"Que chacun fasse attention à ses actes et mots. L'erreur d'une seule personne pourrait être subie et payée par toute une communauté. Elle en serait alors doublement victime".
La paix est un art, un idéal de vie; gage d'un vivre ensemble dans la joie sociétale et la cohésion sociale. Égratigner une cicatrice ne soigne pas une plaie. Par contre, il est urgent de faire l'inventaire des ressources minières, minéralières et forestières de notre pays et procéder à un contrôle rigoureux et strict de son exploitation. Ben Sumbundu est un ami qui fait un merveilleux travail dans la protection de la forêt et dont les alertes n'ont pas été entendues, hélas.
Après tout, c'est encore le laxisme d'un gouvernement à travers son manque de rigueur dans la protection de la nature, qui produit ses fruits. Ils me diront certainement que des hommes jalonnent nos forêts mais sont-ils suffisants et suffisamment outillés pour jouer le rôle qui leur est conféré? Nous n'avons ni un pays financier ni une nation économiste, mais plutôt un peuple "gaspilleur" à l'image de ses différentes classes dirigeantes.
À la place des milliards de dettes contractés et injectés dans des histoires qui peuvent attendre, il aura été plus judicieux non seulement de financer les projets de jeunes sans parti-pris et arrêter de nous parler de projets bancables sans nous en donner les critères...(quels sont les critères pour qu'un projet soit bancable? Les ont-ils détaillés?), mais aussi d'orienter l'école sénégalaise vers des formations qui correspondent aux réalités contextuelles du moment. La coupe du bois à outrance est le fait systématique d'un manque d'éducation, de sensibilisation et de la pauvreté, même si cela ne dédouane personne de commettre de tels actes. Nul n'a le droit de violer la nature et ceux qui le font, doivent sévèrement être punis.
En tout état de cause, nous devons nous souvenir à chaque instant que le monde est à l'ère des grands ensembles et seules les nations fortes prendront place à la table des discussions. Les pays Africains qui ont subi les pires torts et les plus sanglantes agressions, l'ont vécu par le fait d'une simple étincelle : les mots.
J'en appelle alors à la responsabilité de chaque Sénégalais, de n'engager aucun discours provocateur ou haineux et que l'on laisse aux hommes du sérail, la latitude de faire leur travail pour que les responsabilités soient situées et les auteurs soient punis sans complaisance aucune. Au-delà de tout, le peuple Sénégalais dans toute sa diversité, se sent mal après ce carnage. Il faut éradiquer ce mal par la racine et ne pas se limiter à cet acte. Pour éviter qu'un arbre fleurisse, il faut lui couper les racines.
R.I.P aux disparus !
...Université des Sages d'Afrique...
La Voix Citoyenne!
La paix est un art, un idéal de vie; gage d'un vivre ensemble dans la joie sociétale et la cohésion sociale. Égratigner une cicatrice ne soigne pas une plaie. Par contre, il est urgent de faire l'inventaire des ressources minières, minéralières et forestières de notre pays et procéder à un contrôle rigoureux et strict de son exploitation. Ben Sumbundu est un ami qui fait un merveilleux travail dans la protection de la forêt et dont les alertes n'ont pas été entendues, hélas.
Après tout, c'est encore le laxisme d'un gouvernement à travers son manque de rigueur dans la protection de la nature, qui produit ses fruits. Ils me diront certainement que des hommes jalonnent nos forêts mais sont-ils suffisants et suffisamment outillés pour jouer le rôle qui leur est conféré? Nous n'avons ni un pays financier ni une nation économiste, mais plutôt un peuple "gaspilleur" à l'image de ses différentes classes dirigeantes.
À la place des milliards de dettes contractés et injectés dans des histoires qui peuvent attendre, il aura été plus judicieux non seulement de financer les projets de jeunes sans parti-pris et arrêter de nous parler de projets bancables sans nous en donner les critères...(quels sont les critères pour qu'un projet soit bancable? Les ont-ils détaillés?), mais aussi d'orienter l'école sénégalaise vers des formations qui correspondent aux réalités contextuelles du moment. La coupe du bois à outrance est le fait systématique d'un manque d'éducation, de sensibilisation et de la pauvreté, même si cela ne dédouane personne de commettre de tels actes. Nul n'a le droit de violer la nature et ceux qui le font, doivent sévèrement être punis.
En tout état de cause, nous devons nous souvenir à chaque instant que le monde est à l'ère des grands ensembles et seules les nations fortes prendront place à la table des discussions. Les pays Africains qui ont subi les pires torts et les plus sanglantes agressions, l'ont vécu par le fait d'une simple étincelle : les mots.
J'en appelle alors à la responsabilité de chaque Sénégalais, de n'engager aucun discours provocateur ou haineux et que l'on laisse aux hommes du sérail, la latitude de faire leur travail pour que les responsabilités soient situées et les auteurs soient punis sans complaisance aucune. Au-delà de tout, le peuple Sénégalais dans toute sa diversité, se sent mal après ce carnage. Il faut éradiquer ce mal par la racine et ne pas se limiter à cet acte. Pour éviter qu'un arbre fleurisse, il faut lui couper les racines.
R.I.P aux disparus !
...Université des Sages d'Afrique...
La Voix Citoyenne!