
Les internes décrient leurs conditions de travail. Elles sont pourtant bien régies par trois décrets. Le premier de ces décrets est promulgué depuis 1962. Et, les deux autres, depuis 1972. Ils sont relatifs à l’internat en pharmacie, à l’internat en médecine et à l’internat en psychiatrie dans les hôpitaux de Dakar.
L’Aiaihs a mis en évidence les manquements liés à l’exercice de leur métier. Elle relève la situation précaire des internes de l’Hôpital Aristide le Dantec, ainsi que l’hébergement limité du CHU de Fann, en sus des « locaux vieillissants et dangereux ».
Les internes déplorent de même, « les conditions pénibles durant les gardes au service d’accueil des urgences et au laboratoire de garde du CHU de Fann ». Une situation jugée incompatible avec des prestations de soins de qualité.
L’association des internes avisent aussi de la rémunération des gardes en dessous du taux prévu par le Code du travail, pour le service de nuit. Un problème qui s'ajoute à « l’inexistence d’un statut de l’interne des hôpitaux et à des difficultés d’insertion professionnelle des anciens internes ».
L’Aiaihs a mis en évidence les manquements liés à l’exercice de leur métier. Elle relève la situation précaire des internes de l’Hôpital Aristide le Dantec, ainsi que l’hébergement limité du CHU de Fann, en sus des « locaux vieillissants et dangereux ».
Les internes déplorent de même, « les conditions pénibles durant les gardes au service d’accueil des urgences et au laboratoire de garde du CHU de Fann ». Une situation jugée incompatible avec des prestations de soins de qualité.
L’association des internes avisent aussi de la rémunération des gardes en dessous du taux prévu par le Code du travail, pour le service de nuit. Un problème qui s'ajoute à « l’inexistence d’un statut de l’interne des hôpitaux et à des difficultés d’insertion professionnelle des anciens internes ».