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Macky Sall / Idrissa Seck: c'est la guerre!

Après avoir attaqué le maire de Fatick sur l’affaire des 7 milliards de Taïwan, Idrissa Seck a réitéré ses propos ce mardi 22 novembre. Pourtant, Macky Sall avait répondu à son interpellation. La guerre est ouverte entre les deux anciens « fils » de Wade. Qui en sortira vainqueur ?


Rédigé par leral.net le Mercredi 23 Novembre 2011 à 10:46 | | 5 commentaire(s)|

Macky Sall / Idrissa Seck: c'est la guerre!
Entre Idrissa Seck et Macky Sall, c’est la guerre. Candidats à la présidentielle de 2012, les deux hommes s’échangent des tirs, ouvertement ou par militants interposés depuis quelques temps. Chacun veut décrédibiliser l’autre en fouillant sur son passé. Les raisons de ces déballages : Idrissa Seck et Macky Sall veulent tous succéder à leur « ancien père spirituel ».
Le fait qu’ils aient le même but rend difficile leur cohabitation dans l’espace politique. Chacun veut tisser sa toile et puiser dans le giron libéral afin de pouvoir faire la différence en 2012. Pour atteindre cet objectif, ils doivent convaincre leurs cibles. La réussite de l’un fera sans doute l’échec de l’autre. D’où l’ouverture des hostilités par l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck. Invité par nos confrères de walf quotidien, le maire de Thiès a demandé à l’édile de Fatick de s’expliquer sur la distribution des 7 milliards remis par Taïwan au président de la République sous son magistère à la primature.
La demande du candidat de la coalition « Idy4président » a irrité les jeunes de l’Alliance pour la République (Apr) qui ont dénoncé son attitude. L’intéressé lui-même est monté au créneau pour apporter une réplique. « C’est un faux-débat. Je refuse de polémiquer, et je ne réponds pas à Idrissa Seck. Mais, moi, j’ai été interpellé par les médias sur la question. S’il y a quelqu’un qui pense qu’il y a une zone d’ombre sur la gestion que j’ai faite des fonds taïwanais, je suis prêt à m’expliquer devant la Nation. Mais, je ne permettrai pas à certaines personnes de m’interpeller sur cet argent dont l’exécution a été faite selon un ordre présidentiel », a dit Macky Sall, lors d’une rencontre des cadres de son parti.

Sans citer le maire de Thiès, Macky Sall a ajouté sur un ton ferme qu’il n’est pas « un détourneur de fonds publics ».

Le maire de Fatick fait manifestement référence à l’affaire des chantiers de Thiès qui avait abouti à l’arrestation de l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck puis à sa libération et son blanchiment par la justice sénégalaise. Visiblement dépité par les propos de son prédécesseur à la Primature, M. Sall a ajouté : « si on le désire, je peux demain, publier dans la presse, la liste des dépenses faites de ces 7 milliards. Nous devons servir notre pays et non s’en servir ».

Cependant, les explications du leader de l’Alliance pour la République ne semblent pas suffire à Idrissa Seck. Le maire de Thiès a réitéré sa demande, ce mardi 22 novembre, à Dakar. « Macky Sall, je lui ai pardonné sur le complot que le gouvernement, dont il faisait partie, a tenté contre moi. Mais cela s’est retourné contre lui. C’est pourquoi il s’est rendu compte qu’il ne devait pas être dedans. Je l’ai dit sur Walf », a-t-il rappelé.

Idrissa Seck a ajouté : « c’est lui qui avait dit à la télé qu’il avait distribué les milliards de Taiwan. Tout ce que je lui demande, c’est de me dire quelles sont les banques auxquelles il a envoyé l’argent, juste la liste. Finalement, il (Macky Sall, ndlr) sait que Wade ne travaille que pour son fils. Mais il doit rendre compte au peuple sénégalais. »

La guerre des mots entre les deux anciens « fils » de Wade ne va manifestement pas s’estomper. Au fur et à mesure que la présidentielle approche, les hostilités risquent d’être rudes.

Idy et Macky s’acheminent manifestement vers d’autres déballages. Celui qui aura réussi à décrédibiliser l’un espère en avoir les retombés. Mais une désapprobation par les Sénégalais de la démarche pourrait être lourdes de conséquences. Car les Sénégalais hostiles au régime de Wade attendent manifestement un discours basés sur une alternative crédible, mais non sur une violence verbale ou des déballages.



