L’encours de la dette publique est projeté en 2022 à 10 937 milliards FCfa, soit une hausse de 6,2% par rapport à 2021. Il devrait représenter 66,4% du PIB en 2022, contre 67,4% l’année précédente. D’après la DPEE, le ratio devrait demeurer, toujours, en dessous de la norme retenue dans le cadre du pacte de convergence de l’Uemoa. Les causes de la lourdeur du stock de la dette, sont certainement à rechercher dans les grands projets d’investissement engagés, ces dernières années, par le chef de l’Etat et ses équipes.
«En matière de dette, le ministre me rappelait qu’on a la meilleure notation souveraine. Il n’y a aucun pays qui ne s’endette pas, l’endettement fait partie du fonctionnement de l’Etat. Il faut juste savoir honorer ses dettes. Faire en sorte que l’économie puisse payer le service de la dette », avait indiqué Macky Sall lors du Conseil présidentiel sur les revenus futurs du pétrole et du gaz.
Le plus important, disait-il, ce n’est même pas le capital. Mais, faire en sorte que le pays ait une bonne tenue de ses recettes, une bonne gestion financière, que l’argent emprunté soit utilement investi, et non pas utilisé dans le fonctionnement et les salaires seulement ou dans l’achat de voitures et autres.
Ainsi, il a été relevé que la marge de manœuvre, par rapport au palier fixé par l’Uemoa, se rétrécit de plus en plus. Et pour contenir les vulnérabilités, liées à l’augmentation de la dette publique du pays, l’équipe du FMI soulignait, en décembre dernier, qu’il importe d’accroître les recettes intérieures, de réduire progressivement les subventions aux produits pétroliers et, à l’électricité, et de renforcer l’efficience des dépenses publiques afin de ramener le déficit budgétaire d’ici à 2024, à 3 % du PIB.
«En matière de dette, le ministre me rappelait qu’on a la meilleure notation souveraine. Il n’y a aucun pays qui ne s’endette pas, l’endettement fait partie du fonctionnement de l’Etat. Il faut juste savoir honorer ses dettes. Faire en sorte que l’économie puisse payer le service de la dette », avait indiqué Macky Sall lors du Conseil présidentiel sur les revenus futurs du pétrole et du gaz.
Le plus important, disait-il, ce n’est même pas le capital. Mais, faire en sorte que le pays ait une bonne tenue de ses recettes, une bonne gestion financière, que l’argent emprunté soit utilement investi, et non pas utilisé dans le fonctionnement et les salaires seulement ou dans l’achat de voitures et autres.
Ainsi, il a été relevé que la marge de manœuvre, par rapport au palier fixé par l’Uemoa, se rétrécit de plus en plus. Et pour contenir les vulnérabilités, liées à l’augmentation de la dette publique du pays, l’équipe du FMI soulignait, en décembre dernier, qu’il importe d’accroître les recettes intérieures, de réduire progressivement les subventions aux produits pétroliers et, à l’électricité, et de renforcer l’efficience des dépenses publiques afin de ramener le déficit budgétaire d’ici à 2024, à 3 % du PIB.