Le suspect a été interpellé par la Police mauritanienne alors qu'il entrait clandestinement dans le pays, suite à la diffusion du mandat d'arrêt international par le BCN-Interpol Dakar. Remis aux autorités sénégalaises, Juan Paulo Lopez BRANCO a fait preuve d'une attitude intransigeante en refusant catégoriquement de prendre connaissance du mandat d'arrêt qui lui a été notifié à son arrivée à la Division des Investigations Criminelles.
Ses premiers mots prononcés lors de son arrestation ont ajouté au mystère qui entoure cette affaire : « seule la lutte libère », une déclaration énigmatique qui n'a pas encore été expliquée. Malgré les efforts déployés par ses avocats, Ciré Cledor LY et Abdy Nar NDIAYE, pour l'assister et comprendre sa position, Juan Paulo Lopez BRANCO est resté muré dans un silence absolu, ne livrant aucun détail sur les motifs de son comportement étrange.
Mais les préoccupations ne s'arrêtent pas là. En plus de refuser de coopérer avec ses avocats et les autorités, le suspect a également choisi de ne pas s'alimenter, malgré les tentatives bienveillantes de ses confrères qui lui avaient apporté de la nourriture. Cette résistance obstinée soulève des inquiétudes quant à son état de santé et à son bien-être en détention.
Les accusations qui pèsent contre Juan Paulo Lopez BRANCO sont extrêmement graves : appel à l'insurrection, diffusion de fausses nouvelles, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves. Face à la nature sérieuse de ces charges, les autorités judiciaires cherchent à élucider les raisons derrière son attitude évasive et son refus de coopération.
Ses premiers mots prononcés lors de son arrestation ont ajouté au mystère qui entoure cette affaire : « seule la lutte libère », une déclaration énigmatique qui n'a pas encore été expliquée. Malgré les efforts déployés par ses avocats, Ciré Cledor LY et Abdy Nar NDIAYE, pour l'assister et comprendre sa position, Juan Paulo Lopez BRANCO est resté muré dans un silence absolu, ne livrant aucun détail sur les motifs de son comportement étrange.
Mais les préoccupations ne s'arrêtent pas là. En plus de refuser de coopérer avec ses avocats et les autorités, le suspect a également choisi de ne pas s'alimenter, malgré les tentatives bienveillantes de ses confrères qui lui avaient apporté de la nourriture. Cette résistance obstinée soulève des inquiétudes quant à son état de santé et à son bien-être en détention.
Les accusations qui pèsent contre Juan Paulo Lopez BRANCO sont extrêmement graves : appel à l'insurrection, diffusion de fausses nouvelles, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves. Face à la nature sérieuse de ces charges, les autorités judiciaires cherchent à élucider les raisons derrière son attitude évasive et son refus de coopération.