«Ce programme d’urgence qui se veut transparent et territorialisé a bien fait d’intégrer ces deux catégories de Sénégalais qui n’ont pas eu la chance de faire des études ou qui, par choix, les parents ont décidé de les confier à l’enseignement coranique», a souligné le ministre de l’Emploi, de la formation professionnelle, d l’apprentissage et de l’insertion.
C’est une innovation annoncée par Dame Diop et son collègue en charge de la Jeunesse, qui prenaient part à la 6e conférence de presse consacrée au Programme d’urgence pour l’emploi et l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.
Ce programme qui a été annoncé par le chef de l’État Macky Sall, lors d’un Conseil présidentiel sur l’emploi et l’insertion socioéconomique des jeunes, devra concerner, dans sa première phase, le recrutement de 65.000 jeunes sur l’ensemble du territoire national.
Étalé sur 3 ans (2021-2023), «ce programme cible dans sa première année les activités relatives notamment à l’éducation, à l’environnement, au tourisme, à l’entretien routier et le pavage des villes», a rappelé M. Diop.
Selon lui, ces 30.000 jeunes sortis très tôt des circuits scolaires formels ou issus des daaras seront formés en alternance (atelier et centre de formation professionnelle) pendant 18 mois et seront bénéficiaires d’une allocation mensuelle de 15.000 Cfa.
Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a aussi annoncé un autre projet dénommé «bons de formation», lequel va cibler quelque 20.000 jeunes qui seront outillés à aller vers l’entrepreneuriat et dans la conception de business plan et de projets bancables.
Tribune
C’est une innovation annoncée par Dame Diop et son collègue en charge de la Jeunesse, qui prenaient part à la 6e conférence de presse consacrée au Programme d’urgence pour l’emploi et l’insertion socioprofessionnelle des jeunes.
Ce programme qui a été annoncé par le chef de l’État Macky Sall, lors d’un Conseil présidentiel sur l’emploi et l’insertion socioéconomique des jeunes, devra concerner, dans sa première phase, le recrutement de 65.000 jeunes sur l’ensemble du territoire national.
Étalé sur 3 ans (2021-2023), «ce programme cible dans sa première année les activités relatives notamment à l’éducation, à l’environnement, au tourisme, à l’entretien routier et le pavage des villes», a rappelé M. Diop.
Selon lui, ces 30.000 jeunes sortis très tôt des circuits scolaires formels ou issus des daaras seront formés en alternance (atelier et centre de formation professionnelle) pendant 18 mois et seront bénéficiaires d’une allocation mensuelle de 15.000 Cfa.
Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a aussi annoncé un autre projet dénommé «bons de formation», lequel va cibler quelque 20.000 jeunes qui seront outillés à aller vers l’entrepreneuriat et dans la conception de business plan et de projets bancables.
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