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Saly : Saly : Un amour à coups de poing atterrit au tribunal et devient des promesses de mariage

P. M. Cissé et A. Diallo, deux âmes en quête d’un « oui » pour la vie, filent le parfait amour depuis deux ans. Enfin… presque parfait. Car avant de dire « oui » à la mairie en juin prochain, nos Roméo et Juliette de Saly semblent vouloir tester leur compatibilité à l’épreuve du tribunal.


Rédigé par leral.net le Samedi 17 Mai 2025 à 10:56 | | 0 commentaire(s)|

Selon le quotidien Le Témoin d'où nous tenons l'info, tout commence comme dans une comédie romantique : elle l’aime, il l’aime, ils veulent se marier. Mais A. Diallo, visiblement plus portée sur le jus de bissap que sur le whisky-coca, supplie régulièrement son chéri de ranger la bouteille.

En retour ? Une scène qui vire au cauchemar : monsieur, visiblement plus inspiré par Bacchus que par Cupidon, règle le différend à coups de poings. Résultat : dix jours d’incapacité pour sa dulcinée, qui, ironie du sort, a été blessée par… sa bague de fiançailles.

Face au juge, P. M. Cissé joue la carte du mea culpa : « Je lui dois tout. À Saly, je ne connais qu’elle. C’est même elle qui m’apporte à manger en prison. » Un peu comme si l’amour passait aussi par la cantine carcérale.

Et quand le juge demande à A. Diallo si elle souhaite des dommages et intérêts, la réponse tombe, plus romantique que juridique : « Non, rien du tout. » L’amour, visiblement, ne se monnaie pas. Même après une raclée.

Le tribunal, tentant de réconcilier l’amour et le bon sens, leur lance un conseil digne d’un prêtre avant l’autel : « Vous avez un projet de mariage. Évitez donc de vous battre. » Verdict : six mois de prison avec sursis pour monsieur.

Et la scène se termine comme dans un téléfilm sentimental : depuis le banc des accusés, Cissé reçoit un petit signe de la main de sa bien-aimée. L’amour est peut-être aveugle, mais pas sourd aux excuses.