Baloon est une startup de vente d’assurance digitale, dans un premier temps, d’assurance automobile. « Notre enjeu aujourd’hui, c’est de vouloir transformer la distribution d’assurance en Afrique et au Sénégal en particulier », souligne Bertrand Vialle, président-fondateur de Baloon qui présentait le nouveau produit aux représentants des compagnies d’assurance qui ont répondu massivement.
Ainsi, dans un premier temps, Baloon proposera à sa clientèle un large panel de formules d'assurances consacrées à l'automobile, avant d’élargir ses prestations à d'autres domaines, en particulier la santé. Les solutions d'assurances proposées correspondent à tous les budgets, aussi bien les petits que les grands.
La nouveauté apportée par rapport à l’existant
Pour le président-fondateur, cette plateforme opère donc une véritable transformation dans le secteur de l’assurance au Sénégal, en donnant la possibilité à tous les Sénégalais, de "s’assurer simplement, sans risque, et de façon 100% digitale".
«Quelqu’un qui ne sait pas écrire est en mesure de souscrire un contrat d’assurance. Et là, on casse les barrières sociales éducatives et on va vers les personnes. Nous sommes en mesure de pouvoir faire en sorte que où qu’il soit, il soit en mesure de pouvoir avoir un contrat d’assurance. C’est une obligation au Sénégal d’avoir un contrat d’assurance pour son automobile. Aujourd’hui, la force qu’on apporte, c’est de pouvoir faire en sorte que la personne quelle qu'elle soit, puisse s’assurer », a expliqué M. Vialle.
Au Sénégal où la culture de l’assurance fait défaut, Baloon compte mettre en place des stratégies adaptées pour convaincre les personnes à venir souscrire dans la plateforme qui leur permet de gagner du temps.
Bertrand Vialle de prendre l’expérience de Baloon en Côte d’ivoire pour répondre à cette préoccupation. « Avec l’expérience que j’ai eue en Côte d’Ivoire sur trois mois, ce qui est quand même trop court, je me suis aperçu que 30% des personnes qui sont venues s’assurer chez Baloon, n’étaient pas assurées. »
Pour le patron de startup qu'il est, "cela veut dire qu’on a une capacité d’attractivité, qu’on arrive à se faire connaître par les réseaux sociaux et on sait bien que la population est assez jeune. Et ces gens-là sont sur les réseaux sociaux, ils regardent et ils nous voient et ils essaient. Car, il y a même des gens qui ont, aujourd’hui, souscrit à un contrat d’assurance. Vous connaissez tous la puissance des réseaux sociaux et on s’en sert positivement pour pouvoir passer des messages".
Rapports avec les Compagnies d’assurance et Cadre juridique
Ayant obtenu son agrément de courtier auprès du ministère de l’Economie et des Finances, la startup panafricaine travaille en parfaite connivence avec les compagnies d’assurance présente au Sénégal, pour assurer et simplifier la vie des Sénégalais. D’après M. Vialle, « nous sommes dans un cadre très clair de courtage d’assurance et nous avons signé des conventions avec les compagnies d’assurance avec lesquelles on travaille et qui nous permet d’être dans un cadre parfaitement règlementaire et totalement contrôlé par la Direction nationale des assurances qui est notre organisme de tutelle, qui dépend elle-même du ministère de l’Economie et des Finances », assure le président-fondateur. Avant d’ajouter : "le ministre nous a donné un agrément et a signé un accord pour distribuer de l’assurance. Nous sommes dans un environnement extrêmement règlementé et suivi".
Baloon représenté par une équipe d’experts digitaux en assurance qui connait les populations d’Afrique et leurs besoins de plus en plus pressants en matière d’assurances. Baloon souhaite redonner à tous l’opportunité de s’assurer pour se protéger les uns les autres de l’imprévu, quels que soient les statuts et les origines, dans un esprit de solidarité et de confiance. Afin d’y parvenir, le courtier digital met l’accent sur de nombreux recrutements locaux afin d’être toujours plus proche du terrain des attentes des Sénégalais.
