«Les lacunes identifiées par les experts dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, sont à la base de l’inscription du Sénégal sur les listes des juridictions à surveillance renforcée du GAFI. Cette liste anciennement appelée liste grise traduit la situation des pays dont le dispositif des déficiences sont importantes mais ayant pris l’engagement politiques d’y remédier dans les délais», a dit Ramatoulaye Gadio Agne.
Elle ajoute ainsi que «le Sénégal a pris l’engagement de mettre en œuvre de façon satisfaisante, le Plan d’actions composé de 29 mesures, entre février 2021 et septembre 2022». Le renforcement de la législation sur le flux financier est une des recommandations faites au Sénégal, mais elle n’est pas la seule.
«Ce Plan d’actions qui fait présentement objet de discussion entre les différentes parties prenantes dont les notaires prescrit avec les délais des mesures à prendre à différents niveaux notamment des textes communautaires pour conformer davantage le cadre juridique, la Coopération internationale à redynamiser, l’adoption et le renforcement de l’approche basée sur les risques dans la supervision et le contrôle des personnes assujetties des secteurs financiers et non financiers», a dit Ramatoulaye Gadio Agne.
Elle affirme, en outre, qu’il est demandé au Sénégal, «le recours à des outils techniques et informatiques conséquents, pour améliorer l’efficacité du dispositif national, le renforcement des capacités opérationnelles des organes dédiés à la lutte, la formation et la sensibilisation des acteurs concernés».
A signaler que le renforcement des capacités des notaires sur le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, vise à les inciter à l’obligation de vigilance, de contrôle, de conservation des archives des opérations suspectes.
Sud Quotidien
Elle ajoute ainsi que «le Sénégal a pris l’engagement de mettre en œuvre de façon satisfaisante, le Plan d’actions composé de 29 mesures, entre février 2021 et septembre 2022». Le renforcement de la législation sur le flux financier est une des recommandations faites au Sénégal, mais elle n’est pas la seule.
«Ce Plan d’actions qui fait présentement objet de discussion entre les différentes parties prenantes dont les notaires prescrit avec les délais des mesures à prendre à différents niveaux notamment des textes communautaires pour conformer davantage le cadre juridique, la Coopération internationale à redynamiser, l’adoption et le renforcement de l’approche basée sur les risques dans la supervision et le contrôle des personnes assujetties des secteurs financiers et non financiers», a dit Ramatoulaye Gadio Agne.
Elle affirme, en outre, qu’il est demandé au Sénégal, «le recours à des outils techniques et informatiques conséquents, pour améliorer l’efficacité du dispositif national, le renforcement des capacités opérationnelles des organes dédiés à la lutte, la formation et la sensibilisation des acteurs concernés».
A signaler que le renforcement des capacités des notaires sur le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, vise à les inciter à l’obligation de vigilance, de contrôle, de conservation des archives des opérations suspectes.
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