La Pandémie de la Covid-19 est une épreuve inédite pour toute l’Humanité, notamment pour les pays du Sud, comme le Sénégal. Sa gestion par le Chef de l’Etat, le Président Macky Sall, transparaît à travers la Force Covid – 19, la Loi d’Habilitation, l’état d’urgence, l’état de catastrophe sanitaire et toutes les mesures salutaires, tant aux plans sécuritaire, sanitaire, économique, budgétaire et social.
A cet égard, les Institutions de la République ont joué, chacune dans ses domaines de compétence, le rôle qui lui est dévolu. Dans ce contexte, l’Assemblée nationale a participé, régulièrement et intensément, à la lutte contre cette épreuve, en toute transparence, conformément à la Constitution de notre pays et au règlement Intérieur de l’Institution.
Des objectifs politiques hors saison ne devraient pas justifier les cris d’orfraie de ceux-là qui tentent laborieusement de mettre sous le boisseau les actions planifiées et concertées de l’Assemblée nationale, depuis la Déclaration du Président Moustapha Niasse à la RTS, dès le 20 mars 2020.
L’Assemblée nationale mène à bien ses missions de contrôle et d’évaluation de l’action gouvernementale, en convoquant régulièrement ses instances, même si elle s’adapte aux impératifs de la lutte contre la Covid – 19, avec des mesures et des formats appropriés.
Par ailleurs, elle est représentée, par toutes ses composantes politiques, dans des structures où l’Etat s’organise pour faire face, notamment au sein du Comité de suivi de la Force Covid – 19, dont le rapport sera remis incessamment au Chef de l’Etat. Voudrait-on à ce stade, interférer dans les travaux de vérification et de contrôle de ce Comité ?
Au demeurant, ce Comité est en train d’abattre un travail remarquable, dans la cohésion, sous la direction du Général François Ndiaye. Il convient de rappeler que l’Assemblée nationale, une fois le rapport déposé, aura tout le loisir, en temps utile, de se prononcer.
Par conséquent, Il n’est guère pertinent de développer la confusion des genres, en demandant à l’Assemblée nationale de jouer les rôles qui sont dévolus aux corps de contrôle, notamment à la Cour des Comptes et à l’Inspection Générale d’Etat. Il y a un temps pour tout.
Aujourd’hui, face au contexte, c’est le combat solidaire qui s’impose. Au nom de la morale républicaine, pour l’amour de la Patrie !
Adji Mbergane Kanouté, députée
A cet égard, les Institutions de la République ont joué, chacune dans ses domaines de compétence, le rôle qui lui est dévolu. Dans ce contexte, l’Assemblée nationale a participé, régulièrement et intensément, à la lutte contre cette épreuve, en toute transparence, conformément à la Constitution de notre pays et au règlement Intérieur de l’Institution.
Des objectifs politiques hors saison ne devraient pas justifier les cris d’orfraie de ceux-là qui tentent laborieusement de mettre sous le boisseau les actions planifiées et concertées de l’Assemblée nationale, depuis la Déclaration du Président Moustapha Niasse à la RTS, dès le 20 mars 2020.
L’Assemblée nationale mène à bien ses missions de contrôle et d’évaluation de l’action gouvernementale, en convoquant régulièrement ses instances, même si elle s’adapte aux impératifs de la lutte contre la Covid – 19, avec des mesures et des formats appropriés.
Par ailleurs, elle est représentée, par toutes ses composantes politiques, dans des structures où l’Etat s’organise pour faire face, notamment au sein du Comité de suivi de la Force Covid – 19, dont le rapport sera remis incessamment au Chef de l’Etat. Voudrait-on à ce stade, interférer dans les travaux de vérification et de contrôle de ce Comité ?
Au demeurant, ce Comité est en train d’abattre un travail remarquable, dans la cohésion, sous la direction du Général François Ndiaye. Il convient de rappeler que l’Assemblée nationale, une fois le rapport déposé, aura tout le loisir, en temps utile, de se prononcer.
Par conséquent, Il n’est guère pertinent de développer la confusion des genres, en demandant à l’Assemblée nationale de jouer les rôles qui sont dévolus aux corps de contrôle, notamment à la Cour des Comptes et à l’Inspection Générale d’Etat. Il y a un temps pour tout.
Aujourd’hui, face au contexte, c’est le combat solidaire qui s’impose. Au nom de la morale républicaine, pour l’amour de la Patrie !
Adji Mbergane Kanouté, députée