Le candidat sortant, Macky Sall ne sera pas de la partie, en cas de deuxième tour du scrutin de dimanche prochain. C’est en tout cas, la conviction du leader du Parti de l’unité et du rassemblement.
Selon Issa Sall, après avoir fait le tour du pays, il s’est rendu compte que le candidat de Benno Book Yakaar a montré ses limites. En caravane à Popenguine, il déclare qu’en cas de participation massive des citoyens, Macky Sall n’atteindra pas un score de 50 %. « Le baromètre le plus important d’un scrutin est le taux de participation. Si les citoyens votent massivement, le candidat sortant ne pourra pas avoir la moitié des voix valablement exprimées. Alors que pour remporter le premier tour, il lui faut 50 % de ces voix », informe-t-il.
Avant d’ajouter : « Nous avons visité 43 sur les 45 départements. Les tendances sont très bonnes. Les doléances sont les mêmes. On n’a pas besoin de vivre dans les contrées du pays pour comprendre leurs difficultés quotidiennes ».
Selon Issa Sall, toutes les stratégies que le candidat sortant et ses collaborateurs tenteront, tels que les couacs sur la distribution des cartes d’électeur, le déplacement de centres de vote pour certains électeurs, etc, seront vaines. En effet, plus la campagne tire vers la fin, plus Issa Sall s’en prend au candidat sortant. Pourtant il avait refusé, dès le départ, de s’attaquer au bilan de ce régime. Mais Issa Sall ne rate plus aucune occasion pour descendre Macky Sall en flammes.
Pour lui, la pauvreté a pris une proportion extraordinaire à travers le pays. C’est pourquoi il dit garder espoir que les Sénégalais en finiront avec ce régime dès dimanche. « La faim sévit partout dans le monde rural. Le liquide précieux est introuvable dans bon nombre de localités. Les infrastructures sanitaires ne sont pas suffisantes. Les femmes enceintes effectuent plus 40 kilomètres de pistes pour faire leurs visites prénatales et post-natales. Les abris provisoires campent le décor des écoles. Les enfants n’étudient plus », déplore-t-il.
A l’en croire, « cette élection est spéciale. Les candidats ne sont que cinq. Macky Sall ne mérite pas un second mandat puisqu’il a fini de montrer ses preuves. Il doit dégager », dit-il.
Walquotidien
Selon Issa Sall, après avoir fait le tour du pays, il s’est rendu compte que le candidat de Benno Book Yakaar a montré ses limites. En caravane à Popenguine, il déclare qu’en cas de participation massive des citoyens, Macky Sall n’atteindra pas un score de 50 %. « Le baromètre le plus important d’un scrutin est le taux de participation. Si les citoyens votent massivement, le candidat sortant ne pourra pas avoir la moitié des voix valablement exprimées. Alors que pour remporter le premier tour, il lui faut 50 % de ces voix », informe-t-il.
Avant d’ajouter : « Nous avons visité 43 sur les 45 départements. Les tendances sont très bonnes. Les doléances sont les mêmes. On n’a pas besoin de vivre dans les contrées du pays pour comprendre leurs difficultés quotidiennes ».
Selon Issa Sall, toutes les stratégies que le candidat sortant et ses collaborateurs tenteront, tels que les couacs sur la distribution des cartes d’électeur, le déplacement de centres de vote pour certains électeurs, etc, seront vaines. En effet, plus la campagne tire vers la fin, plus Issa Sall s’en prend au candidat sortant. Pourtant il avait refusé, dès le départ, de s’attaquer au bilan de ce régime. Mais Issa Sall ne rate plus aucune occasion pour descendre Macky Sall en flammes.
Pour lui, la pauvreté a pris une proportion extraordinaire à travers le pays. C’est pourquoi il dit garder espoir que les Sénégalais en finiront avec ce régime dès dimanche. « La faim sévit partout dans le monde rural. Le liquide précieux est introuvable dans bon nombre de localités. Les infrastructures sanitaires ne sont pas suffisantes. Les femmes enceintes effectuent plus 40 kilomètres de pistes pour faire leurs visites prénatales et post-natales. Les abris provisoires campent le décor des écoles. Les enfants n’étudient plus », déplore-t-il.
A l’en croire, « cette élection est spéciale. Les candidats ne sont que cinq. Macky Sall ne mérite pas un second mandat puisqu’il a fini de montrer ses preuves. Il doit dégager », dit-il.
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