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Santé

Découvrez combien l’oignon peut être utile pour vous autres les hommes dans cette vidéo.


« Le cancer du col de l’utérus est un véritable problème au Sénégal. Chaque année, le Sénégal enregistre environ 875 cas. Et malheureusement, 75% de ces cas arrivent chez les spécialistes à des stades très tardifs. Au point de ne rien pouvoir faire », a révélé Dr Fatma Guénoune, président de la Ligue sénégalaise contre le cancer (LISCA).


Cancer du col de l’utérus : « Chaque année, le Sénégal enregistre 875 cas », selon la Lisca
Pour autant, cette association entend se battre pour ne plus voir cette situation. «Nous voulons voir disparaître cette maladie. C’est pourquoi, nous formons les sages-femmes », a dit Dr Guenoune. L’objectif de la Ligue sénégalaise contre le cancer du col de l’utérus, est d’étendre sa lutte dans les 78 districts sanitaires que compte le Sénégal.

Il faut dire que pour une meilleure en charge et une sensibilisation sur le cancer, la LISCA a initié depuis quelques années, des campagnes de prévention du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce cadre que cette association était ce week-end dans le département de Rufisque, pour une formation des sages-femmes aux techniques de dépistage du cancer du col de l’utérus.

« Cette journée est importante pour la population de Rufisque parce qu’elle y adhère. Mais, l’importance, c’est la pratique parce que les sages-femmes ont été formées. Et cela leur permet de pratiquer sur les personnes sous notre contrôle. Elles vont, après la formation, continuer de faire le dépistage au niveau de leurs postes de santé », souligne Mme Guénoune.



La rédaction de leral.net

Entre amis ou en famille, à la maison ou dans les cafés, la chicha est devenue la nouvelle tendance. Cultivant une apparence de convivialité et de moindre dangerosité, ce tabagisme séduit les plus jeunes. Mais cette nouvelle mode est-elle réellement inoffensive ? Le point avec Doctissimo.


Narguilé, chicha :  Quels sont les dangers ?

Rien qu'à Paris, on compte plus de 150 salons ou cafés orientaux dans lesquels on peut fumer le narguilé. Autre témoin de cet engouement, la vente de tabac à narguilé ou tabamel (mélange de tabac, glycérine et arômes), serait en constante augmentation. Dans le cadre du congrès de pneumologie de langue française 2007, plusieurs travaux présentés se sont intéressés à ce phénomène.

Un tabagisme essentiellement domestique

Pour en savoir plus sur les modes de consommation de ce produit, une enquête auprès de 50 consommateurs a été conduite par des pneumologues français.

Essentiellement des hommes (87 %), les consommateurs étaient âgés en moyenne de 22,3 ans. Plus de la moitié fument plus d'une fois par semaine, presque toujours le soir (85 %), surtout le week-end (70 %). Dans plus de la moitié des cas, la prise dure de 40 à 60 minutes.

La consommation est essentiellement à domicile (65 % des cas) et plus rarement, dans un bar à chicha (5 % des cas). Les personnes se fournissent en tabamel auprès des buralistes mais aussi de sites internet.

En matière d'hygiène, les fumeurs sont assez négligents… Les tuyaux ne sont qu'exceptionnellement, changés. Moins d'un tiers des consommateurs utilisent des embouts personnels. Des pratiques qui ne sont pas sans conséquences…

Ils sont conscients du danger de la fumée, puisque plus de 85 % la considèrent comme "plutôt toxique" ou "toxique". Néanmoins, moins de 2 % des répondants, envisagent un arrêt de la chicha. Une pratique sans rapport avec les autres formes de tabagisme, puisque 79 % disent ne pas fumer habituellement de cigarettes.

Plusieurs dangers insoupçonnés

Le Groupe d'étude sur la réglementation des produits du tabac de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dénonce la croyance selon laquelle la chicha serait relativement inoffensive. Une idée entretenue par des indications très insuffisantes des fabricants.

L'étude de 18 paquets vendus en France, conclut que les informations présentées sont "non conformes à la loi et trompeuses pour les consommateurs".

Selon ce rapport de l'OMS 2, le fait que l'eau retienne une partie de la nicotine au passage incite les fumeurs à inhaler plus profondément (pour "avoir leur dose"). Cela les expose à des quantités plus importantes de carcinogènes et de monoxyde de carbone.

Toujours selon ce rapport, cet usage constitue un risque sanitaire sérieux pour les fumeurs actifs ou passifs (en particulier pour les femmes enceintes) ; le passage par l'eau n'élimine pas les composants toxiques (en particulier le monoxyde de carbone, les métaux lourds et les carcinogènes, produits aussi bien par la combustion du tabac que celle des braises).

Les experts estiment ainsi qu'il ne s'agit pas là d'une alternative sûre à la cigarette, mais plus une dangereuse porte d'entrée dans le tabagisme pour des jeunes séduits par ce nouveau mode de consommation.

