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CONTRIBUTION: ABDOULAYE WADE N’A PAS LE PRODUIT! QU’IL DÉGAGE!

Albert Einstein disait : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »

Alors que nous étions étudiants pendant la période des années blanches, des années invalides et la mise en place de la jeunesse pour l’alternance, la cité Universitaire était encore un lieu de production et de vulgarisation de concepts et de mots d’ordre.


Rédigé par leral.net le Vendredi 15 Avril 2011 à 09:36 | | 5 commentaire(s)|

CONTRIBUTION: ABDOULAYE WADE N’A PAS LE PRODUIT! QU’IL DÉGAGE!
A l’école vétérinaire, lors d’un examen, il nous a été demandé d’élaborer le diagramme de fabrication du yaourt. Après avoir rendu les copies, une de mes amies s’est rendu compte qu’elle a ensemencé le lait de bacilles lactiques sans avoir refroidit le substrat. Elle s’est rapprochée du Professeur pour savoir si cela pouvait lui valoir une mauvaise note et le professeur lui a répondu en lui posant une question toute simple : Est-ce que vous avez le produit final c'est-à-dire le Yaourt ?
Non! Lui répond mon amie car les ferments sont morts avec la chaleur.
Alors vous voyez bien que vous êtes passée à côté de l’essentiel lui rétorqua le professeur ?

Depuis ce jour, les étudiants que nous étions appelions « Produit » tout travail mené à bien et bien fait et par extension nous disions de tout individu qui fait du bien ou qui fait un bon travail qu’«il a le Produit !».
Si nous appliquons cette anecdote au test que le peuple Sénégalais fit passer à Abdoulaye Wade un certain 19 mars 2000, on se rendra compte qu’«il n’a pas le Produit !».
Cela m’emmène à dire qu’il faut faire confiance aux personnes âgées mais seulement quand elles sont sages car ma grand-mère qui a vécu plus de cent ans déclarait toujours qu’Abdoulaye Wade ne ferait pas un bon Président en disant « Borom bop bu lel bi, mattul njiit». Nous étions sourds et nous mettions tout cela sur le compte de l’âge avancé et du formatage des cerveaux par le régime du Parti Socialiste. Aujourd’hui, à l’heure ou nous vivons le onzième anniversaire du changement obtenu le 19 mars 2000, force est de reconnaître que nous nous sommes trompé sur l’homme WADE.

Voilà un homme qui avait plusieurs atouts et le peuple sénégalais avec lui et qui s’est évertué à les dilapider une à une pour arriver à la situation dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

La classe moyenne a disparu pour faire place à deux camp antagoniques, les riches et les pauvres cela est visible par la pullulation de sous locations et de boutiques dans les anciens quartiers huppés qui n’avaient pas besoin de boutiques et de tables chez eux car leur ravitaillement se faisait hebdomadairement ou mensuellement dans les supermarchés. En dix ans la banlieue est envahie par de chiens errants, de chats arrêt faméliques et de nénuphars à cause des inondations récurrentes et de la misère. Le sac de riz qui coûtait 9000 F CFA se monnaye contre 16 000 F CFA et le gaz butane auquel nous avons fini par nous habituer vaut 4200 F alors qu’il coûtait 1800 F CFA au début de l’alternance. En moyenne, les denrées alimentaires ont en moyenne augmenté de 60 %. Le carburant coûte moins cher au Mali après être passé par le port de Dakar et parcouru plus de 1000 km; la taxe spécifique sur les produits pétroliers prélevée par cet État (qui vit de taxes et d’impôts) est passée par là. Aujourd’hui, 10000 F CFA ne vous donne droit qu’à 12 litres et ½ d’essence à la pompe alors que le député a droit à 1000 litres de ce précieux produit par mois. Quel est son rôle dans cet État où Abdoulaye WADE ET SON FILS concentrent tous les pouvoirs.
Cela fait qu’aucun salarié ne se suffit aujourd’hui de son salaire qu’il le dise ou pas malgré les augmentations substantielles de salaire.

