Ces vieux cars peint en bleu et jaune, le plus souvent dans un état lamentable et qui sont bons pour la casse, mais qui rendent une foule de services aux nombreux dakarois, étaient hier absent de la circulation.
Une absence pour cause de grève de 48 heures des transporteurs. Ces cars, tellement maquillé avec tant de couleur qu’on a du mal à distinguer, ont observé le mot d’ordre de grève à 100%. Appelés cars rapides par ironie, hier plus d’un dakarois s’est rendu compte de leur utilité.
A l’image de ce groupe de femmes retrouvées à l’arrêt du rond-point liberté 6. « Les cars rapides ne devaient pas faire partie de la grève. Nous, nous croyons que c’étaient seulement les bus et les Taxis qui allaient en grève », laisse entendre l’une d’elle, visiblement mal-en-point.
Une absence pour cause de grève de 48 heures des transporteurs. Ces cars, tellement maquillé avec tant de couleur qu’on a du mal à distinguer, ont observé le mot d’ordre de grève à 100%. Appelés cars rapides par ironie, hier plus d’un dakarois s’est rendu compte de leur utilité.
A l’image de ce groupe de femmes retrouvées à l’arrêt du rond-point liberté 6. « Les cars rapides ne devaient pas faire partie de la grève. Nous, nous croyons que c’étaient seulement les bus et les Taxis qui allaient en grève », laisse entendre l’une d’elle, visiblement mal-en-point.