1.Posté par Jambar le 23/11/2011 12:14 | Alerter
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Come on, Macky ! Il faut pas te dérober. Réponds aux questions posées. On veut être édifié sur cette affaire. Nothing personnel ! Just the truth !

2.Posté par boy pikineikine le 23/11/2011 12:56 | Alerter
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LA GRANDE CABALE POUR UN FILS D’EMPRUN AUDETRIMENT D’UN FILS BIOLOGIQUE
L’après Idrissa Seck fut décrété période Karim Wade à tout point de vue. Il lui est confié un budget de plusieurs milliards dans le cadre de la préparation du sommet de l’OCI pour ravir la vedette au fils d’emprunt, auréolé par les travaux des chantiers de Thiès. Il est mêlé dans toutes les sauces à saveur d’argent (les privatisations, les appels d’offre, les investissements…)
Puis la concomitance « renforcer Karim, détruire Idy » a pris son envol pour faire regretter au fils d’emprunt d’avoir fait de l’ombre et d’avoir empêcher le fils naturel de remplir les réserves de la famille. Ce fut le début d’une grande cabale que nous allons étaler chronologiquement.
21 Avril 2004 : Après être déchargé de son poste Premier ministre par décret n° 2004-560, Idrissa SECK est successivement accusé de crime économique par Ousmane Ngom (conseiller du Président de la République) le 26 Avril 2004. Une accusation repris par Wade le 5 juin 2005 dans les pages de Jeune Afrique N° 2317 et le 13 juillet 2005, au CICES devant des militants ex-socialistes venus de Thiès.
26 Avril 2004 : Ousmane Ngom (conseiller du Président de la République) accuse Idrissa Seck « Tout le monde sait qu’à Thiès, on n’a même pas investi là bas 20 milliards même pas 15 milliards. Alors ou sont passés les 43 milliards débloqués par l’Etat. C’est un crime économique et je suis persuadé que le président ne laissera pas impuni ce crime, le peuple sénégalais non plus. » Dit-il pour préparer l’opinion sur une éventuelle arrestation de Idrissa Seck
Avril 2004- Juillet 2005: Idrissa Seck observe un silence. Au même moment des Articles contre Idy sont commandités dans la presse. Acharnement des journaux de la présidence renforcés par Walf et le soleil
18 Mai 2005 : une cinquantaine de personnes déverse contre la maison d’Idrissa Seck des œufs pourris, des excréments d’animaux et du sang. Deux personnes arrêtées donnent le nom de Farba Senghor comme étant le commanditaire de l’attaque. Aucune poursuite judiciaire n’a suivi cet acte.
20 mai 2005 : Lors de l’inauguration des ciments du Sahel, Wade accuse sans le nommer, Idrissa Seck, d’envoyer des jeunes à Thiès pour lancer des pierres à des autorités du pays. Le président Wade en n’a profité pour se tailler une réputation de saint en affirmant qu’il n’a « jamais fait jeter des pierres » et en outre n’a « jamais fait de manifestation ou de défilé sans être au premier rang ».
13 Juillet 2005 dans la nuit : Idrissa Seck sort un CD et proclame son innocence. Il déclare que « Jusqu’à l’extinction du soleil aucun centime de détourné ne pourra lui être reproché »

14 juillet 2005 : Idrissa Seck convoque une conférence de presse à son domicile et revient largement sur les chantiers de Thiès. Il clame son innocence et déclare ne pas avoir peur de la prison car dit-il « «ce qui est mauvais avec la prison, c’est d’y aller en ayant tort. »

15 juillet 2005: Idrissa Seck quitte son domicile dakarois situé dans le quartier de Point E pour répondre à la convocation de la DIC, il prend l’opinion sénégalaise à témoin : « Je ne suis ni diabétique, ni cardiaque. Dieu merci, je suis dans un parfait état de santé. Musulman convaincu, ou tout au moins aspirant à l’être, j’abhorre le suicide. S’il m’arrive donc quoi que ce soit, ce sera entièrement imputable à ceux qui m’ont convoqué. Je lutterai jusqu’au bout avec mes avocats, mes amis et mes partisans pour battre en brèche les accusations de malversations portées contre ma personne. »
15 Juillet 2005 soir : Ousmane Ngom convoque la presse et déclare « l’audition de M. Idrissa Seck par la division des investigations criminelles de la police obéit à cette exigence de transparence et de bonne gouvernance…Si M. Seck fournit les justificatifs en ce qui concerne le gap immense constaté et qui ne peut que être préjudiciable aux finances publiques toutes les conséquences de droit en seront tirées »

