Le patron de King Fahd Palace a obtenu sa revanche sur la mairesse de Podor. Mamadou Racine Sy, qui avait perdu les élections Locales face à Aïssata Tall Sall, est au devant de la scène en battant la « Mama » des Podorois au référendum du 20 mars. Le « Oui » dont il était le porte étendard a triomphé à Podor. Sur les 18 bureaux de vote de la commune, le « Non » n’a gagné que deux (2) bureaux.
Parmi les 6 centres de vote, pour un nombre de 7 338 inscrits, seuls 3 696 sont allés voter. Ainsi, 2 189 électeurs se sont exprimés en faveur du « Oui », 1 493 pour le « Non ». Une différence de 696 voix, avec 15 bulletins nuls.
Mais avant la publication des résultats, la tension était vive dans la commune de Podor où les partisans de Racine Sy et de Me Aïssata Tall Sall en sont même venus aux mains.
Tout est parti de la visite que Racine Sy effectué dans les centres et bureaux de vote. Un acte pas tout apprécié par les partisans d’Aïssata Tall Sall. A peine que le leader du camp du « Oui » a-t-il franchi le seuil des centres que les partisans de la mairesse ont crié au scandale. « Ce n’est pas normal qu’il entre ici, il n’est pas mandataire, encore moins superviseur. Donc, il n’a pas le droit d’entrer par ici », ont-ils pesté. Mais ces cris et huées ne freineront pas le rival de la première magistrate de la ville qui continuera sous une chaleur de plomb sa « petite balade ». Finalement c’est au centre Amath Bâ et au Cetf que les choses vont dégénérer.
Parmi les 6 centres de vote, pour un nombre de 7 338 inscrits, seuls 3 696 sont allés voter. Ainsi, 2 189 électeurs se sont exprimés en faveur du « Oui », 1 493 pour le « Non ». Une différence de 696 voix, avec 15 bulletins nuls.
Mais avant la publication des résultats, la tension était vive dans la commune de Podor où les partisans de Racine Sy et de Me Aïssata Tall Sall en sont même venus aux mains.
Tout est parti de la visite que Racine Sy effectué dans les centres et bureaux de vote. Un acte pas tout apprécié par les partisans d’Aïssata Tall Sall. A peine que le leader du camp du « Oui » a-t-il franchi le seuil des centres que les partisans de la mairesse ont crié au scandale. « Ce n’est pas normal qu’il entre ici, il n’est pas mandataire, encore moins superviseur. Donc, il n’a pas le droit d’entrer par ici », ont-ils pesté. Mais ces cris et huées ne freineront pas le rival de la première magistrate de la ville qui continuera sous une chaleur de plomb sa « petite balade ». Finalement c’est au centre Amath Bâ et au Cetf que les choses vont dégénérer.
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