
Selon l'article 3 du statut de promoteur "la licence de promoteur peut être retirée" en cas de "non respect par le promoteur de ses obligations vis-vis du ministère des Sports, du Cng de lutte, des lutteurs ou tout manquement grave à la bonne organisation des combats de lutte, faillite", mais aussi de "dissolution, condamnation à des peines privatives de droits civiques" C'est ce dernier point qui concerne particulièrement le promoteur mbourois. Luc Nicolaï qui n'a pas encore renouvelé sa licence de promoteur, serait passible d'une sanction qui le priverait de ce sésame et du droit d'organiser des combats s'il venait d’être condamné à une peine de prison ferme.