Selon Fara Tall, vice-président de l’Association Saint-Louis Jazz, organisatrice de l’évènement, Alioune Badara Diagne avait fait du festival son cheval de bataille et assurait à chaque édition, le rôle de maître de cérémonie lors des séances d’ouverture et de clôture.
«Alioune Badara Diagne Golbert est une icône de Saint-Louis, mais c’est surtout quelqu’un qui a participé à l’émergence de ce festival, un homme d’une dimension culturelle incommensurable pour Saint-Louis», a-t-il déclaré dans un entretien avec l’Aps.
«Il savait ce que le festival représentait comme patrimoine pour Saint-Louis et pour le Sénégal. Il l’a soutenu, il a porté le festival et l’a accompagné, il a été la cheville ouvrière du festival», a dit Fara Tall. Il a témoigné qu’il était arrivé à Alioune Badara Diagne «Golbert» de faire des plaidoyers en faveur de l’évènement, à des moments où le festival «était confronté à beaucoup de difficultés».
Le Festival de Jazz de Saint-Louis a, par conséquent, décidé de dédier cette "édition spéciale" à la mémoire de «Golbert» Diagne qui, selon lui, "n’hésitait pas à utiliser ses propres moyens" pour la promotion de l’évènement dont l’édition 2020 n’a pu se tenir, en raison de la pandémie de la maladie à coronavirus.
«Alioune Badara Diagne Golbert est une icône de Saint-Louis, mais c’est surtout quelqu’un qui a participé à l’émergence de ce festival, un homme d’une dimension culturelle incommensurable pour Saint-Louis», a-t-il déclaré dans un entretien avec l’Aps.
«Il savait ce que le festival représentait comme patrimoine pour Saint-Louis et pour le Sénégal. Il l’a soutenu, il a porté le festival et l’a accompagné, il a été la cheville ouvrière du festival», a dit Fara Tall. Il a témoigné qu’il était arrivé à Alioune Badara Diagne «Golbert» de faire des plaidoyers en faveur de l’évènement, à des moments où le festival «était confronté à beaucoup de difficultés».
Le Festival de Jazz de Saint-Louis a, par conséquent, décidé de dédier cette "édition spéciale" à la mémoire de «Golbert» Diagne qui, selon lui, "n’hésitait pas à utiliser ses propres moyens" pour la promotion de l’évènement dont l’édition 2020 n’a pu se tenir, en raison de la pandémie de la maladie à coronavirus.