Les grandes villes restent dans le noir de Dakar à Tambacounda alors que l’énergie hydraulique, celle éolienne et solaire ne font l’objet d’aucune prospection dans ce pays sahélien. Est-ce parce que le carburant fait l’objet de plusieurs contrats négociables parfois de gré à gré et à un coût 30% supérieur au prix du marché mondial et que les contrats concernant les autres sources d’énergies ne sont pas répétitives ? On parle de centrale à charbon alors les fournisseurs de cet intrant sont limités dans le monde. Toujours est-il que le « kouy-kamadj » est en train de mettre nos nerfs à rude épreuve.

Pendant ce temps, le monde rural reste sans voix à force d’user ses cordes vocales car la période de « traite » qui était leur fin du mois n’existe plus. La production d’arachide qui a dépassé le million de tonnes correspond parfaitement à la capacité de trituration de la seule SUNEOR mais cette entreprise ne s’est engagée que pour 195 000 tonnes sur une collecte totale des huiliers de 295 000 tonnes car l’entreprise SUNEOR préfère importer d’autres huiles(dont 70 000 tonnes de soja) à raffiner à bas prix pour nous le vendre localement et exporter 80% de notre huile noble d’arachide plus adapté à notre mode de cuisson qui libère des radicaux libres des huiles sensibles à la chaleur tels que celui du soja et qui provoque des troubles artériels. Qu’est ce qui nous empêchera d’être TOUS hypertendus pendant ce magistère d’Abdoulaye WADE?

Les paysans sont laissés à la merci de commerçants véreux qui les achètent leur arachide à vil prix. C’est à se demander si ces huiliers ne bénéficient pas de protection à un niveau élevé.
L’importation hasardeuse de semences fourragère de maïs et de bouture pour pâte de manioc non adaptées a failli compromettre notre agriculture vivrière dans son ensemble.
Les épizooties de Newcastle déciment chaque année 80% de notre aviculture traditionnelle pendant que les autorités s’entêtent à inséminer des vaches faméliques d’un élevage transhumant dans des zones sahéliennes inadaptées à cette technique. Nous continuons d’importer 60 milliards de produits laitiers pendant que rien n’est entrepris pour organiser les circuits de production et de transformation laitière ne serait qu’en saison des pluvieuse.

Les organisations de producteurs qui sonnent l’alarme sont taxées de partie pris et combattus avec de vaines tentatives de mettre en place un Syndicat paysan « top down » dominé par des députés et des présidents de communautés rurales; depuis quand a-ton vu le patron créer un syndicat pour les ouvriers?

Face à tout cela nous voyons la soudaine émergence d’une classe de nouveaux riches symbolisée par la construction de châteaux et le déferlement de bolides derniers cris et dont l’arrogance ostentatoire n’a d’égale que leur manque de culture. Il y’a des fois où l’extravagance de richesses est une insulte pour les pauvres.

En 2000 Abdoulaye Wade était déjà très, très âgé car lui-même nous a dis qu’enfant il courait derrière le cheval de Sérigne Touba cela veut dire qu’il a profité de son changement de lieu de naissance (Kébémer au lieu de Saint Louis) pour réduire son âge. Il pouvait faire juste deux mandats avant de se retirer même s’il nous avait promis de ne faire qu’un mandat.
En 2000 Adoulaye Wade a été élu par une coalition de partis politiques donc il peut parfaitement rester à équidistance des différentes formations pour jouer un rôle d’arbitre au sommet de l’État.
En 2000 les clignotants macroéconomiques de nos finances publiques étaient au vert donc il fallait seulement appliquer une politique vertueuse et de non dilapidation des ressources pour approcher l’émergence.

En 2000 la population Sénégalaise était prête à faire des efforts dans son élan d’enthousiasme pour adopter de nouveaux comportements sociaux en changeant complètement de paradigmes comportementaux. Abdoulaye WADE pouvait en profiter pour travailler à l’émergence d’un Sénégalais de type nouveaux ; un nouveau Homo senegalensis. Bref, le programme de gouvernement du nouveau président pouvait se résumer au binôme bonne gouvernance et émergence du Sénégalais de type nouveau.

