Agences et structures administratives : plus de 23 milliards de dettes
Tout d’abord l’analyse de l’exécution budgétaire des agences et structures administratives similaires ou assimilées ne prenant pas en compte l’endettement bancaire est arrêté à plus de 23 milliards et est reparti comme suit : dettes fournisseurs 9.128.380.380 Fcfa, dettes fiscales 13.115.604.885 Fcfa et dettes sociales 999.285.662 Fcfa. Juste pour l’Agence des aéroports du Sénégal, la dette est arrêtée globalement à plus de 5,6 milliards. Elle est repartie comme suit : dettes fournisseurs plus de 4 milliards et dettes fiscales plus de 1,5 milliards de Fcfa.
En ce qui concerne l’Agence nationale des affaire maritimes (Anam), les créances des fournisseurs sont arrêtées à plus de 173 millions, les dettes fiscales et sociales ressortent respectivement à près de 2 milliards et plus de 242 millions.
A l’Agence nationale de la promotion des jeunes (Anpej), la dette est arrêtée à plus de 137 millions. Elle est repartie ainsi qu’il suit : dette fournisseurs plus de 113 millions, dettes fiscales 19,5 millions et dettes sociales plus de 4 millions.
Quant à l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), la dette est arrêtée globalement à plus de 671 millions. Elle est ainsi constituée : dettes fournisseurs un peu moins de 529 millions, dettes fiscales plus de 140 millions et les dettes sociales s’élèvent à un peu moins de 2 millions.
Dettes établissements publics de santé fixées à 60933.264.754 Fcfa
Nos hôpitaux sont malades. Et pas seulement dans l’accueil. Dans la gestion aussi. Au centre hospitalier national d’enfant d’Albert Royer, l’endettement est arrêté à plus de 204 millions. Le centre hospitalier régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga quant a lui a une dette de plus de 284 millions.
Les universités endettées à hauteur de 66 milliards dont 83,62% de dettes fiscales du Coud, c’est la même situation dans les structures universitaires. L’endettement est arrêté à fin juin dernier à plus de 66 milliards dont 66,62% sont constitués par des dettes fiscales du centre des œuvres universitaires de Dakar, les dettes sont reparties comme suit : dettes fournisseurs plus de 6 milliards, dettes fiscales et dettes sociales près de 3 milliards de nos francs.
Les Echos
Tout d’abord l’analyse de l’exécution budgétaire des agences et structures administratives similaires ou assimilées ne prenant pas en compte l’endettement bancaire est arrêté à plus de 23 milliards et est reparti comme suit : dettes fournisseurs 9.128.380.380 Fcfa, dettes fiscales 13.115.604.885 Fcfa et dettes sociales 999.285.662 Fcfa. Juste pour l’Agence des aéroports du Sénégal, la dette est arrêtée globalement à plus de 5,6 milliards. Elle est repartie comme suit : dettes fournisseurs plus de 4 milliards et dettes fiscales plus de 1,5 milliards de Fcfa.
En ce qui concerne l’Agence nationale des affaire maritimes (Anam), les créances des fournisseurs sont arrêtées à plus de 173 millions, les dettes fiscales et sociales ressortent respectivement à près de 2 milliards et plus de 242 millions.
A l’Agence nationale de la promotion des jeunes (Anpej), la dette est arrêtée à plus de 137 millions. Elle est repartie ainsi qu’il suit : dette fournisseurs plus de 113 millions, dettes fiscales 19,5 millions et dettes sociales plus de 4 millions.
Quant à l’Agence de l’informatique de l’Etat (Adie), la dette est arrêtée globalement à plus de 671 millions. Elle est ainsi constituée : dettes fournisseurs un peu moins de 529 millions, dettes fiscales plus de 140 millions et les dettes sociales s’élèvent à un peu moins de 2 millions.
Dettes établissements publics de santé fixées à 60933.264.754 Fcfa
Nos hôpitaux sont malades. Et pas seulement dans l’accueil. Dans la gestion aussi. Au centre hospitalier national d’enfant d’Albert Royer, l’endettement est arrêté à plus de 204 millions. Le centre hospitalier régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga quant a lui a une dette de plus de 284 millions.
Les universités endettées à hauteur de 66 milliards dont 83,62% de dettes fiscales du Coud, c’est la même situation dans les structures universitaires. L’endettement est arrêté à fin juin dernier à plus de 66 milliards dont 66,62% sont constitués par des dettes fiscales du centre des œuvres universitaires de Dakar, les dettes sont reparties comme suit : dettes fournisseurs plus de 6 milliards, dettes fiscales et dettes sociales près de 3 milliards de nos francs.
Les Echos