Selon le Dr Aboubacar Tall, reçu à la rédaction de leral.net, l’Afrique doit mettre à profit ses ressources humaines pour endiguer le mal qui l’a envahi depuis des lustres. Pourtant, il fut un temps, la Chine était moins nantie que le continent africain « mais aujourd’hui, c’est le jour et la nuit », dit le politicien qui se veut d’un type nouveau. Et pour renaître de ses cendre, l’Afrique doit miser sur les scientifiques dont elle dispose pour une industrialisation réelle qui consistera de produire des bien manufacturés, par conséquent une valeur ajoutée beaucoup plus importante. C’est la conviction de Dr Tall qui est d’avis que « le fer de la Falémé doit être revalorisé ». « De concert avec les pays voisins du Sénégal », soutient-il.
L’ambition de tout homme politique est de bénéficier du soutien des populations pour trôner sur les plus hautes marches de la politique. Cette destinée dont rêvent les hommes politiques, le secrétaire général du parti progressiste africain/Sénégal en est conscient. Cependant, il ne s’empresse pas à déclarer sa candidature pour la présidentielle de 2012. Pour ce libéral non aligné qui est convaincu que le développement de l’Afrique ne se fera que par la voie libérale, le plus important, c’est de travailler sur un programme solide qui peut apporter des changements une fois à la tête de l’Etat.
L’actualité nationale est ponctuée par cette série d’immolations auxquelles s’adonnent des jeunes du pays. Le Dr Tall déclare que « la jeunesse n’a pas le droit de s’immoler ». Pour le professeur d’université, ces jeunes ont devant eux une alternative. Et c’est de rejoindre massivement les rangs de son parti d’autant plus que les changements que réclament les populations ne pourront s’effectuer que par la voie démocratique. Par contre, il invite le président Wade à sortir de son mutisme pour s’adresser à cette jeunesse désemparée. Mieux, selon le Dr Tall, les états généraux de la jeunesse doivent être tenues pour sortir le Sénégal de la pauvreté. Et le progressiste libéral ne comprend pas qu’au moment où le Sénégal croule sous le poids de la pauvreté, des entrepreneurs locaux comme Bara Tall soient asphyxiés. « Ces derniers sont des créateurs de richesses qu’il faut protéger », conclue-t-il.
Abdou K. Cissé
L’ambition de tout homme politique est de bénéficier du soutien des populations pour trôner sur les plus hautes marches de la politique. Cette destinée dont rêvent les hommes politiques, le secrétaire général du parti progressiste africain/Sénégal en est conscient. Cependant, il ne s’empresse pas à déclarer sa candidature pour la présidentielle de 2012. Pour ce libéral non aligné qui est convaincu que le développement de l’Afrique ne se fera que par la voie libérale, le plus important, c’est de travailler sur un programme solide qui peut apporter des changements une fois à la tête de l’Etat.
L’actualité nationale est ponctuée par cette série d’immolations auxquelles s’adonnent des jeunes du pays. Le Dr Tall déclare que « la jeunesse n’a pas le droit de s’immoler ». Pour le professeur d’université, ces jeunes ont devant eux une alternative. Et c’est de rejoindre massivement les rangs de son parti d’autant plus que les changements que réclament les populations ne pourront s’effectuer que par la voie démocratique. Par contre, il invite le président Wade à sortir de son mutisme pour s’adresser à cette jeunesse désemparée. Mieux, selon le Dr Tall, les états généraux de la jeunesse doivent être tenues pour sortir le Sénégal de la pauvreté. Et le progressiste libéral ne comprend pas qu’au moment où le Sénégal croule sous le poids de la pauvreté, des entrepreneurs locaux comme Bara Tall soient asphyxiés. « Ces derniers sont des créateurs de richesses qu’il faut protéger », conclue-t-il.
Abdou K. Cissé