16 juillet 2005 : Mais dès le lendemain, on apprenait qu’il était en réalité gardé à vue pour atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale. Le procureur de la République près le Tribunal régional hors classe de Dakar, Lassana Diabé sort un communiqué et déclare que «au cours de cette enquête (…), il a été porté à la connaissance des autorités judiciaires compétentes des informations faisant état d’activités susceptibles de constituer des infractions d’atteinte à la sûreté de l’Etat impliquant monsieur Idrissa Seck». «Dans ce cadre précis, et conformément aux dispositions [en vigueur au Sénégal], les officiers de la Police judiciaire ont le pouvoir de garder à vue toute personne sur qui pèsent des soupçons». Ils peuvent opérer «des perquisitions et des saisies dans les formes prescrites par la loi», conclut-il.
16 Juillet- 23 Juillet 2005: Idrissa SECK est en garde à vue à la Divisions des investigations criminelles. Des perquisitions sont opérées dans ses maisons. Ses partisans interrogés et terrorisés.
21 juillet 2005 : Wade déclasse le rapport de l’IGE pour mieux porter ses accusations contre Idrissa Seck.

23 juillet 2005 : Idrissa Seck est convoqué par la doyenne des juges, enfermé dans la cave pendant plus d’une heure, son inculpation lui sera notifiée pour atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale par Seynabou Ndiaye Diakhaté. Peu avant 16 heures, il peut rejoindre Reubeuss. Idrissa Seck est arrêté en compagnie de l’industriel Hassane Farès, de son épouse Sandrine Farès, du journaliste Ndary Guèye.

26 juillet 2005. Le Premier Ministre Macky Sall convoque la presse pour dit-il « souscrire aux obligations conjointes d’information et de transparence ». Il délivre un contenu sélectif du rapport de l’IGE et enfonce Idrissa Seck.
28 Juillet 2005 : Le ministre d’Etat, Ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio présente aux diplomates étrangers accrédités au Sénégal, le rapport de l’IGE. Une présentation sélective qui enfonce Idrissa Seck.

3 août 2005 : L’Assemblée nationale vote une résolution permettant de faire comparaître devant la HCJ Idrissa Seck. La constitution qui prévoit le vote des 3/5ème des membres de l’assemblée nationale est violée. La mise en accusation passe pour un nombre de votant inférieur au 3/5 ème des membres.

5 Aout 2005 : Idrissa Seck est exclu du PDS par le comité directeur du parti pour « activités fractionnelles»

10 août 2005 : Idrissa Seck comparé devant la commission d’instruction de la Haute cour de justice (Hcj), qui l’inculpe dans le cadre de «l’affaire des chantiers de Thiès».

14 septembre2005 : Mbaye Coulibaly informaticien de l’ex-Premier ministre, l’inspectrice Coumba Ngouye Thiam ex chef de service au ministère de la Famille sont mis en garde à vue de même que Yankhoba Diattara, comme l’avaient été Awa Guèye Kébé et Opa Ndiaye, deux anciens ministres réputés proches d’Idrissa Seck. Les ex-ministres et Yankhoba Diattara ont été remis en liberté, tandis que Mbaye Coulibaly et Coumba Ngouye Thiam ont été inculpés de «complicité d’atteinte à la sûreté de l’Etat», puis placés sous mandat de dépôt.

