La série noire des meurtres et agressions se poursuit à Dakar et dans sa banlieue. Cause pour laquelle beaucoup de personnes comme le leader du Pastef Les Patriotes, Ousmane Sonko (si l'on en croit Pierre Goudiaby Atépa à qui il s'est confié) dont une de ses militants a été sauvagement tuée à Keur Massar, réclament le retour de la peine mort. Une idée que ne partage pas le ministre de Justice et Garde des sceaux qui estime que « la peine de mort appartient au passé ». Ismaïla Madior Fall suggère à la place « l’application des peines sévères ».
« Ce n’est pas la peine de mort qui est la solution. Aujourd’hui, la tendance universelle c’est plutôt l’abolition de la peine de mort. Et, aujourd’hui vouloir restaurer la peine de mort, c’est une sorte de retour en arrière », déclare le ministre de la Justice.
« Ce qu’il faut aujourd’hui, poursuit Ismaïla Madior Fall, c’est mettre des dispositions de sécurité, faire en sorte que les forces de sécurité soient présentes dans les quartiers, soient bien visibles, faire en sorte que la population elle-même collabore, coopère avec la police et la gendarmerie pour prendre en charge leur sécurité ».
« Et puis, ajoute-t-il sur la Rfm, la justice comme elle le fait, à chaque fois qu’on identifie des personnes qui sont auteures de meurtre ou bien d’infractions criminelles, juge ces gens et les met en prison avec des peines qui sont sévères, qui sont répressives, mais pas forcément la peine de mort ».
pressafrik.com
« Ce n’est pas la peine de mort qui est la solution. Aujourd’hui, la tendance universelle c’est plutôt l’abolition de la peine de mort. Et, aujourd’hui vouloir restaurer la peine de mort, c’est une sorte de retour en arrière », déclare le ministre de la Justice.
« Ce qu’il faut aujourd’hui, poursuit Ismaïla Madior Fall, c’est mettre des dispositions de sécurité, faire en sorte que les forces de sécurité soient présentes dans les quartiers, soient bien visibles, faire en sorte que la population elle-même collabore, coopère avec la police et la gendarmerie pour prendre en charge leur sécurité ».
« Et puis, ajoute-t-il sur la Rfm, la justice comme elle le fait, à chaque fois qu’on identifie des personnes qui sont auteures de meurtre ou bien d’infractions criminelles, juge ces gens et les met en prison avec des peines qui sont sévères, qui sont répressives, mais pas forcément la peine de mort ».
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