A en croire La Tribune, invitée à assister à l'anniversaire de Pagaye Mbaye, batteur du chanteur Abou Thioubalo, la danseuse a échappé de justesse aux coupe-coupes des malfrats qui s'en sont pris à son sac à main et aux matériels de ses danseuses. Jointe au téléphone, Ndèye Guèye semble ne pas être affectée par l'incident qu'elle a subi dans la nuit du jeudi au vendredi à Pikine. "Ce n'est rien de bien grave, sant Yalla rek (Je rends grâce à Dieu)", lance-t-elle au bout du fil avant de continuer. "J'étais en voyage mais à mon retour j'ai trouvé une invitation de Pagaye Mbaye pour son anniversaire. Etant donné qu'il est un ami, je ne voulais pas briller par mon absence", confie la danseuse.
Ndèye Guèye était loin de se douter que des agresseurs lui feraient la fête à cette manifestation. Arrivée sur les lieux de la cérémonie, la danseuse demande à son chauffeur d'aller voir si les autres danseuses ont fini de faire leur prestation pour qu'elle puisse, à son tour, faire son show. Un show qu'elle ne fera d'ailleurs pas abattue qu'elle était à cause de ce qui venait de lui arriver. "C'est au moment où mon chauffeur est parti se renseigner qu'un groupe d'hommes est venu rôder autour de la voiture. Ils étaient armés de coupe-coupes. Avant même que je ne réalise la gravité de la situation, l'un d'entre eux a ouvert la portière. Effrayée, je les ai suppliés de tout prendre et de me laisser la vie sauve", raconte l'auteure de Thiakhagoune.
Lui ayant laissé la vie sauve, les agresseurs lui ont néanmoins tout pris. "Ils ont emporté avec eux mon sac qui contenait mes affaires et quatre téléphone portables ainsi que ceux de mes quatre danseuses", s'est-elle plaint.
Ndèye Guèye était loin de se douter que des agresseurs lui feraient la fête à cette manifestation. Arrivée sur les lieux de la cérémonie, la danseuse demande à son chauffeur d'aller voir si les autres danseuses ont fini de faire leur prestation pour qu'elle puisse, à son tour, faire son show. Un show qu'elle ne fera d'ailleurs pas abattue qu'elle était à cause de ce qui venait de lui arriver. "C'est au moment où mon chauffeur est parti se renseigner qu'un groupe d'hommes est venu rôder autour de la voiture. Ils étaient armés de coupe-coupes. Avant même que je ne réalise la gravité de la situation, l'un d'entre eux a ouvert la portière. Effrayée, je les ai suppliés de tout prendre et de me laisser la vie sauve", raconte l'auteure de Thiakhagoune.
Lui ayant laissé la vie sauve, les agresseurs lui ont néanmoins tout pris. "Ils ont emporté avec eux mon sac qui contenait mes affaires et quatre téléphone portables ainsi que ceux de mes quatre danseuses", s'est-elle plaint.
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