Le Chef du service neurologique de l’hôpital Fann indique qu’aucun médecin ne peut faire de la pratique sans un environnement minimal. "C’est-à-dire, faire de manière convenable les aides diagnostics et autres, devant aider à faire une meilleure pratique du métier. C’est ça notre problème."
Les appareils, retient-il, constituent un seul aspect de notre travail. « A Albert Royer, il y a beaucoup d’enfants épileptiques. En estimation, le Sénégal compte 300 000 épileptiques, en majorité des enfants. Et pour prendre en charge ces enfants, nous avons besoins de matériels », plaide-t-il.
Suivant ce constat, Pr. Ndao fait un plaidoyer pour la multiplication des appareils, afin de mieux prendre en charge les malades.
Les appareils, retient-il, constituent un seul aspect de notre travail. « A Albert Royer, il y a beaucoup d’enfants épileptiques. En estimation, le Sénégal compte 300 000 épileptiques, en majorité des enfants. Et pour prendre en charge ces enfants, nous avons besoins de matériels », plaide-t-il.
Suivant ce constat, Pr. Ndao fait un plaidoyer pour la multiplication des appareils, afin de mieux prendre en charge les malades.