PSE, en corrigeant aujourd’hui et sans tarder les erreurs d’hier, commandent et recommandent un climat de quiétude, de sérénité et surtout une volonté d’engager le pays dans la seule voie qui vaille : l’émergence pour tous et avec tous.
Evidemment, comme toujours, les nettoyeurs des écuries d’Augias avec des ventilateurs, ceux s’alimentent au brouet des pensées tristes, pour paraphraser Spinoza, poussent des urticaires. Il leur faut la furie, la fureur, la férocité et la frayeur. Ce sont les rentiers des situations «conflictogènes». Oyez-les donc émettre des chansonnettes rédigées au vieux vinaigre, là où il faut célébrer le feu d’artifice de l’intelligence politique et la lumière d’un avenir constructif à léguer à la postérité.
Essayez-vous à l’exégèse de leurs discours, questionnez leurs soupçons qu’ils abattent comme des certitudes sur l’amnistie, leurs insinuations quant au sort des sanctions pécuniaires infligées à Karim Wade et Khalifa Sall, interrogez leurs dires sur les non-dits de la médiation du khalife général des Mourides, tentez donc d’entrer dans l’intelligence de leurs formules magiques, dépiautez leur lexique, alors vous ne trouvez qu’une seule vulgate : «faut qu’ça saigne ! » Chez ces gens-là, ces spectateurs enragés, le champ politique doit demeurer une corrida dévastatrice, un espace de rhétoriques guerrières. «Faut qu’ça casse !» Pas que ça passe !
Les séismologues politico-médiatiques vont encore y aller à fond la caisse pour annoncer des orages sur la coalition Benno Bokk Yakar. Cinq ans qu’ils prédisent son explosion ! Son implosion. A l’image des «icones de l’économie» aux prédictions et postulats apocalyptiques qui n’ont eu cesse de nous annoncer une crise robuste, un déficit public abyssal, alors même que la croissance économique du pays ne cesse de prendre l’ascenseur de l’émergence. La prudence est devenue une folie. La précaution, une ineptie intellectuelle.
Le peuple sénégalais, dans son écrasante majorité, tout de bon sens, qui n’est pas pris par une fatigue intellectuelle, a réagi pour saluer les initiatives de clémence et d’apaisement du Président de la République Macky Sall. Cela seul compte, car l’essentiel c’est de donner rendez-vous avec l’Histoire. L’épaisse nuit des clameurs fera toujours place à la fluide clarté du jour.
Réélection historique en 2019, dès le 1er tour pour un quinquennat. D’incontestables prouesses économiques réussies, assorties de réels impacts sociaux jamais atteints auparavant grâce au Plan Sénégal Emergent (PSE), en dépit de lourds passifs d’une gestion erratique. De bonnes performances macroéconomiques attestées par les Partenaires du développement après évaluation du Plan d’actions prioritaires (PAP1). Les belles et bonnes promesses de l’exploitation future du pétrole et du gaz, éclaircissant davantage l’horizon de l’émergence pour le Sénégal. La liste n’est pas exhaustive. Le Président Macky Sall a tous les atouts pour se parer des habits de la quiétude et tous les atours pour revêtir le diadème d’une force sereine.
Malgré une telle posture qui pouvait l’installer dans une position rassérénée, une droite patience qui pouvait le maintenir, politiquement, dans un «wait and see», le Président Macky Sall qui n’est pas dans la pensée magique, a choisi le pari et le défi de rassembler en convoquant des assises pour un dialogue inclusif. Il travaille la pâte d’une nouvelle page de l’émergence.
