La Maison Blanche n'a pas nié que le président américain a tenu ces propos.
Trump se défend
Vendredi, Donald Trump a laissé entendre qu'il n'avait pas utilisé l'expression "pays de merde" lors de cette réunion. "Le langage que j'ai utilisé lors de la réunion était dur mais ce ne sont pas les mots utilisés", a-t-il tweeté, après la vague d'indignation suscitée par ses propos.
Il a rappelé qu'il voulait une immigration "au mérite", mettant en garde contre des arrivées massives en provenance de pays "à haute criminalité".
L'Union africaine condamne
"Ce n'est selon moi pas seulement blessant pour les gens d'origine africaine aux Etats-Unis, mais aussi pour les citoyens africains", a déclaré à l'AFP Ebba Kalondo, porte-parole du président de la Commission de l'UA Moussa Faki. "C'est d'autant plus blessant compte tenu de la réalité historique du nombre d'Africains qui sont arrivés aux Etats-Unis comme esclaves".
"C'est aussi très surprenant car les Etats-Unis restent un exemple extrêmement positif de la manière dont l'immigration peut donner naissance à une nation", a-t-elle ajouté au sujet de cette "déclaration extrêmement dérangeante", qui "va complètement à l'encontre des comportements et des pratiques acceptées".
7sur7.be
Trump se défend
Vendredi, Donald Trump a laissé entendre qu'il n'avait pas utilisé l'expression "pays de merde" lors de cette réunion. "Le langage que j'ai utilisé lors de la réunion était dur mais ce ne sont pas les mots utilisés", a-t-il tweeté, après la vague d'indignation suscitée par ses propos.
Il a rappelé qu'il voulait une immigration "au mérite", mettant en garde contre des arrivées massives en provenance de pays "à haute criminalité".
L'Union africaine condamne
"Ce n'est selon moi pas seulement blessant pour les gens d'origine africaine aux Etats-Unis, mais aussi pour les citoyens africains", a déclaré à l'AFP Ebba Kalondo, porte-parole du président de la Commission de l'UA Moussa Faki. "C'est d'autant plus blessant compte tenu de la réalité historique du nombre d'Africains qui sont arrivés aux Etats-Unis comme esclaves".
"C'est aussi très surprenant car les Etats-Unis restent un exemple extrêmement positif de la manière dont l'immigration peut donner naissance à une nation", a-t-elle ajouté au sujet de cette "déclaration extrêmement dérangeante", qui "va complètement à l'encontre des comportements et des pratiques acceptées".
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