Dieu est le plus juste des juges ! Alors que tout semblait fait pour la descendre en flammes, Mme le ministre du Commerce et des PME, naturellement, s'est vue offrir un cadre d'explications à l'attention de l'opinion publique. C'est la rencontre qu'offre le Pool de communication de la Présidence de la République à certains ministres du gouvernement ce jour 24 Novembre, face à la presse nationale. Madame Assome Aminata Diatta, Ministre du Commerce et des PME, sous les projecteurs médiatiques depuis un temps, au prétexte de la délivrance de déclarations d'importation de produit alimentaire (Dipa), jugée trop élevée sur le marché au détriment des intérêts supposés de la Compagnie sucrière sénégalaise (Css), a été la cible de certains lobbies.
Dieu merci que tout est maintenant clair. Au bout de quelques minutes seulement, voilà que Mme le ministre a réussi à convaincre ceux qui, objectivement, voulaient en savoir vrai et juste. Les tireurs, quant à eux, diront qu'ils sont restés sur leur faim. Mais comme en matière d'affaires publiques, d'affaires d'Etat, on n'a pas à gérer les caprices d'adultes intransigeants, on passe l'éponge dessus.
La Ministre chargée du commerce, après un brillant exposé, a convaincu et peut bien demander que soit tournée la page. Car il y a plus urgent ailleurs, et que l'heure n'est pas à la farce.
Ayons la force, chacun à son niveau, la capacité spirituelle de se hisser au-dessus des contingences personnelles et personnalisées, pour juger objectivement les gens sur des faits, et pas plus. Dans cette histoire, ceux qui ont lu hier 23 novembre le communiqué du ministère du Commerce sur les fameuses Dipa, ne devraient plus trouver à redire. Que Assome soit la cible politique à atteindre, cela peut s'expliquer, et c'est politiquement compréhensible, vu les intérêts des uns et des autres. Mais à combattre son ennemi (e) poings nus, les yeux fermés, il est évident qu'on ne réussira pas à l'atteindre à bout portant.
Nous n'avons rien contre la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS), du fait qu'elle nous fournit du sucre sur un marché dont elle ne peut couvrir la demande en produit. Mais ce qu'on n'arrive pas à digérer, c'est surtout le monopole du sucre dont la CSS s'arroge exclusivement le droit au Sénégal, depuis 1970.
On n'a qu'à voir le ton osé avec lequel Monsieur Louis Lamotte, directeur des Ressources humaines de la CSS s'est adressé aux Sénégalais hier à 20 heures, sur le plateau de la télévision futurs médias (tfm). Tout fonctionnait comme si la Française de la CSS (oui, qui est vraiment derrière CSS?) est intouchable sur le sol d'un Sénégal souverain, même s'il lui arrive de disposer de 30.000 tonnes de sucre, volume supérieur au quota de 20.000 tonnes qui lui ont été attribuées.
Meme si on se sent tout-puissant, le Sénégal n'est pas un pays qui piétine les intérêts des Sénégalais au profit exclusif des intérêts des entreprises françaises. On trouve également au Sénégal certains qui osent refuser les manipulations, les trafics d'influence et de l'intimidation, quand bien même ils pourraient risquer gros. Oui, certains Sénégalais, bien que conscients que c'est un combait de DAVID contre GOLIATH, s'arment de leur courage et leur foi pour se battre contre l'injustice et défendre les intérêts des Sénégalais en priorité. Madame le Ministre du Commerce est de cette trempe. Les manipulateurs ont beau l'accuser de ne pas être mondaine, de ne jamais se couvrir d'or et de diamants, de faire uniquement du boulot- politique- dodo et donc? de ne pas être facilement approchée, c'est son choix de vie.
La CSS a fini de bâtir son empire financier au Sénégal
Il n'est pas nécessaire de rappeler les circonstances de l'arrivée du boss de la CSS au Sénégal, après sa débâcle chez Houphouët Boigny en Côte d'Ivoire. Il n'est pas aussi nécessaire de rappeler les conditions d'obtention des premiers 20 hectares de la CSS... Mais si la guerre continue, nous y serons contraints.
Ailleurs, aucune entreprise sénégalaise n'aurait la liberté de ton d'une si aberrante symphonie. Mais bon, tout est bien qui finit bien. Il fallait bien que soit faite la précision qu'on ne crie pas à l'injustice quand on est traité avec autant de privilèges chez les autres.
En tout cas, nous jeunes opérateurs économiques, n'acceptons plus les attaques gratuites contre notre ministre du Commerce, Assome Diatta, à qui la nation entière doit des félicitations, pour avoir jusque-là bien géré l'avènement du COVID au Sénégal, sans aucune pénurie. Heureusement, le Sénégal a un president de la République qui ne se laisse pas embarquer facilement au moindre cri des sirènes, de ces accusateurs nés.Tout comme Assome Diatta, l'intérêt du Sénégal intéresse au premier chef son Excellence Macky Sall.