20 septembre 2005 : Dans les colonnes du journal Walfadjri, la chef de mission de l’Inspection générale d’Etat, Nafi Ngom Kéita fait de nouvelles révélations laissant entendre que le vrai rapport n’est pas encore publié. Et pourtant c’est sur la foi de ce dossier qu’un juge d’instruction a pu mettre sous les verrous, un ancien Premier ministre et maire de la ville de Thiès. Et c’est également sur la foi de ce dossier que de hautes autorités de l’Etat ont organisé des sorties médiatiques pour informer l’opinion nationale et internationale.
17 octobre 2005 : Idrissa Seck convoqué pour être entendu sur le fond pour le délit d’atteinte à la sûreté nationale et à la défense nationale voit son dossier corsé. Il est inculpé pour sorti irrégulière de correspondance par la doyenne des juges.
31 Janvier 2006 : La doyenne des juges d’instruction prononce le non-lieu pour les délits d’atteinte à la sûreté de l’Etat et à la défense nationale
7 février 2006 : Libération d’Idrissa Seck après 199 jours de privation de liberté sur décision de la commission d’instruction ((arrêt N°4 du 7 février 2006 rendu par la Commission d’instruction de la haute cour de justice). Idrissa Seck déclare à sa sortie de prison : « C’est avec une conscience calme que je suis entré dans cette épreuve. C’est avec une conscience calme que j’en sors et je convoite de Dieu la sérénité, l’endurance, la capacité de dépassement qu’exigent la mission que je me suis assignée : servir le Sénégal. Car rien ne me pèse plus lourd que les difficultés auxquelles notre pays est confronté et rien ne fera obstacle à mon ambition et à ma volonté de le servir. »
9 février 2006 : Le président Abdoulaye Wade déclare qu’Idrissa Seck était toujours poursuivi et qu’il y avait une “commission rogatoire en France et aux Etats-Unis pour voir s’il avait caché de l’argent”.
13 février 2006 : De retour de Thiès Idrissa Seck répond à Wade “Même si des investigations devaient avoir lieu sur l’étendue de l’univers, (…), il n’y aura aucune autre possibilité que de prononcer le non-lieu” dit-il
20 Octobre 2006 : Idrissa Seck écrit à Monsieur le Président de la république pour entrer en possession de son passeport diplomatique. (Infos données par l’intéressé devant la direction des passeports le 13 novembre 2006) Après une série de correspondance, Idrissa Seck reste privé de passeport diplomatique ce qui l’empêche de sortir du territoire national.
24 octobre 2OO6 : Immobilisation d’un véhicule appartenant à une société d’Idrissa Seck, Net africa suite à des accusations voilées d’Ousmane Ngom en réponse à une lettre de Cheikh yérim Seck adressé au ministre de l’intérieur en date du 16 Octobre 2006. Ousmane Ngom avait dit ce qui suit « On est amené alors à se demander si Cheikh Yérim Seck n’utilise pas les mêmes méthodes de camouflage et de fraude documentaire que ses amis qu’il fréquente régulièrement et nuitamment au Lamantin Beach Hôtel et au quartier Point E et qui consistent à maquiller de fausses plaques d’immatriculation au nom et pour le compte de sociétés ou de personnes fictives pour mieux commettre leur forfait ? Les jours qui viennent nous édifieront sur tout cela. » Devant le commissariat du Point E, Idrissa Seck déclare « le commissaire a dit que c’est pour une vérification de routine et d’usage. Le véhicule n’a commis aucune infraction, le véhicule a tous ses papiers en règle. Il est immatriculé au nom de l’une des sociétés qui m’appartiennent, Net Africa, qui n’est pas fictive du tout, contrairement aux allusions d’un ministre de l’Intérieur en réponse à un de vos collègues. Je n’ai pas compris pourquoi ce véhicule est arrêté. Et comme je n’ai pas confiance en eux, pas aux fonctionnaires, je parle de leur hiérarchie politique qui, après un lamentable échec, en leur tentative de liquidation politique, ont, sans doute, un plan B de liquidation physique, je ne souhaite pas que mes véhicules soient entre leurs mains, sans motifs précis et écrits. »
2 novembre 2006 : Wade reçoit Bara Tall et lui demande d’enfoncer Idrissa Seck. Il lui promet de régler sa caution. Réponse de Bara Tall : “Si vous me donnez 100 milliards, je ne cautionnerai pas un seul centime”
13 Novembre 2006 : A défaut de passeport diplomatique Idrissa Seck se rend à la direction de la police des étrangers et des titres de voyage pour réclamer la délivrance de son passeport ordinaire confisqué par le pouvoir. Une démarche qui n’aura pas abouti. Son passeport reste confisqué.
20 novembre 2006 : A la suite d’une sortie triomphale du président de Rewmi à Saint Louis, lors de sa visite de proximité et d’écoute dans la capitale du nord, des membres de la garde rapprochée d’Idrissa Seck (Vieux Sandjiri Diop, Cheikh Ndiaye, Abdou Salam Zoumarou et Serigne Diop), de même que son informaticien, un jeune de 21 ans, Dame Dieng sont interpellés par des éléments du commissariat central de Saint-Louis. Placés en garde à vue durant 96 heures, ils ont été inculpés et placés sous mandat de dépôt à la prison de Saint Louis. Ils se sont vus collé les chefs d’accusations de menace de mort, coups et blessures volontaires, détention illégale d’armes, violence et voies de fait au cours d’un rassemblement.
22 Novembre 2006 : Le cyber campus ou se trouvait Idrissa Seck est encerclé par des éléments de la Dic. Un complot contre Idrissa Seck devait permettre à Ousmane Ngom et Cheikh Tidiane Sy de mettre la main sur lui. La raison : il a fait sortir un CD contre Wade dans lequel lui et sa femme aurait tenu des propos acerbes contre des marabouts. Cette fausse information transmise à Wade lors du comité directeur n’a pas permis à ce dernier de donner l’autorisation pour l’arrestation d’Idrissa Seck. Le complot est éventré. (Information fournie par le journal le quotidien)
22 Janvier 2007 : Wade reçoit Idy et déclare que les accusateurs de ce dernier sont « incapables de fournir la moindre preuve de leurs accusations ». Il annonce n’avoir sanctionné Idy que sur la base des informations qu’il détenait. Il déclare : « « J’ai expliqué que c’est sur la base d’informations que je détenais, que j’ai décidé de le sanctionner »
5 février 2007 : Idrissa Seck, qui a choisi de débuter sa campagne électorale aux parcelles assainies est attaqué par les partisans du ministre Lamine Ba. Des jets de pierre sur le cortège et sur la foule entrainent de nombreux blessés.
12 Février 2007 : La caravane Dekkal Yakaar du candidat Idrissa Seck est attaquée à Kolda par des éléments du PDS
21 février 2007: La caravane Dekkal yakkar du candidat Idrissa Seck est attaquée par des Talibés de Béthio Thioune. Des blessés graves, des voitures calcinées, des bagages volés
1er mars 2007 : Conférence de presse de WADE. Il charge Idrissa SECK et l’accuse d’avoir logé plusieurs milliards dans des comptes à travers le monde.
20 mars 2007 : Idrissa Seck répond à Wade « Des accusations on peut en formuler cinquante mille par jour. » dit-il avant d’ajouter « Les nouvelles accusations sont aussi fausses que les premières, elles sont aussi fausses que celles qui portent sur l’atteinte à la sûreté de l’Etat et sur les chantiers de Thiès.»
Malgré le fait que les accusations n’ont jamais rien donné en termes de preuves Wade s’est obstiné a toujours s’en prendre à Idrissa Seck en créant de nouvelles accusations. La raison d’un tel acharnement se justifie par l’échec dans l’objectif visé.
Malgré tous les efforts fournis, tous les moyens financiers déployés en plus des moyens de l’Etat (gendarmerie, police, experts évaluateur), l’objectif reste entier : Idrissa Seck est toujours debout et Karim n’est pas, pour autant, renforcé aux yeux des sénégalais.