La bonne gouvernance serait basée sur la transparence, la séparation des pouvoirs et la mise en place d’institutions fortes qui ne changeraient pas au gré de la seule humeur du prince mais seulement si le peuple souverain dans sa majorité le décidait.
Au lieu de cela, nous avons vu un sénat nommé dans sa grande majorité prendre le dessus, par la volonté d’un seul homme sur une assemblée dont les membres ont été élus par le peuple au niveau du parlement. La conséquence est d’assister impuissants à plus d’une quinzaine de retouches de la constitution qui devait demeurer sacrée; en ce sens, il faut noter que SENGHOR a modifié 8 fois la constitution en 20 ans et Abdou DIOUF 14 fois dans la même durée tandis que Abdoulaye WADE l’a modifié 15 fois en 10 ans; un record.

Nous avons progressivement vu émerger un despote éclairé et des institutions fragilisées que l’on confiait à des hommes à qui on demandait régulièrement de « rendre ce qu’on leur a confié » dès qu’ils laissaient transparaître une parcelle d’ambition personnelle ou un esprit d’indépendance car entre temps la seule ambition « normale » est celle du fils unique du vieil homme sorti de sa torpeur d’une banque londonienne où d’après son père « il était le seul noir ».
Son (ancien) lieutenant Idrissa SECK a bien fait de montrer au début de l’alternance, à la télévision, avec schéma à l’appui que Abdoulaye Wade était le seul Soleil de l’espace présidentiel autour duquel gravite des éléments comme lui mais il ne savait pas que ce soleil brûlerait tout élément qui se rapprochait un peu trop ou qui se dilaterait normalement (Moustapha Niasse, Landing, Idrissa SECK, Macky Sall.etc.).

Au lieu de travailler à l’avènement du Sénégalais de type nouveau, on a au contraire travaillé nous abrutir encore plus les esprits en favorisant le culte de la médiocrité. On nomme des chômeurs Ministre et même directement Ministre d’États sans aucun stage, aucune culture administrative. Quelqu’un qui n’a jamais géré une caisse de la plus petite des organisations se trouve du jour au lendemain à administrer un budget faramineux. on agite le chiffon rouge des audits pour mieux ferrer les prévaricateurs de l’ancien ordre que l’on fini par recycler; ce qui fait dire à un ancien dignitaire de l’ancien régime qu’il n’est pas dépaysé lors des conseils des Ministres du pouvoir de l’alternance tellement les têtes qu’il voit lui sont familières Les jeunes trouvent alors leur seul salut dans les pirogues de fortunes et le train d’atterrissage des avions pour émigrer clandestinement vers l’occident car ils sentent leur horizon bouché.

On banalise le milliard et on fait l’apologie de l’argent facile on rend aléatoire l’effort personnel et individuel pour réussir au détriment des combines et de la roublardise. On dit que « Chance moo gën licence » ; on parle et on s’habille n’importe comment à la télévision nationale. Nos lutteurs, gladiateurs des temps modernes, mettent plus l’accent sur les féticheurs, les marabouts et la créatine que sur l’effort pour un gain musculaire avec un accoutrement et un langage stéréotypé : « Suma sante Yalla, julli ci yononté bi ma nuyu sama Sérigne … »;on minimise son adversaire qu’on vient de battr in extrémi par des : « Père kii taxu ma jog! billaaa hi! »

On prostitue le concept de volontaires de l’éducation pour aboutir à des « forçat du volontariat » car ils ne sont pas du tout volontaires mais n’ont pas le choix et on recrute à bout de bras des mécaniciens, des photographes, des anciens militaires et autres qui deviennent des enseignants sans aucune formation pédagogique et sans plan de carrière ; cela fait que l’école enregistre aujourd’hui le plus fort taux de grossesses indésirables dues aux enseignants. Le niveau d’apprentissage ne cesse de baisser et les examens sont devenus des « Goana scolaires » car tout le monde passe à telle enseigne que le gouvernement à envisagé de supprimer l’entrée en sixième; si vous écoutez attentivement un étudiant d’université, vous vous posez des questions sur l’établissement où il a passé son baccalauréat ; le Sénégal a perdu sa place de deuxième quartier latin depuis fort longtemps.