Les retrouvailles entre l’actuel Président Macky Sall et l’ancien Président Wade ont été célébrées et magnifiées avec ferveur par la majorité des Sénégalais, comme si chacun d’entre eux attendait, épiait, souhaitait cet instant magique à marbrer dans le livre de notre exaltante aventure démocratique. Cette ferveur qui a enchanté et galvanisé tout le Sénégal épris de paix a eu pour siège sublime la mosquée Massalikou Jinaan, portant le sceau de la volupté de nos diversités unies qui ont toujours cimenté l’exception sénégalaise. Le khalife général des Mourides aura grandement participé à de nouvelles osmoses qui épurent les cœurs des divisions, parfois si factices.
La libération-surprise par grâce présidentielle de l’ancien maire de Dakar Khalifa Sall a réjoui et doit réjouir tous ceux qui, au fond, sont réfractaires aux versions dégénérées des relations politiques conflictuelles. Les deux événements qui coloniseront encore longtemps les tabloïds, les petits rectangles et les clics, constituent deux initiatives politiques de haute portée qui allient, rallient et relient. Ils ont enfiévré un rêve partagé, un désir ardent d’une résidence commune, pour des milliers et des milliers de Sénégalais qui n’habitent pas les demeures turbulentes et insolentes des réseaux (a)sociaux.
«FAUT QU’CA SAIGNE ! »
Peu porté pour les paroles inflammatoires, le Président Macky Sall, tout en composant avec les inhérentes turbulences démocratiques du pays et les spasmes électoraux qui rythment l’espace politique, joue une symphonie patriotique en plaçant ses actions à la hauteur de son statut de gardien et de garant de la paix sociale et civile. La préservation et l’abnégation dans la construction républicaine et l’impératif de réussir encore et mieux la phase II du PSE, en corrigeant aujourd’hui et sans tarder les erreurs d’hier, commandent et recommandent un climat de quiétude, de sérénité et surtout une volonté d’engager le pays dans la seule voie qui vaille : l’émergence pour tous et avec tous.
Evidemment, comme toujours, les nettoyeurs des écuries d’Augias avec des ventilateurs, ceux s’alimentent au brouet des pensées tristes, pour paraphraser Spinoza, poussent des urticaires. Il leur faut la furie, la fureur, la férocité et la frayeur. Ce sont les rentiers des situations «conflictogènes». Oyez-les donc émettre des chansonnettes rédigées au vieux vinaigre, là où il faut célébrer le feu d’artifice de l’intelligence politique et la lumière d’un avenir constructif à léguer à la postérité.
Essayez-vous à l’exégèse de leurs discours, questionnez leurs soupçons qu’ils abattent comme des certitudes sur l’amnistie, leurs insinuations quant au sort des sanctions pécuniaires infligées à Karim Wade et Khalifa Sall, interrogez leurs dires sur les non-dits de la médiation du khalife général des Mourides, tentez donc d’entrer dans l’intelligence de leurs formules magiques, dépiautez leur lexique, alors vous ne trouvez qu’une seule vulgate : «faut qu’ça saigne ! » Chez ces gens-là, ces spectateurs enragés, le champ politique doit demeurer une corrida dévastatrice, un espace de rhétoriques guerrières. «Faut qu’ça casse !» Pas que ça passe !
Les séismologues politico-médiatiques vont encore y aller à fond la caisse pour annoncer des orages sur la coalition Benno Bokk Yakar. Cinq ans qu’ils prédisent son explosion ! Son implosion. A l’image des «icones de l’économie» aux prédictions et postulats apocalyptiques qui n’ont eu cesse de nous annoncer une crise robuste, un déficit public abyssal, alors même que la croissance économique du pays ne cesse de prendre l’ascenseur de l’émergence. La prudence est devenue une folie. La précaution, une ineptie intellectuelle.
Le peuple sénégalais, dans son écrasante majorité, tout de bon sens, qui n’est pas pris par une fatigue intellectuelle, a réagi pour saluer les initiatives de clémence et d’apaisement du Président de la République Macky Sall. Cela seul compte, car l’essentiel c’est de donner rendez-vous avec l’Histoire. L’épaisse nuit des clameurs fera toujours place à la fluide clarté du jour.