« Le Témoin » quotidien vous révèle une affaire qui risque d’éclabousser la famille judiciaire.
Une affaire qui fait l’objet d’un soit-transmis adressé à la Brigade de recherches de la gendarmerie sise à l'avenue Faidherbe à Dakar. Convoqué par les gendarmes, le commissaire-priseur a été entendu pour abus de confiance, faux et usage de faux, sous-évaluation frauduleuse, faux en écritures, portant sur des biens saisis estimés à plus de 1 milliard 800 millions de francs Cfa. Il s’agit d’une affaire de vente d’une dizaine d'engins, de camions-plateaux, de grues mobiles, de chariots élévateurs et de camions-grues saisis sur une société de transit et de manutention.
Après les opérations de saisie, tout le matériel a été confié au commissaire-priseur chargé de la vente aux enchères. A l’arrivée, le commissaire-priseur est accusé par les avocats de la société de transit, d’avoir frauduleusement sous-évalué la valeur des biens pour ensuite les brader à… vil prix. Vrai ou faux ? Après avoir noté des irrégularités et autres malversations financières, les avocats du plaignant en colère ont immédiatement déposé une plainte contre le commissaire-priseur auprès du procureur de la République. L’enquête suit son cours à la gendarmerie sous la supervision du Parquet.
Une affaire qui fait l’objet d’un soit-transmis adressé à la Brigade de recherches de la gendarmerie sise à l'avenue Faidherbe à Dakar. Convoqué par les gendarmes, le commissaire-priseur a été entendu pour abus de confiance, faux et usage de faux, sous-évaluation frauduleuse, faux en écritures, portant sur des biens saisis estimés à plus de 1 milliard 800 millions de francs Cfa. Il s’agit d’une affaire de vente d’une dizaine d'engins, de camions-plateaux, de grues mobiles, de chariots élévateurs et de camions-grues saisis sur une société de transit et de manutention.
Après les opérations de saisie, tout le matériel a été confié au commissaire-priseur chargé de la vente aux enchères. A l’arrivée, le commissaire-priseur est accusé par les avocats de la société de transit, d’avoir frauduleusement sous-évalué la valeur des biens pour ensuite les brader à… vil prix. Vrai ou faux ? Après avoir noté des irrégularités et autres malversations financières, les avocats du plaignant en colère ont immédiatement déposé une plainte contre le commissaire-priseur auprès du procureur de la République. L’enquête suit son cours à la gendarmerie sous la supervision du Parquet.