3.Posté par papis le 23/11/2011 13:44 | Alerter
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kousaye tate lakeu dagaye beugeu morome wayé kouné khamnané macki boulékone khalisse balégui kéne wakhatouko tabou lékone khaliss dou niémé wo karime wade ensamballé

4.Posté par bonkobâ le 23/11/2011 16:03 | Alerter
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Salut
mais pourquoi idrissa Seck et macky Sall sont à couteau tirés?N'est ce pas que, c'est idrissa Seck qui avait introduit Macky Sall dans le Parti PDS.Normalement il devrait pas avoir d'animosités entre eux.
Autre Chose on devrait rappeler a Idy de faire un peu de rétroinspection.Il avait dit dans son Cd aux moments de ses Euphories excusez nous du terme; c'est au moment de partager le Butin que les bandits ont des problèmes.Est ce que des bandits ont le droit de se jetter des pierres.
Alors messieurs arrêtez svp.
Idy ne veut plus rentrer dans la maison du Pére, c'est comme si la rupture est consommée.Mais nak il faut savoir raison gardée, il est reste un libéral, et on ne sait pas ce que lui reserve le Futur dans son parti originel.En POLITIQUE rien n'est définitif.Idy est un dissendent qui fait tout pour déranger le timonier, et pourtant les phénoménes peuvent changer et qu'il retrouve ses fréres libéraux .
BonkoBâ dite bambi thiés Sénégal tél 773055545
Ps: je ne saurais juger Macky Sall ,il n'était qu'un guest star dans le parti libéral, on sait qu'il originellement de And jëf., mais il doit apprendre a bien accueillir ses adeversaires politiques,ou les faires bien accueillir c'est une question de tenu et de convenance

5.Posté par dd le 23/11/2011 18:16 | Alerter
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