Militante loyale de l’Apr fondée par Macky Sall, en 2008, Yetta Sow a réalisé un parcours parlementaire hors du commun, après l’accession de son parti au pouvoir en 2012. Ayant occupé tour à tour, le poste de 5e et 6e Vice-présidente de la 12e législature, la native de Kadione devient lors de la 13e législature, deuxième Vice-présidente de l’Assemblée nationale et actuellement, 4e vice-présidente de la 14e législature.
Avant son entrée en politique, Yetta s’est toujours montrée ambitieuse et battante. Diplôme d’assistante de direction en bandoulière après une formation en bureautique, appuyée par des cours de renforcement en gestion de projets et management, Yetta Sow travaillera pendant 25 ans dans le groupe Compagnie sahélienne d’entreprise (Cse). A la fin des années 2000, elle s’est engagée en politique, avant de rejoindre plus tard, l’Alliance pour la République du Président Macky Sall. Un choix que justifie l’ancienne parlementaire. «Je suis convaincue de la vision de son excellence Macky Sall, président de la République. J’ai décidé de le soutenir et, depuis lors, je milite dans sa formation politique», explique-t-elle.
Avec son leader Macky Sall, l’ancienne députée a toujours eu de bonnes relations. «Je dois dire que j’entretiens une relation fraternelle et d’amitié avec Son Excellence Macky Sall, au-delà de la relation du militant et de son responsable.»
Le choix de la femme au riche parcours parlementaire de militer pour l’Apres, t loin d’être anodin.
Yetta Sow trouve en son mentor, qu’elle qualifie de leader réformateur, la vision qui l’a convaincue. «Il n’y a pas de doute que Macky Sall a amélioré les conditions de vie du monde rural, grâce à des programmes structurants et durables ; le renforcement du statut de la femme dans les politiques sociales ; la généralisation des bourses sociales ; le renforcement de la transparence (mise en place de l’Ofnac, l’adhésion à l’Itie, augmentation des moyens de la cour des comptes, développement des infrastructures TER , BRT , Stade Maître Abdoulaye Wade etc. », déclare-t-elle. La militante de l’Apr s’est toujours évertuée à accompagner le chef de l’Etat dans la matérialisation de sa vision pour le pays, quitte à utiliser ses propres moyens. «J’essaie de contribuer, avec mes moyens, à la concrétisation de sa vision pour le développement le Sénégal», dit-elle.
Le social, un sacerdoce
LA vice-présidente de l’Assemblée nationale ne s’est pas contentée uniquement de sa vie parlementaire. Préoccupée par les conditions de vie des femmes et des plus démunis de son département, elle a beaucoup œuvré dans le social. «En tant que Coordonnatricedes femmes du département de Podor et avec l’aide d'Abdoulaye Daouda Diallo, elles ont pu bénéficier plus de 300 millions FCfa, en termes de financement, une centaine de moulins à mil, 200 billets pour la Mecque, des centaines de tonnes de riz, etc», fait-elle savoir.
En outre, le Cercle d’initiatives pour le développement (Ciad), dont elle est la présidente, a financé beaucoup de groupements de femmes, construit deux mosquées, creusé des puits pour des villages, appuyé des daaras et donné des vivres à des familles démunies.
Pour Yetta Sow, le passage à l’assemblée nationale a été d’une importance capitale pour sa vie politique. Ce qui lui fait considérer que «l’Hémicycle est un passage obligé pour un homme politique au service de la nation», en prenant exemple sur son leader Macky Sall, qui a été président de ladite institution, qu’elle considère comme étant une école pour la compréhension des préoccupations de la Nation, au-delà de la fonction de légiférer et de représentation. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle loue les qualités de Moustapha Niasse, qui a dirigé l’institution pendant plusieurs années et qu’elle qualifie de «grand homme d’Etat».
Ainsi, entre elle et son terroir natal du Fouta Toro, plus particulièrement la commune de Ndiayène Pendao, c’est tout simplement, une véritable histoire d’amour, faite de passion et d’adoration. Généreuse dans l’effort, persévérante et ambitieuse, la native de Kadione vit par le travail, qu’elle érige en culte. Le travail bien fait s’entend, car partout où elle est passée à travers sa trajectoire professionnelle et politique, Yetta aura marqué son territoire. Femme cadre que ses collaboratrices décrient comme une grosse bosseuse, méticuleuse et perpétuellement hantée par le souci de la « copie parfaite » à vendre. Elle est aussi une femme posée et dotée d’un sens élevé du partage et de la compassion.