Les véhicules de transports sont pris d’assauts plus que de nécessaires pour se faire de la place et par des voyageurs en surnombre et ceux qui sont chargés de surveiller la bonne marche de tout cela ferment les yeux dans le laisser aller ambiant par apathie ou par accointance. La prise de conscience et l’appel à l’introspection après la tragédie du bateau (plus de 2000 morts) le Joola qui a englouti plus de morts que le Titanic, n’a duré que le temps de pleurer nos morts. Qui disait de Abdou Diouf que « nitu deret la» ? C’est-à dire que son règne est jalonné de morts.
Les apprentis continuent de soulever les fils électriques avec de longs bâtons sur les routes pour permettre aux camions hyperchargés de passer en-dessous des fils. Les camionneurs continuent de creuser nos routes, parfois neuves, faites à coups de milliards, pour simplement placer les crics et changer les pneus.
Les riverains des pipelines de la société Africaine de Raffinage continuent de siphonner clandestinement le carburant avec tous les risques que cela comporte.
La saleté et la crasse envahit nos villes souvent puantes, recouverts de plastiques car nous avons importé nos comportement de villageois dans nos villes.

Le summum de la déroute des consciences est intervenu quand Abdoulaye nous a dit que « seuls les imbéciles ne changent pas » pour expliquer sa volte-face sur sa possibilité de candidature en 2012. Il avait bien dit après sa victoire de 2007 : « la constitution ne me permets plus de me représenter » et non « je ne veux plus me présenter ». Il ne s’agit donc pas d’imbécilité ou non mais de respect de la constitution qui est très claire sur les deux mandats. Abdoulaye Wade, même s’il n’avait pas exercé le droit en tant qu’avocat, doit comprendre qu’il est une institution en tant que Président de la République et que ses prises de positions publiques peuvent parfaitement intercéder pour une disposition de la loi. Il ne peut donc plus se présenter.
Le fait que le gardien de la constitution manipule ses principales dispositions nous fait dire avec le poète engagé que « notre dignité se vautre dans les dégobillements ».
Il faut que le peuple se tienne debout car Abdoulaye Wade lui a lancé le défi le plus arrogant depuis notre indépendance en choisissant la régression démocratique comme modèle de gouvernement en expérimentant l’ère des fils de président au Togo en l’encourageant au Gabon et en Guinée équatoriale mais aussi en l’étudiant en RDC.

Il oublie que le Sénégal a envoyé des cahiers de doléances en France lors de la Révolution de 1789.Nous sommes donc tous interpellés car pour paraphraser Edmund BURKE «Pour triompher, le mal n’a besoin que de l’inaction des gens de bien»

Entendons nous bien ! On ne peut pas dire que Abdoulaye WADE n’a pas d’ambition ou n’a rien fait dans ce pays depuis 11 ans ; mais il a tout mal fait et il a détruit ce qu’il y’a de plus important pour nous : les fondements de la République mais aussi la fierté et l’orgueil qui habitait chacun de nous après le 19 Mars 2000 et cela, nous n’allons jamais le lui pardonner. Nous sommes tentés de dire avec Joseph CONRAD que «Toutes les ambitions sont légitimes, excepté celles qui s’élèvent sur les misères ou les crédulités de l’humanité »

Que vous reste-il, si vous voyez les imams faire le rang à la présidence pour obtenir du sukër Koor ? Si vous voyez que vos pères, vos oncles, vos frères et vos marabouts se taire devant l’injustice ou dire des choses auxquelles ils ne croient nullement mais le disent simplement parce qu’ils veulent accéder à des privilèges ou des strapontins que détient Abdoulaye WADE et son régime ? Rien et on ne peut plus rien enlever à celui qui n’a plus rien Alexandre SOLJENITSYNE disait « Quelqu’un que vous avez privé de tout n’est plus en votre pouvoir. Il est de nouveau entièrement libre »
Il est tout de même ahurissant que cette jeunesse qui ne prend plus les pirogues de fortune commence à présent à s’immoler par le feu devant le palais de la République. Ces immolations et d’autres actes d’attaques du lieu de résidence du pouvoir suprême en République doivent être mieux interprétés par les sociologues et les tenants du pouvoir pendant qu’il est encore temps.

