"La Cellule tient à informer les populations qu'une mission conduite par le Consul général du Sénégal à Milan, Mme Rokhaya Ba Touré, se trouve présentement en Sicile et travaille à la collecte des données disponibles, pour les mettre à la disposition des familles des personnes portées disparues", lit-on dans un communiqué parvenu à leral.
"Le Secrétaire d'Etat aux Sénégalais de l'Extérieur, qui supervise le travail de la Cellule placée sous son autorité, est en contact avec les plus hautes autorités italiennes, et s'est entretenu en fin de matinée avec Dr Andre Bonano, du Ministère de l'intérieur italien, chargé de la coordination, de l'accueil, du recensement et de la gestion des migrants qui arrivent en Sicile", indique le document.
"A ce jour, renseigne le texte, "aucune statistique fiable n'existe et aucune organisation sérieuse n'est en mesure de fournir des données précises sur le nombre de victimes par pays. Cette mission est dévolue à la Cellule de crise mise en place, qui est déjà à pied-d'oeuvre, en collaboration avec les autorités italiennes, nos représentants consulaires dans les pays limitrophes, le CICR, l'OIM et les sénégalais de Libye, pour procéder à un recoupement minutieux des renseignements qui nous sont remontés à partir des témoignages de proches et des données recueillies par les Préfectures et Sous-préfectures."
"Malgré l'impatience bien compréhensible des parents et proches, ce travail d'identification exige patience, rigueur et sérénité. Aucune autre source ne saurait donc faire foi, dans un tel contexte", conclut le document.
"Le Secrétaire d'Etat aux Sénégalais de l'Extérieur, qui supervise le travail de la Cellule placée sous son autorité, est en contact avec les plus hautes autorités italiennes, et s'est entretenu en fin de matinée avec Dr Andre Bonano, du Ministère de l'intérieur italien, chargé de la coordination, de l'accueil, du recensement et de la gestion des migrants qui arrivent en Sicile", indique le document.
"A ce jour, renseigne le texte, "aucune statistique fiable n'existe et aucune organisation sérieuse n'est en mesure de fournir des données précises sur le nombre de victimes par pays. Cette mission est dévolue à la Cellule de crise mise en place, qui est déjà à pied-d'oeuvre, en collaboration avec les autorités italiennes, nos représentants consulaires dans les pays limitrophes, le CICR, l'OIM et les sénégalais de Libye, pour procéder à un recoupement minutieux des renseignements qui nous sont remontés à partir des témoignages de proches et des données recueillies par les Préfectures et Sous-préfectures."
"Malgré l'impatience bien compréhensible des parents et proches, ce travail d'identification exige patience, rigueur et sérénité. Aucune autre source ne saurait donc faire foi, dans un tel contexte", conclut le document.