Les dénonciations, complaintes et plaintes se poursuivent en perspectives aux élections législatives de juillet 2022. Des inélégiblités et des irrégularités et d’un manque de respect de la loi sont apparents sur différents listes électorales, dont celles de Benno et de Yaw. Les deux entités, conteste-t-elle, ne doivent pas participer à ces élections.
Ainsi, Thierno Bocoum a constaté que de 2019 à maintenant des candidats ont fait l’object de rejet. Mais, Aar Sénégal constate depuis hier, que des juristes ont commencé à développé des théories infondées pour l’acceptation de la liste nationale de Yaw. « Nous leur faisons comprendre qu’il n’y a qu’une seule liste. C’est la liste nationale, devant comporter des suppléants. Donc, Yaw askan wi n’a pas droit à participer aux élections législatives de juillet 2019. Nous avons été victimes de rejets et autres », a expliqué Dr Abdourahmane Diouf, membre de la coalition Aar Sénégal.
L’argument avancé par Benno et Yaw n’est pas acceptable. Aar Sénégal reste déterminer à combattre une probable compromission. L’administation doit constaté qu’il y a des problèmes sur ces deux listes. Nous envoyons au Conseil constitutionnel un message qui d’habitude détruit le respect du droit et des principes. En 2015, le Président Macky Sall et son Ministre Ismael Madior Fall avait soumis un référendum plusieurs questions pour ferrer la constitution. Le Conseil constitutionnel doit être ferme pour faire respecter le droit », a évoqué Dr Diouf.
Aar Sénégal craint que le Conseil constitutionnel est probablement dans une logique de valider toutes les volontés de Macky Sall. Même s’il manifeste un désir de participer à un 3e mandat, ce Conseil va l’accorder. Tout le monde doit respecter la loi. Le respect de la charte sociale est une priorité pour nous. Le non respect de la charte déconstruit un Etat. Nous n’accepterons pas un « Bara yeggo » ni de « Combine Baré ». Personne n’est indispensable. Ce n’est pas parce qu’on a la force qu’on l’impose », prévient Dr Diouf.
Ainsi, Thierno Bocoum a constaté que de 2019 à maintenant des candidats ont fait l’object de rejet. Mais, Aar Sénégal constate depuis hier, que des juristes ont commencé à développé des théories infondées pour l’acceptation de la liste nationale de Yaw. « Nous leur faisons comprendre qu’il n’y a qu’une seule liste. C’est la liste nationale, devant comporter des suppléants. Donc, Yaw askan wi n’a pas droit à participer aux élections législatives de juillet 2019. Nous avons été victimes de rejets et autres », a expliqué Dr Abdourahmane Diouf, membre de la coalition Aar Sénégal.
L’argument avancé par Benno et Yaw n’est pas acceptable. Aar Sénégal reste déterminer à combattre une probable compromission. L’administation doit constaté qu’il y a des problèmes sur ces deux listes. Nous envoyons au Conseil constitutionnel un message qui d’habitude détruit le respect du droit et des principes. En 2015, le Président Macky Sall et son Ministre Ismael Madior Fall avait soumis un référendum plusieurs questions pour ferrer la constitution. Le Conseil constitutionnel doit être ferme pour faire respecter le droit », a évoqué Dr Diouf.
Aar Sénégal craint que le Conseil constitutionnel est probablement dans une logique de valider toutes les volontés de Macky Sall. Même s’il manifeste un désir de participer à un 3e mandat, ce Conseil va l’accorder. Tout le monde doit respecter la loi. Le respect de la charte sociale est une priorité pour nous. Le non respect de la charte déconstruit un Etat. Nous n’accepterons pas un « Bara yeggo » ni de « Combine Baré ». Personne n’est indispensable. Ce n’est pas parce qu’on a la force qu’on l’impose », prévient Dr Diouf.