A la cité Ker Gorgui où elle habite, l’ancienne parlementaire s’illustre dans ses actions sociales faites, en toute discrétion, en faveur des vieux du quartier, des femmes et des jeunes, qui ne tarissent pas d’éloges sur cette femme, dont la vie est entièrement dédiée au social.
Abou Kane
Avant son entrée en politique, Yetta s’est toujours montrée ambitieuse et battante. Diplôme d’assistante de direction en bandoulière après une formation en bureautique, appuyée par des cours de renforcement en gestion de projets et management, Yetta Sow travaillera pendant 25 ans dans le groupe Compagnie sahélienne d’entreprise (Cse). A la fin des années 2000, elle s’est engagée en politique, avant de rejoindre plus tard, l’Alliance pour la République du Président Macky Sall. Un choix que justifie l’ancienne parlementaire. «Je suis convaincue de la vision de son excellence Macky Sall, président de la République. J’ai décidé de le soutenir et, depuis lors, je milite dans sa formation politique», explique-t-elle.
Avec son leader Macky Sall, l’ancienne députée a toujours eu de bonnes relations. «Je dois dire que j’entretiens une relation fraternelle et d’amitié avec Son Excellence Macky Sall, au-delà de la relation du militant et de son responsable.»
Le choix de la femme au riche parcours parlementaire de militer pour l’Apres, t loin d’être anodin.
Yetta Sow trouve en son mentor, qu’elle qualifie de leader réformateur, la vision qui l’a convaincue. «Il n’y a pas de doute que Macky Sall a amélioré les conditions de vie du monde rural, grâce à des programmes structurants et durables ; le renforcement du statut de la femme dans les politiques sociales ; la généralisation des bourses sociales ; le renforcement de la transparence (mise en place de l’Ofnac, l’adhésion à l’Itie, augmentation des moyens de la cour des comptes, développement des infrastructures TER , BRT , Stade Maître Abdoulaye Wade etc. », déclare-t-elle. La militante de l’Apr s’est toujours évertuée à accompagner le chef de l’Etat dans la matérialisation de sa vision pour le pays, quitte à utiliser ses propres moyens. «J’essaie de contribuer, avec mes moyens, à la concrétisation de sa vision pour le développement le Sénégal», dit-elle.
Le social, un sacerdoce
LA vice-présidente de l’Assemblée nationale ne s’est pas contentée uniquement de sa vie parlementaire. Préoccupée par les conditions de vie des femmes et des plus démunis de son département, elle a beaucoup œuvré dans le social. «En tant que Coordonnatricedes femmes du département de Podor et avec l’aide d'Abdoulaye Daouda Diallo, elles ont pu bénéficier plus de 300 millions FCfa, en termes de financement, une centaine de moulins à mil, 200 billets pour la Mecque, des centaines de tonnes de riz, etc», fait-elle savoir.
En outre, le Cercle d’initiatives pour le développement (Ciad), dont elle est la présidente, a financé beaucoup de groupements de femmes, construit deux mosquées, creusé des puits pour des villages, appuyé des daaras et donné des vivres à des familles démunies.
Pour Yetta Sow, le passage à l’assemblée nationale a été d’une importance capitale pour sa vie politique. Ce qui lui fait considérer que «l’Hémicycle est un passage obligé pour un homme politique au service de la nation», en prenant exemple sur son leader Macky Sall, qui a été président de ladite institution, qu’elle considère comme étant une école pour la compréhension des préoccupations de la Nation, au-delà de la fonction de légiférer et de représentation. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle loue les qualités de Moustapha Niasse, qui a dirigé l’institution pendant plusieurs années et qu’elle qualifie de «grand homme d’Etat».
Ainsi, entre elle et son terroir natal du Fouta Toro, plus particulièrement la commune de Ndiayène Pendao, c’est tout simplement, une véritable histoire d’amour, faite de passion et d’adoration. Généreuse dans l’effort, persévérante et ambitieuse, la native de Kadione vit par le travail, qu’elle érige en culte. Le travail bien fait s’entend, car partout où elle est passée à travers sa trajectoire professionnelle et politique, Yetta aura marqué son territoire. Femme cadre que ses collaboratrices décrient comme une grosse bosseuse, méticuleuse et perpétuellement hantée par le souci de la « copie parfaite » à vendre. Elle est aussi une femme posée et dotée d’un sens élevé du partage et de la compassion.
A la cité Ker Gorgui où elle habite, l’ancienne parlementaire s’illustre dans ses actions sociales faites, en toute discrétion, en faveur des vieux du quartier, des femmes et des jeunes, qui ne tarissent pas d’éloges sur cette femme, dont la vie est entièrement dédiée au social.
Abou Kane