Il ne sert à rien de dénoncer les faits sans tenter de les analyser. Ainsi tout le monde a du remarquer que les choses marchaient bien au début de l’alternance et cela se traduisait par nos résultats sportifs en coupe d’Afrique au Mali et en coupe du monde en 2002. Personne n’osait alors parler du mal du Président dans les émissions interactives.

Les prémices de la mal gouvernance et de tous les maux du pays ont débuté quand Abdoulaye WADE a ramené son génie de fils à ses côtés et qu’il s’est sûrement mis dans la tête de se faire succéder par celui-ci même s’il défie aujourd’hui quiconque de l’avoir entendu dire cela. S’il hésite sans y avoir renoncé, c’est parce que la défaite/humiliation des municipales de 2009 est passée par là mais nous avions en son temps vu et continuons de voir plusieurs actes politiques qui vont dans ce sens avec des slogans creux affabulés du terme de concret.

Abdoulaye WADE comme beaucoup de ses adeptes a toujours pensé qu’avec les ressources et la position de pouvoirs rien ne peut vous arrêter sur « la route vers le sommet ». Il n’a pas tiré les leçons de la défaite du Parti Socialiste en 2000 quand il a gagné alors qu’il prenait des taxis sous la pluie à Paris, sans argent. Il doit sûrement penser qu’Abdou DIOUF ne fut pas un grand despote éclairé comme lui et ne pouvait pas se permettre certaines choses.

Au total nous disons que « Abdoulaye WADE n’a pas le produit » et doit dégager disqualifié qu’il est. Il n’a ni amélioré la bonne gouvernance, ni favorisé l’avènement du Sénégalais de type nouveau.
L’amélioration de la bonne gouvernance nous aurait fait bénéficier d’institutions fortes au détriment d’hommes forts comme le préconise Barack OBAMA, le Président des États Unis d’Amérique.
L’amélioration de la bonne gouvernance et le changement de paradigmes comportementaux étaient le SOPI que les Sénégalais attendaient. Ce bilan aurait suffit à Abdoulaye WADE pour que le peuple accepte de voter les yeux fermés pour son successeur désigné à l’exception de son fils.

Au lieu de cela, il veut briguer un mandat à 92 ans affabulé d’un colistier/faire-valoir qui continuerait son mandat à termes pour organiser des élections bidons de son successeur comme le laisse penser ses dernières déclarations ; mais le peuple le laissera t-il faire ? wait and see car les « Les exigences d’un grand peuple sont à l’échelle de ses malheurs »Charles de GAULLE

Dr Massirin SAVANE
3ème adjoint au maire de Kolda


Par la rédaction De leral.net


1.Posté par Karim Meissa Wade le 15/04/2011 16:55 | Alerter
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Trés bien dit.....Wade le FRANC-MAçON DOIT dégager

2.Posté par ly le 15/04/2011 19:31 | Alerter
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publier des articles sur le net est insuffisant. Utilisez plutôt les autres médas(radio etccccc
Les plus grands électeurs sont analphabétes , les moyens manquent to use the netOKKKKKKKK

3.Posté par waw le 15/04/2011 21:23 | Alerter
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Exactly! en plus sur le net on voit plutot que la diaspora, dont le poids electroal est insignifiant. Les elections se gagne sur le terrain.

4.Posté par rasmus le 16/04/2011 12:36 | Alerter
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docteur très certainement il ya une part de vérité dans ce que vous dites mais il faut pas aussi passer sous silence la participation ou le bilan de ton frère LANDING dont tu es le représentant a Kolda.Après tout cela on parlera du reste.Et de la je crois que cette fois ci on aura du bon yaourt.AU REVOIR SALUE MOI TES PATIENTS EXCUSEZ J'ALLAIS DIRE LES BELLES VACHES DE KOLDA LA BELLE

5.Posté par SENE Romaric le 18/04/2011 13:07 | Alerter
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J'applaudis des deux mains à cette synthèse du Dr. SAVANE qui mériterait effectivement une diffusion plus large que le cercle confidentiel et élitiste des internautes !

Quand aux réflexions de "rasmus" elles sont complètement hors sujet et semblent plutôt refléter des sentiments personnels que le soucis d'aborder le fond du problème.

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