Driss Junior Diallo
CEO GROUPE AINDIA BUSINESS (AGROBUSINESS)
Dieu merci que tout est maintenant clair. Au bout de quelques minutes seulement, voilà que Mme le ministre a réussi à convaincre ceux qui, objectivement, voulaient en savoir vrai et juste. Les tireurs, quant à eux, diront qu'ils sont restés sur leur faim. Mais comme en matière d'affaires publiques, d'affaires d'Etat, on n'a pas à gérer les caprices d'adultes intransigeants, on passe l'éponge dessus.
La Ministre chargée du commerce, après un brillant exposé, a convaincu et peut bien demander que soit tournée la page. Car il y a plus urgent ailleurs, et que l'heure n'est pas à la farce.
Ayons la force, chacun à son niveau, la capacité spirituelle de se hisser au-dessus des contingences personnelles et personnalisées, pour juger objectivement les gens sur des faits, et pas plus. Dans cette histoire, ceux qui ont lu hier 23 novembre le communiqué du ministère du Commerce sur les fameuses Dipa, ne devraient plus trouver à redire. Que Assome soit la cible politique à atteindre, cela peut s'expliquer, et c'est politiquement compréhensible, vu les intérêts des uns et des autres. Mais à combattre son ennemi (e) poings nus, les yeux fermés, il est évident qu'on ne réussira pas à l'atteindre à bout portant.
Nous n'avons rien contre la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS), du fait qu'elle nous fournit du sucre sur un marché dont elle ne peut couvrir la demande en produit. Mais ce qu'on n'arrive pas à digérer, c'est surtout le monopole du sucre dont la CSS s'arroge exclusivement le droit au Sénégal, depuis 1970.
On n'a qu'à voir le ton osé avec lequel Monsieur Louis Lamotte, directeur des Ressources humaines de la CSS s'est adressé aux Sénégalais hier à 20 heures, sur le plateau de la télévision futurs médias (tfm). Tout fonctionnait comme si la Française de la CSS (oui, qui est vraiment derrière CSS?) est intouchable sur le sol d'un Sénégal souverain, même s'il lui arrive de disposer de 30.000 tonnes de sucre, volume supérieur au quota de 20.000 tonnes qui lui ont été attribuées.
Meme si on se sent tout-puissant, le Sénégal n'est pas un pays qui piétine les intérêts des Sénégalais au profit exclusif des intérêts des entreprises françaises. On trouve également au Sénégal certains qui osent refuser les manipulations, les trafics d'influence et de l'intimidation, quand bien même ils pourraient risquer gros. Oui, certains Sénégalais, bien que conscients que c'est un combait de DAVID contre GOLIATH, s'arment de leur courage et leur foi pour se battre contre l'injustice et défendre les intérêts des Sénégalais en priorité. Madame le Ministre du Commerce est de cette trempe. Les manipulateurs ont beau l'accuser de ne pas être mondaine, de ne jamais se couvrir d'or et de diamants, de faire uniquement du boulot- politique- dodo et donc? de ne pas être facilement approchée, c'est son choix de vie.
La CSS a fini de bâtir son empire financier au Sénégal
Il n'est pas nécessaire de rappeler les circonstances de l'arrivée du boss de la CSS au Sénégal, après sa débâcle chez Houphouët Boigny en Côte d'Ivoire. Il n'est pas aussi nécessaire de rappeler les conditions d'obtention des premiers 20 hectares de la CSS... Mais si la guerre continue, nous y serons contraints.
Ailleurs, aucune entreprise sénégalaise n'aurait la liberté de ton d'une si aberrante symphonie. Mais bon, tout est bien qui finit bien. Il fallait bien que soit faite la précision qu'on ne crie pas à l'injustice quand on est traité avec autant de privilèges chez les autres.
En tout cas, nous jeunes opérateurs économiques, n'acceptons plus les attaques gratuites contre notre ministre du Commerce, Assome Diatta, à qui la nation entière doit des félicitations, pour avoir jusque-là bien géré l'avènement du COVID au Sénégal, sans aucune pénurie. Heureusement, le Sénégal a un president de la République qui ne se laisse pas embarquer facilement au moindre cri des sirènes, de ces accusateurs nés.Tout comme Assome Diatta, l'intérêt du Sénégal intéresse au premier chef son Excellence Macky Sall.
Driss Junior Diallo
CEO GROUPE AINDIA BUSINESS (AGROBUSINESS)