"C’est dans ses racines que l’homme puise sa force"… Loin d’un slogan, c'est un sacerdoce, une croyance, que Baye Gallo enfourche avec sa guitare à la conquête du monde. Baye Gallo est un artiste hors pair pour ne pas dire complet ou, à la limite, multidimensionnel. L’homme est un touche à tout qui s’exprime à travers son art. Artiste peintre, plasticien, sculpteur, maître d’un ballet et danse africaine, il est aussi auteur compositeur du groupe Mawlana Band. Sa peinture de même que sa musique est un véritable culte des valeurs, sa force, pour ainsi revenir à son sacerdoce.
Baye Gallo s’illustre aussi là ou ses pairs ont plus de difficultés. Sur scène, c’est une véritable bête. "Je ne me limite pas à la chanson. Mes œuvres, je les expose en même temps que mes chansons pendant mes concerts. Il s’agit de toucher tout le monde en même temps, et, individuellement, chacun à la fois dans son domaine, un mélange de couleurs qui symbolisent l’art en entier pour ne pas le reprendre. "Je chante, joue et transmets", a-t-il l’habitude de dire.
Sa musique et sa peinture ne font qu’un. L’artiste ne sait pas faire le distinguo. "Je ne me cherche pas dans mon art, la peinture inspire mes chansons et la musique en fait de même pour mes peintures", explique-t-il. Parlant de sa promotion, il compte trois albums mais tarde à se faire un nom chez soi. "Je suis peu connu au Sénégal mais c’est simplement parce que j’évolue avec le Mawlana Band en Europe où ma peinture et ma musique sont plus connu mais, je suis de retour pour la promotion de "Yenn, Akk Mane" (NDLR nom du troisième album qui va sortir en avril et qui veut dire entre nous en Wolof ou vous et moi).
Sa spiritualité, Baye Gallo y tient. Mawlana, du nom de son groupe, de même que son nom d’artiste sont tous des noms du guide spirituelle de Médina Baye. "Ibrahima Niasse Baye est tout pour moi, il motive et inspire mes chansons et ma peinture, c’est d’ailleurs pourquoi je chante en wolof, arabe et français si l’on sait que j’ai commencé par les zikr", a-t-il dit.
Baye Gallo s’illustre aussi là ou ses pairs ont plus de difficultés. Sur scène, c’est une véritable bête. "Je ne me limite pas à la chanson. Mes œuvres, je les expose en même temps que mes chansons pendant mes concerts. Il s’agit de toucher tout le monde en même temps, et, individuellement, chacun à la fois dans son domaine, un mélange de couleurs qui symbolisent l’art en entier pour ne pas le reprendre. "Je chante, joue et transmets", a-t-il l’habitude de dire.
Sa musique et sa peinture ne font qu’un. L’artiste ne sait pas faire le distinguo. "Je ne me cherche pas dans mon art, la peinture inspire mes chansons et la musique en fait de même pour mes peintures", explique-t-il. Parlant de sa promotion, il compte trois albums mais tarde à se faire un nom chez soi. "Je suis peu connu au Sénégal mais c’est simplement parce que j’évolue avec le Mawlana Band en Europe où ma peinture et ma musique sont plus connu mais, je suis de retour pour la promotion de "Yenn, Akk Mane" (NDLR nom du troisième album qui va sortir en avril et qui veut dire entre nous en Wolof ou vous et moi).
Sa spiritualité, Baye Gallo y tient. Mawlana, du nom de son groupe, de même que son nom d’artiste sont tous des noms du guide spirituelle de Médina Baye. "Ibrahima Niasse Baye est tout pour moi, il motive et inspire mes chansons et ma peinture, c’est d’ailleurs pourquoi je chante en wolof, arabe et français si l’on sait que j’ai commencé par les zikr", a-t-il dit.
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