Je suis d'autant plus convaincu de la proximité de ce jour que j'ai peu envie de me mettre dans la veste que tu porteras lors de cette heure de vérité. Comprends donc que mon attitude aujourd’hui est à l'image de celle de beaucoup de sénégalais encore fiers et dignes de leur pays. Ce qui n'est plus ton cas depuis que tu t'es avilit au mépris du peuple sénégalais aujourd'hui flagellé et outré par ton père d'emprunt avec lequel hélas, vous multipliez les parallélismes dans l'usage de la manipulation et de la diversion comme fer de lance de votre démarche politique.
Lui, ton père de circonstance devenu depuis le 19 Mars 2000 un monarque inféodé au luxe, a finit de tromper le peuple sénégalais y compris toi-même qu'il tient en otage, puisque tu ne peux plus te libérer des mailles du filet qui protège son cercle vicieux axé autour de sa famille et les rapports affligeants que tous les deux vous entretenez avec l'argent, le chantage et le mensonge.
Aujourd'hui Idy, tu es devenu prisonnier de ta personnalité lugubre et ambiguë mais aussi de ta nature versatile et suptile. Ce sont là des vices que tu as érigés en style de jeu politique en refusant de te rendre compte que les patriotes sénégalais honnissent et rendent toujours la pièce de leur monnaie à ceux qui en font l'usage. Je parie qu'ils n'attendent que le moment opportun pour vous remettre tous les deux à la place que vous tardez à rejoindre puisque Wade et toi pensez à tort dompter à jamais ce peuple qui vous a portés au pouvoir il y a neuf ans. Ce moment venu, je me ferai l'insigne honneur de te rappeler que je t'en avais averti au cyber campus de Thiès. Etant à l'époque l'un des responsables de Rewmi aspirant à un siège au conseil municipal de Saly Portudal, j'avais versé ma caution de 50 000 F. Ce qui m'avait donné le droit de te rencontrer au dit cyber campus en même temps que les autres aspirants à l'échelle national pour le parti. T'en souviens-tu? M'insurgeant alors contre ton comportement à la limite du dédain pour tes militants de base et ta démarche politique obscure, je t'avais rappelé que ce sont les sénégalais qui donnent le pouvoir et non Karim Wade, son père et leur cohorte. Je réalise que ma mise en garde n'a servi à rien puisque tu t'obstines à nager à contre courant des aspirations de mes compatriotes dont la plupart étaient prêts à donner leur vie en échange de ta liberté alors que tu profitais d'une retraite sabbatique forcée à Rebeuss.
Parlons un peu de ces Sénégalais parmi lesquels un certain Bara Tall. Cet homme, son entreprise et les centaines de familles qui en dépendent vivent les périodes les plus sombres de leur histoire depuis que Mr Tall en bon musulman s'est opposé à la machination machiavélique contre ta personne sous le masque de ce qui a été appelé à l'époque l'affaire des chantiers de Thiès. Bara Tall en a payé le prix fort de sa liberté et continue encore de subir les coups bas de ton père d'emprunt, le parrain Wade et ses acolytes. Pourtant, l'histoire retient que tu as été aux abonnés absents lorsque les travailleurs de Bara Tall sont descendus dans la rue pour exiger la fin de l'acharnement et de la prédation du clan Wade sur leur outil de travail.
Absent, tu l'as été lorsque le peuple sénégalais croupissait sous le poids de l'inflation, des périodes de soudure, des coupures mafieuses d'électricité, de la gabegie et de la cupidité dans le mangement de l'ANOCI. De tous ces rendez vous aux débats qui déterminent la marche du pays, tu as brillé par ton silence béa. Il a fallu la descente sur le terrain de responsables de l'opposition pour que tu envoies tes lieutenants sur une zone inondée de Dakar avec la prétention d'effectuer un acte de solidarité. Qu'est-ce qui t'a empêché de mouiller les bottes une seule fois pour les gens qui ont subit les affres de ce pouvoir qui n'a jamais oublié le soutien de la banlieue dakaroise à ta candidature en 2007? J'ai d'ailleurs l'intime conviction que tes dons auraient été rejetés dans d'autres circonstances.
