"Selon le Préfet du département de Thiès, ces terrains ont été officiellement attribués depuis 2006 par une commission domaniale; une partie du lotissement se trouve dans la partie de la forêt classée de Thiès. Dans ce cas, si l'Etat s'estime être lésé dans cette opération, il doit sanctionner les membres de cette commission et non les attributaires de parcelles. Il peut aussi saisir les autorités judiciaires pour obtenir une autorisation de démolir. Quoi qu'il en soit, l'Etat doit dédommager les bénéficiaires de terrains se trouvant dans la forêt classée de Thiès, dans la mesure où c'est c'est une commission domaniale qui a officiellement attribué ces parcelles", a martelé Moustapha Diakhaté.
A l'en croire, "le Préfet ne peut pas ignorer que dans un Etat de droit, personne y compris l'Etat lui-même, n'a le droit de se faire justice , comme c'est le cas avec la destruction de ces maisons ou fondations. C'est de la pure vendetta, la DSCOS est dans l'illégalité".
A l'en croire, "le Préfet ne peut pas ignorer que dans un Etat de droit, personne y compris l'Etat lui-même, n'a le droit de se faire justice , comme c'est le cas avec la destruction de ces maisons ou fondations. C'est de la pure vendetta, la DSCOS est dans l'illégalité".