A la Cité Adama Diop de Guédiawaye, l'histoire fait grand bruit. Un des adjoints de l'Imam de la mosquée Serigne Mansour Sy n'était rien d'autre qu'un homosexuel. Babacar Sow, qui était pourtant un étranger dans ce quartier, a réussi à gagner la confiance de l'imam Sakho, le titulaire connu pour sa pertinence et sa justesse. Il dirigeait souvent toutes les cinq prières sauf celle du vendredi. Les fidèles musulmans étaient donc loin de douter de la piété et de la sincérité de cet homme. Alors, quand ils ont appris qu'il menait une vie double avec des actes contre-nature, la désolation s'est emparée de la localité et les cris d'indignation ont fusé de partout. Babacar Sow a été mis à nu il y a de cela une semaine lorsque le jeune homme avec qui il entretenait des relations sexuelles intenses a enfin décidé de rompre le silence. Il est allé en bordure de mer pour tout raconter à l'imam titulaire qui n'en revenait pas. Le fameux imam qui était en location dans la même maison que sa "victime". Selon des indiscrétions, il utilisait du lait de bœuf et des incantations pour atteindre sa cible. L'appétit venant en mangeant, Sow avait fini par prendre ses aises et n'hésitait pas à multiplier ses assauts sur le pauvre jeune homme apparemment envoûté et inconscient.
Marié, Babacar Sow ne vivait pas avec sa femme. Celle-ci serait partie avec ses bagages quand elle a remarqué que son époux s'adonnait à des pratiques pas du tout musulmanes en dépit de son apparence d'homme lige et parfait. Une curiosité que les voisins soulignent aujourd'hui avec le recul. Mais ce qui a aussi attiré leur attention, c'est le train de vie très dispendieux de cet imam "indélicat". Il n'avait aucune activité professionnelle connue, souligne-t-on.
Les jeunes du quartier, en furie contre Sow, ont voulu le corriger. Mais c'était sans compter avec le vrai imam Sakho qui a agi en responsable en leur demandant de rester calme. C'est nuitamment que l'imam contre-nature est revenu pour récupérer ses biens et prendre la poudre d'escampette, révèlent nos confrères de La Tribune.
Marié, Babacar Sow ne vivait pas avec sa femme. Celle-ci serait partie avec ses bagages quand elle a remarqué que son époux s'adonnait à des pratiques pas du tout musulmanes en dépit de son apparence d'homme lige et parfait. Une curiosité que les voisins soulignent aujourd'hui avec le recul. Mais ce qui a aussi attiré leur attention, c'est le train de vie très dispendieux de cet imam "indélicat". Il n'avait aucune activité professionnelle connue, souligne-t-on.
Les jeunes du quartier, en furie contre Sow, ont voulu le corriger. Mais c'était sans compter avec le vrai imam Sakho qui a agi en responsable en leur demandant de rester calme. C'est nuitamment que l'imam contre-nature est revenu pour récupérer ses biens et prendre la poudre d'escampette, révèlent nos confrères de La Tribune.