« La Cour suprême dit, de façon claire, que les libertés fondamentales garanties par la Constitution ne peuvent pas être anéanties ou restreintes par un arrêté ministériel.
Du coup, l’arrêté Ousmane Ngom tombe de lui-même. Il ne peut plus être invoqué en soi, par l’Administration, pour s’opposer à des manifestations des libertés garanties par la Constitution », a encore dit l’avocat.
Du coup, l’arrêté Ousmane Ngom tombe de lui-même. Il ne peut plus être invoqué en soi, par l’Administration, pour s’opposer à des manifestations des libertés garanties par la Constitution », a encore dit l’avocat.