Tu dois savoir qu'en cherchant à user de la ruse, restée jusqu'ici l'apanage de Wade comme unique modus operandi, tu t'es maintenant "bonifié" dans cette école Wadiste de la sournoiserie. Te voilà désormais agglutiné et dépendant de ses humeurs et des décisions stratégiques de sa famille qui a le mérite de te rappeler, chaque fois l'occasion se présente, que tu n'as jamais été un fils de Wade. Les militants courageux de Rewmi ne se font pas d'illusion. Ils sont plus que jamais conscients de l'évidence que ce parti n'a été qu'un appareil issu d'un montage né du besoin urgent qu'était ta vraie fausse aspiration à être le quatrième président du Sénégal comme tu le clames sur tous les toits. Mais les Sénégalais garderont toujours le souvenir amer de cette mise en scène électorale et ta compromission faisant de toi un homme aux antipodes d'une posture d'aspirant au poste de président de la république. C'est à se demander le plus légitimement du monde si tu ne te reconnaîtrais pas dans le personnage biblique de Judas Iscariote à la seule différence que le peuple auquel j'appartiens n'acceptera plus aucun baiser venant de toi?
Même si la déclaration de candidature en 2012 de ton père de circonstances n'est que de la diversion (son jeu favori), elle a le mérite de rappeler une nouvelle fois que tu restes encore à sa merci et tu le comprends si bien que tu restes encore motus et bouche cousus.
La déception et la désillusion des militants que nous avons été est à la limite de l'inconsidération et du mépris dont tu as fais montre à notre égard malgré notre engagement sans faille à tes côtés. Cet engagement nous l'avons entrepris alors que tu étais à Rebeuss avec la création des cellules Fidel et Msis qui ont milité avec foi pour la démocratie au Sénégal. Même l'arnaque aux cent mille francs encaissés en 2008 par tes lieutenants au nom de Rewmi pour une élection dont ils savaient la certitude de l'annulation n'a altéré en rien notre engagement.
C’est l’occasion pour moi de présenter ici mes excuses les plus sincères aux sénégalais et aux militants qui ont cru à l’idéal de changement pour lequel j’ai rejoint Idy. Je reconnais que nous avons tous été victimes de sa traîtrise mais le combat continue.
Quant à toi Ndamal Kadior, l'heure est venue de te dire une dernière fois avec clarté que tu ne pourras plus jamais acheter ni tromper les sénégalais même si tu restes encore le milliardaire sénégalais des fonds politiques. Maintenant que j’ai fait mes valises, Adios Idy! Vive le Sénégal !
Pape Famara Sané
Lui, ton père de circonstance devenu depuis le 19 Mars 2000 un monarque inféodé au luxe, a finit de tromper le peuple sénégalais y compris toi-même qu'il tient en otage, puisque tu ne peux plus te libérer des mailles du filet qui protège son cercle vicieux axé autour de sa famille et les rapports affligeants que tous les deux vous entretenez avec l'argent, le chantage et le mensonge.
Aujourd'hui Idy, tu es devenu prisonnier de ta personnalité lugubre et ambiguë mais aussi de ta nature versatile et suptile. Ce sont là des vices que tu as érigés en style de jeu politique en refusant de te rendre compte que les patriotes sénégalais honnissent et rendent toujours la pièce de leur monnaie à ceux qui en font l'usage. Je parie qu'ils n'attendent que le moment opportun pour vous remettre tous les deux à la place que vous tardez à rejoindre puisque Wade et toi pensez à tort dompter à jamais ce peuple qui vous a portés au pouvoir il y a neuf ans. Ce moment venu, je me ferai l'insigne honneur de te rappeler que je t'en avais averti au cyber campus de Thiès. Etant à l'époque l'un des responsables de Rewmi aspirant à un siège au conseil municipal de Saly Portudal, j'avais versé ma caution de 50 000 F. Ce qui m'avait donné le droit de te rencontrer au dit cyber campus en même temps que les autres aspirants à l'échelle national pour le parti. T'en souviens-tu? M'insurgeant alors contre ton comportement à la limite du dédain pour tes militants de base et ta démarche politique obscure, je t'avais rappelé que ce sont les sénégalais qui donnent le pouvoir et non Karim Wade, son père et leur cohorte. Je réalise que ma mise en garde n'a servi à rien puisque tu t'obstines à nager à contre courant des aspirations de mes compatriotes dont la plupart étaient prêts à donner leur vie en échange de ta liberté alors que tu profitais d'une retraite sabbatique forcée à Rebeuss.
