Responsable de la communication du Cld de Dakar, Moussa Diakhaté note que «l’heure est aux grands ensembles». Et le Pds a besoin de se massifier davantage, et les gens ne doivent pas travailler contre les retrouvailles de la grande famille libérale. «Ce que Farba Senghor dit par rapport au non-retour de Idy dans le parti n’engage que lui seul et pas le Pds. C’est un homme irréfléchi qui le dit», lance M. Diakhaté. Le Pds, dit-il, «doit obligatoirement se réorganiser et s’ouvrir à toutes les forces émergentes du pays. Ce débat doit être engagé par tous ses responsables car, ils ont la responsabilité morale d’y parvenir». Le Cld prône une nouvelle vision et de nouveaux textes conduisant à la création d’un grand parti qui prendra en compte l’intérêt général des Sénégalais. Yatma Diaw, coordonnateur du Cld, soutient que dans un monde de globalisation, seuls les grands ensembles survivront. Et de préciser : «La leçon de Benno Siggil Senegaal aux dernières élections locales doit servir d’illustration aux responsables du Pds».
Organiser un «ndeup libéral»
Yatma Diaw et ses camarades déplorent la léthargie qui plombe le Pds au niveau de ses structures. «L’Union des jeunesses travaillistes et libérales (Ujtl), qui a toujours servi de fer de lance au parti en période de crise, est amorphe, voire inexistante. Il est impératif de poser le débat de sa redynamisation», indique-t-on. Invitant à un «ndeup libéral», le Cld s’est aussi attaqué aux responsables libéraux de Dakar qui «ont participé à la débâcle du Pds» aux dernières locales. «Si notre parti a perdu Dakar, lors des Locales, c’est parce que ceux qui devaient être investis ne l’ont pas été», regrette Moussa Diakhaté. Le premier fautif dans cette affaire, dit-il, «c’est Pape Diop qui n’a pas été, en tant que responsable de Dakar, ferme dans le choix des investitures». Doudou Wade n’a pas a été épargné par ces jeunes libéraux qui, disent-ils, «par ses tours de cirque à l’Assemblée nationale a perdu toute sa dose de respectabilité». Ils ont également évoqué «les démêlés de Farba Senghor avec la justice, appuyé par Abdoulaye Faye qui ne peut même pas gagner dans son quartier».
Source: L'observateur
Organiser un «ndeup libéral»
Yatma Diaw et ses camarades déplorent la léthargie qui plombe le Pds au niveau de ses structures. «L’Union des jeunesses travaillistes et libérales (Ujtl), qui a toujours servi de fer de lance au parti en période de crise, est amorphe, voire inexistante. Il est impératif de poser le débat de sa redynamisation», indique-t-on. Invitant à un «ndeup libéral», le Cld s’est aussi attaqué aux responsables libéraux de Dakar qui «ont participé à la débâcle du Pds» aux dernières locales. «Si notre parti a perdu Dakar, lors des Locales, c’est parce que ceux qui devaient être investis ne l’ont pas été», regrette Moussa Diakhaté. Le premier fautif dans cette affaire, dit-il, «c’est Pape Diop qui n’a pas été, en tant que responsable de Dakar, ferme dans le choix des investitures». Doudou Wade n’a pas a été épargné par ces jeunes libéraux qui, disent-ils, «par ses tours de cirque à l’Assemblée nationale a perdu toute sa dose de respectabilité». Ils ont également évoqué «les démêlés de Farba Senghor avec la justice, appuyé par Abdoulaye Faye qui ne peut même pas gagner dans son quartier».
Source: L'observateur
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