L’Union démocratique des travailleurs du Sénégal représentée par Seydou Abou Sy, en l’absence de son secrétaire général Mariama Diallo, a fait part de sa solidarité et de son soutien à l’endroit des victimes des injustices et de l’oppression de la direction de l’usine de fabrication des carreaux Twyford.
L’Udts, par sa voix, a insisté sur le témoignage de solidarité et de compassion à l’endroit des 25 travailleurs détenus dans les locaux de la gendarmerie. A en croire Seydou Abou Sy, leur détention relève de l’arbitraire, car ils n’ont fait que défendre leur droit et leur honneur bafoués. Selon lui, leur place n’est pas un lieu de détention ou de privation de libertés.
Les syndicalistes présents ont tiré la sonnette d’alarme pour dire, ‘’arrêtez’’. Ils sont remontés pour la violation des dispositions du Code du travail et de l’Organisation internationale du travail. Pour le représentant de l’Udts, un délégué du personnel est loin d’une feuille morte qu’on peut renvoyer quand on veut.
Il a expliqué la protection des délégués du personnel par la loi du travail et a rappelé le rôle joué par l’Udts dans la décrispation des rapports dans l’entreprise à travers le dialogue social. Le syndicaliste s’est dit désemparé de voir les choses revenir à la case départ. L’Udts déplore par ailleurs la liberté d’aller et de venir de la direction, au moment où des travailleurs croupissent dans les locaux de la gendarmerie.
Ainsi, les syndicalistes en déduisent une certaine complicité des autorités administratives, protégeant des étrangers. Les syndicalistes ont mis par ailleurs en garde contre toute forme d’iniquité sociale dans la gestion de ce dossier. A en croire la centrale syndicale, elle reste toutefois ouverte à des négociations et exige la libération des interpellés, une source d’apaisement, au profit de tout le monde, l’administration, les travailleurs et la direction de Twyford.
Sud Quotidien
L’Udts, par sa voix, a insisté sur le témoignage de solidarité et de compassion à l’endroit des 25 travailleurs détenus dans les locaux de la gendarmerie. A en croire Seydou Abou Sy, leur détention relève de l’arbitraire, car ils n’ont fait que défendre leur droit et leur honneur bafoués. Selon lui, leur place n’est pas un lieu de détention ou de privation de libertés.
Les syndicalistes présents ont tiré la sonnette d’alarme pour dire, ‘’arrêtez’’. Ils sont remontés pour la violation des dispositions du Code du travail et de l’Organisation internationale du travail. Pour le représentant de l’Udts, un délégué du personnel est loin d’une feuille morte qu’on peut renvoyer quand on veut.
Il a expliqué la protection des délégués du personnel par la loi du travail et a rappelé le rôle joué par l’Udts dans la décrispation des rapports dans l’entreprise à travers le dialogue social. Le syndicaliste s’est dit désemparé de voir les choses revenir à la case départ. L’Udts déplore par ailleurs la liberté d’aller et de venir de la direction, au moment où des travailleurs croupissent dans les locaux de la gendarmerie.
Ainsi, les syndicalistes en déduisent une certaine complicité des autorités administratives, protégeant des étrangers. Les syndicalistes ont mis par ailleurs en garde contre toute forme d’iniquité sociale dans la gestion de ce dossier. A en croire la centrale syndicale, elle reste toutefois ouverte à des négociations et exige la libération des interpellés, une source d’apaisement, au profit de tout le monde, l’administration, les travailleurs et la direction de Twyford.
Sud Quotidien