Parlons un peu de ces Sénégalais parmi lesquels un certain Bara Tall. Cet homme, son entreprise et les centaines de familles qui en dépendent vivent les périodes les plus sombres de leur histoire depuis que Mr Tall en bon musulman s'est opposé à la machination machiavélique contre ta personne sous le masque de ce qui a été appelé à l'époque l'affaire des chantiers de Thiès. Bara Tall en a payé le prix fort de sa liberté et continue encore de subir les coups bas de ton père d'emprunt, le parrain Wade et ses acolytes. Pourtant, l'histoire retient que tu as été aux abonnés absents lorsque les travailleurs de Bara Tall sont descendus dans la rue pour exiger la fin de l'acharnement et de la prédation du clan Wade sur leur outil de travail.
Absent, tu l'as été lorsque le peuple sénégalais croupissait sous le poids de l'inflation, des périodes de soudure, des coupures mafieuses d'électricité, de la gabegie et de la cupidité dans le mangement de l'ANOCI. De tous ces rendez vous aux débats qui déterminent la marche du pays, tu as brillé par ton silence béa. Il a fallu la descente sur le terrain de responsables de l'opposition pour que tu envoies tes lieutenants sur une zone inondée de Dakar avec la prétention d'effectuer un acte de solidarité. Qu'est-ce qui t'a empêché de mouiller les bottes une seule fois pour les gens qui ont subit les affres de ce pouvoir qui n'a jamais oublié le soutien de la banlieue dakaroise à ta candidature en 2007? J'ai d'ailleurs l'intime conviction que tes dons auraient été rejetés dans d'autres circonstances.
Tu dois savoir qu'en cherchant à user de la ruse, restée jusqu'ici l'apanage de Wade comme unique modus operandi, tu t'es maintenant "bonifié" dans cette école Wadiste de la sournoiserie. Te voilà désormais agglutiné et dépendant de ses humeurs et des décisions stratégiques de sa famille qui a le mérite de te rappeler, chaque fois l'occasion se présente, que tu n'as jamais été un fils de Wade. Les militants courageux de Rewmi ne se font pas d'illusion. Ils sont plus que jamais conscients de l'évidence que ce parti n'a été qu'un appareil issu d'un montage né du besoin urgent qu'était ta vraie fausse aspiration à être le quatrième président du Sénégal comme tu le clames sur tous les toits. Mais les Sénégalais garderont toujours le souvenir amer de cette mise en scène électorale et ta compromission faisant de toi un homme aux antipodes d'une posture d'aspirant au poste de président de la république. C'est à se demander le plus légitimement du monde si tu ne te reconnaîtrais pas dans le personnage biblique de Judas Iscariote à la seule différence que le peuple auquel j'appartiens n'acceptera plus aucun baiser venant de toi?
Même si la déclaration de candidature en 2012 de ton père de circonstances n'est que de la diversion (son jeu favori), elle a le mérite de rappeler une nouvelle fois que tu restes encore à sa merci et tu le comprends si bien que tu restes encore motus et bouche cousus.
La déception et la désillusion des militants que nous avons été est à la limite de l'inconsidération et du mépris dont tu as fais montre à notre égard malgré notre engagement sans faille à tes côtés. Cet engagement nous l'avons entrepris alors que tu étais à Rebeuss avec la création des cellules Fidel et Msis qui ont milité avec foi pour la démocratie au Sénégal. Même l'arnaque aux cent mille francs encaissés en 2008 par tes lieutenants au nom de Rewmi pour une élection dont ils savaient la certitude de l'annulation n'a altéré en rien notre engagement.
C’est l’occasion pour moi de présenter ici mes excuses les plus sincères aux sénégalais et aux militants qui ont cru à l’idéal de changement pour lequel j’ai rejoint Idy. Je reconnais que nous avons tous été victimes de sa traîtrise mais le combat continue.
Quant à toi Ndamal Kadior, l'heure est venue de te dire une dernière fois avec clarté que tu ne pourras plus jamais acheter ni tromper les sénégalais même si tu restes encore le milliardaire sénégalais des fonds politiques. Maintenant que j’ai fait mes valises, Adios Idy! Vive le Sénégal !
Pape Famara Sané