Les mutations développées dans les différents exposés ont retenu l’attention des représentants des structures invitées. A travers des diapositives dynamiques, ils ont pu constater qu’Internet est, à ce jour, la principale source d’information et de divertissement du Sénégal.
Les vidéos et les programmes télévisés sont majoritairement suivis à la demande dans le pays. La vidéo est, en ce moment, le format le plus prisé et le plus consommé. Toutefois, faudrait-il optimaliser, réduire le format et la durée, et jouer sur la concision. Emmanuel Bocquet, ayant animé une partie, a démontré que l’application WhatsApp se redessine, donne à redéfinir ses usages et devient plus qu’une messagerie instantanée.
Ainsi, l’expert en communication digitale a dit que ce réseau est même prisé par les communautés rurales, tandis que Snapchat reste urbain. Twitter est toujours sous-utilisé et reste encore plus « l’affaire » des anglophones. Facebook est quasiment utilisé par tous les connectés du pays, qui sont estimés à 25 % de sa population (avec une hausse de 43 % par année), et dont les femmes en constituent 33 %. Et, 50 % de ces internautes sont concentrés à Dakar, une fourchette, dont la moitié est compris d’individus, âgés de 18 à 28 ans. Emmanuel Bocquet, animant une projection intitulée, « Digital au Sénégal : Une approche quantitative », développait le sujet, « Où les entreprises qui veulent de la visibilité doivent mettre les pieds, et comment ? ».
Sous ce registre, il a noté que les structures ne faisaient plus focus sur le « Like », car ayant constaté que ce n’est pas un bon indicateur pour définir la réussite de la campagne de communication digitale. Il a préconisé le Cpc (Coût par clic) et le sondage sur les réseaux ciblés par une diversification du produit pour se convaincre du meilleur format à définir.
Myriam Kitar, la directrice du développement de Jumia Advertising, a suggéré de bien penser à polir l’image sur le réseau LinkedIn (où on note par ailleurs une petite majorité de femmes). Elle a aussi conseillé de créer l’engagement des micro-influenceurs (utilisateurs suivis par 10 à 100 mille internautes) pour mieux booster le produit.
Les vidéos et les programmes télévisés sont majoritairement suivis à la demande dans le pays. La vidéo est, en ce moment, le format le plus prisé et le plus consommé. Toutefois, faudrait-il optimaliser, réduire le format et la durée, et jouer sur la concision. Emmanuel Bocquet, ayant animé une partie, a démontré que l’application WhatsApp se redessine, donne à redéfinir ses usages et devient plus qu’une messagerie instantanée.
Ainsi, l’expert en communication digitale a dit que ce réseau est même prisé par les communautés rurales, tandis que Snapchat reste urbain. Twitter est toujours sous-utilisé et reste encore plus « l’affaire » des anglophones. Facebook est quasiment utilisé par tous les connectés du pays, qui sont estimés à 25 % de sa population (avec une hausse de 43 % par année), et dont les femmes en constituent 33 %. Et, 50 % de ces internautes sont concentrés à Dakar, une fourchette, dont la moitié est compris d’individus, âgés de 18 à 28 ans. Emmanuel Bocquet, animant une projection intitulée, « Digital au Sénégal : Une approche quantitative », développait le sujet, « Où les entreprises qui veulent de la visibilité doivent mettre les pieds, et comment ? ».
Sous ce registre, il a noté que les structures ne faisaient plus focus sur le « Like », car ayant constaté que ce n’est pas un bon indicateur pour définir la réussite de la campagne de communication digitale. Il a préconisé le Cpc (Coût par clic) et le sondage sur les réseaux ciblés par une diversification du produit pour se convaincre du meilleur format à définir.
Myriam Kitar, la directrice du développement de Jumia Advertising, a suggéré de bien penser à polir l’image sur le réseau LinkedIn (où on note par ailleurs une petite majorité de femmes). Elle a aussi conseillé de créer l’engagement des micro-influenceurs (utilisateurs suivis par 10 à 100 mille internautes) pour mieux booster le produit.