Moussa Diaw Dieng, deuxième vice président de la Fédération sénégalaise de football a estimé qu’il fallait aller plus loin que la mesure prise par le Comité directeur de la Fsf de se libérer des techniciens.
« Nous avons estimé qu’il fallait plus pour calmer cette vindicte populaire, ensuite éviter les foudres des instances du football africain. Il fallait donc prendre un peu de recul et nos responsabilités pour permettre au football de pouvoir évoluer sans incident majeur », justifie-t-il sa démission.
N’est-ce pas un aveu de culpabilité aux yeux de la Confédération africaine de football (Caf) ? Moussa Diaw dit n’avoir cure de la Caf. « Ce sont les actes que je pose et qui m’engagent. Maintenant, la Caf a ses instances qui sont animées par des hommes qui peuvent condamner. Nous avons en tout cas estimé et le monde entier est d’accord que ce qui s’est passé, ne devait pas se passer. Sur le plan sportif nous avons été éliminés, sur les autres plans, on a flanché. Le Sénégal a montré une image qui n’était pas celle du vrai Sénégalais et on a été presque la risée du monde », argumente le désormais ex deuxième vice-président de la Fsf.
Toutes choses qui lui font dire : « nous avons pensé en tant que membres de la Fédération sénégalaise de football qui est délégataire de pouvoir, chargé d’organiser tout ce qui est football dans ce pays, que la responsabilité de la structure est engagée d’une manière ou d’une autre. Fort de cela, nous avons pensé aussi que le Sénégal encourait des sanctions des instances africaines qui gèrent le football, nous avons pensé libérer un peu d’espace pour permettre au mouvement sportif sénégalais et l’Etat du Sénégal qui est délégataire de pouvoir, d’avoir les coudées franches ».
Nettali
« Nous avons estimé qu’il fallait plus pour calmer cette vindicte populaire, ensuite éviter les foudres des instances du football africain. Il fallait donc prendre un peu de recul et nos responsabilités pour permettre au football de pouvoir évoluer sans incident majeur », justifie-t-il sa démission.
N’est-ce pas un aveu de culpabilité aux yeux de la Confédération africaine de football (Caf) ? Moussa Diaw dit n’avoir cure de la Caf. « Ce sont les actes que je pose et qui m’engagent. Maintenant, la Caf a ses instances qui sont animées par des hommes qui peuvent condamner. Nous avons en tout cas estimé et le monde entier est d’accord que ce qui s’est passé, ne devait pas se passer. Sur le plan sportif nous avons été éliminés, sur les autres plans, on a flanché. Le Sénégal a montré une image qui n’était pas celle du vrai Sénégalais et on a été presque la risée du monde », argumente le désormais ex deuxième vice-président de la Fsf.
Toutes choses qui lui font dire : « nous avons pensé en tant que membres de la Fédération sénégalaise de football qui est délégataire de pouvoir, chargé d’organiser tout ce qui est football dans ce pays, que la responsabilité de la structure est engagée d’une manière ou d’une autre. Fort de cela, nous avons pensé aussi que le Sénégal encourait des sanctions des instances africaines qui gèrent le football, nous avons pensé libérer un peu d’espace pour permettre au mouvement sportif sénégalais et l’Etat du Sénégal qui est délégataire de pouvoir, d’avoir les coudées franches ».
Nettali