A en croire M. Vialle, le prochain pays après le Sénégal est le Cameroun et Baloon a vocation à ouvrir 15 pays d’ici à 2020, dont le Burkina, le Niger, le Bénin, le Togo, entre autres.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net
Ainsi, dans un premier temps, Baloon proposera à sa clientèle un large panel de formules d'assurances consacrées à l'automobile, avant d’élargir ses prestations à d'autres domaines, en particulier la santé. Les solutions d'assurances proposées correspondent à tous les budgets, aussi bien les petits que les grands.
La nouveauté apportée par rapport à l’existant
Pour le président-fondateur, cette plateforme opère donc une véritable transformation dans le secteur de l’assurance au Sénégal, en donnant la possibilité à tous les Sénégalais, de "s’assurer simplement, sans risque, et de façon 100% digitale".
«Quelqu’un qui ne sait pas écrire est en mesure de souscrire un contrat d’assurance. Et là, on casse les barrières sociales éducatives et on va vers les personnes. Nous sommes en mesure de pouvoir faire en sorte que où qu’il soit, il soit en mesure de pouvoir avoir un contrat d’assurance. C’est une obligation au Sénégal d’avoir un contrat d’assurance pour son automobile. Aujourd’hui, la force qu’on apporte, c’est de pouvoir faire en sorte que la personne quelle qu'elle soit, puisse s’assurer », a expliqué M. Vialle.
Au Sénégal où la culture de l’assurance fait défaut, Baloon compte mettre en place des stratégies adaptées pour convaincre les personnes à venir souscrire dans la plateforme qui leur permet de gagner du temps.
Bertrand Vialle de prendre l’expérience de Baloon en Côte d’ivoire pour répondre à cette préoccupation. « Avec l’expérience que j’ai eue en Côte d’Ivoire sur trois mois, ce qui est quand même trop court, je me suis aperçu que 30% des personnes qui sont venues s’assurer chez Baloon, n’étaient pas assurées. »
Pour le patron de startup qu'il est, "cela veut dire qu’on a une capacité d’attractivité, qu’on arrive à se faire connaître par les réseaux sociaux et on sait bien que la population est assez jeune. Et ces gens-là sont sur les réseaux sociaux, ils regardent et ils nous voient et ils essaient. Car, il y a même des gens qui ont, aujourd’hui, souscrit à un contrat d’assurance. Vous connaissez tous la puissance des réseaux sociaux et on s’en sert positivement pour pouvoir passer des messages".
Rapports avec les Compagnies d’assurance et Cadre juridique
Ayant obtenu son agrément de courtier auprès du ministère de l’Economie et des Finances, la startup panafricaine travaille en parfaite connivence avec les compagnies d’assurance présente au Sénégal, pour assurer et simplifier la vie des Sénégalais. D’après M. Vialle, « nous sommes dans un cadre très clair de courtage d’assurance et nous avons signé des conventions avec les compagnies d’assurance avec lesquelles on travaille et qui nous permet d’être dans un cadre parfaitement règlementaire et totalement contrôlé par la Direction nationale des assurances qui est notre organisme de tutelle, qui dépend elle-même du ministère de l’Economie et des Finances », assure le président-fondateur. Avant d’ajouter : "le ministre nous a donné un agrément et a signé un accord pour distribuer de l’assurance. Nous sommes dans un environnement extrêmement règlementé et suivi".
Baloon représenté par une équipe d’experts digitaux en assurance qui connait les populations d’Afrique et leurs besoins de plus en plus pressants en matière d’assurances. Baloon souhaite redonner à tous l’opportunité de s’assurer pour se protéger les uns les autres de l’imprévu, quels que soient les statuts et les origines, dans un esprit de solidarité et de confiance. Afin d’y parvenir, le courtier digital met l’accent sur de nombreux recrutements locaux afin d’être toujours plus proche du terrain des attentes des Sénégalais.
A en croire M. Vialle, le prochain pays après le Sénégal est le Cameroun et Baloon a vocation à ouvrir 15 pays d’ici à 2020, dont le Burkina, le Niger, le Bénin, le Togo, entre autres.
Cheikh Makhfou Diop Leral.net