La fusion entre l’Apr et l’Afp est agitée. Mais dans les couloirs, tout indique que l’idée ne peut progresser sans le retour du quinquennat de la présidence de l’Assemblée nationale. Une preuve de confiance mutuelle entre les deux partis.
Moustapha Niasse rêvait, dans sa déclaration de soutien au candidat Sall, de retrouvailles «dans l’espace des actions partagées, des réflexions communes» pour relever le défi du changement. Un «serrement de mains» qui n’est pas seulement, pour lui «un acte protocolaire». Mais son rang protocolaire dans les institutions, en tant que président de l’Assemblée nationale, 2ème personnalité de l’Etat, lui confère aujourd’hui une position confortable «monnayée» par une fusion avec le parti de Macky Sall.
Moustapha Niasse rêvait, dans sa déclaration de soutien au candidat Sall, de retrouvailles «dans l’espace des actions partagées, des réflexions communes» pour relever le défi du changement. Un «serrement de mains» qui n’est pas seulement, pour lui «un acte protocolaire». Mais son rang protocolaire dans les institutions, en tant que président de l’Assemblée nationale, 2ème personnalité de l’Etat, lui confère aujourd’hui une position confortable «monnayée» par une fusion avec le parti de Macky Sall.