Chercheur en socio-anthropologie et tabacologie, Kamal Chaouachi juge ces conclusions alarmistes et dénonce une méthodologie amenant à des conclusions très fluctuantes selon les études : une séance de narguilé est comparée à 40 ou même 200 cigarettes, le taux de monoxyde ingéré varie de 14 à 120 ppm (parties par million)... Ne niant pas les risques pulmonaires liés à la fumée de narguilé (et au charbon de bois destiné à chauffer le tabamel dans le fourneau), il craint cependant que sa diabolisation n'aboutisse qu'à disculper la cigarette.

Le souffle, c'est la vie !

Enfin, le rapport de l'OMS estime que le fait d'aspirer la fumée sur un même embout, pose des problèmes de transmission de maladies telles que la tuberculose ou l'hépatite. Ce danger a été étudié par des chercheurs français, qui ont examiné 41 tubes de narguilé ramassés par hasard dans plusieurs cafés et restaurant de la ville d'Alep.

Après avoir étudié ces tubes (rinçage et mise en milieu de culture), les chercheurs ont isolé 74 germes bactériens différents. Selon les auteurs, « l'utilisation répétée du même narguilé par plusieurs fumeurs consécutifs ou en même temps sans prendre en compte de changer le tube après chaque utilisation peut engendrer plusieurs infections pulmonaires ».

Même s'il est difficile de comparer le risque lié à la fumée de narguilé et celle de cigarette, on ne peut nier l'existence d'un risque pulmonaire pour ces deux pratiques. Ainsi, l'utilisation régulière de la chicha peut conduire aux mêmes maladies que celles auxquelles s'exposent les fumeurs réguliers : broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), cancer du poumon…

En conclusion, il convient de rappeler que pour préserver votre souffle, la meilleure solution est de vous abstenir de toutes formes de tabagisme.


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Contrairement à ce que certaines associations de parents affirment, coucher bébé sur le dos n’augmente pas le risque de plagiocéphalie. Les médecins de l’hôpital Femme Mère Enfant des Hospices Civils de Lyon (HCL), insistent sur l’importance du couchage sur le dos dans la prévention de la mort subite du nourrisson.


Syndrome de la tête plate : Coucher bébé sur le dos, n’augmente pas le risque !

« Non, les consignes de couchage sur le dos pour prévenir la mort inattendue du nourrisson, ne sont pas en contradiction avec les conseils de prévention des déformations posturales du crâne du bébé », insistent les pédiatres, neurochirurgiens et chirurgiens maxilo-faciaux de l’hôpital Femme Mère Enfants-HCL.

Dans un communiqué publié le 15 septembre, ces médecins tiennent à rappeler aux parents, le bien-fondé du couchage sur le dos et les informer sur les gestes de prévention de la plagiocéphalie.

Coucher bébé sur le côté est dangereux

A l’occasion de la semaine nationale de prévention de la mort inattendue du nourrisson (MIN), qui se tient du 18 au 22 septembre, des médecins des Hospices civils de Lyon rappellent que le couchage sur le dos n’est pas responsable de l’augmentation des cas d’aplatissement du crâne chez les bébés. Cette fausse information est relayée par certaines associations de parents, qui conseillent de coucher bébé sur le côté avec un cale-bébé.

Or, cette position « augmente singulièrement le risque de mort inattendue du nourrisson par basculement puis étouffement », explique Béatrice Kugener, responsable du Centre de Référence "Mort Inattendue du Nourrisson" aux Hospices civils de Lyon. Les coussins et les cale-bébés de toutes sortes sont aussi dangereux pour l’enfant car ils augmentent le risque de suffocation.

Comment bien coucher bébé

Un tout-petit doit être couché sur le dos avec la tête tournée tantôt à droite tantôt à gauche, et ce, dès la maternité. Il n’a besoin que d’un matelas ferme à plat pour bouger facilement, un drap housse et une turbulette bien ajustée à sa taille pour lui tenir chaud.

Les mauvaises pratiques qui augmentent le risque de plagiocéphalie
Si les cas de tête plate chez les bébés augmentent en France, ce n’est pas à cause du couchage sur le dos. La plagiocéphalie positionnelle est souvent congénitale et plusieurs facteurs de risque de ces déformations du crâne sont connus : poids élevé, présence d’un retard psychomoteur, grossesse gémellaire, présence d’un torticolis congénital…

Cependant, certaines mauvaises positions de l’enfant à l’éveil peuvent augmenter le risque de déformation de son crâne. Ainsi, utiliser trop souvent et de façon prolongée, des équipements qui imposent à l’enfant de rester la tête appuyée sur un support et l’empêchent de bouger naturellement, peut favoriser le syndrome de la tête plate :
Utilisation du siège auto hors de la voiture ;
• Le transat ;
• Le pouf ;
• Le cocon ;
• Le coussin d’allaitement ;
• La balancelle.

Les bonnes pratiques

Un bébé doit évoluer dans un environnement qui stimule l’activité motrice spontanée et permet la variation des postures. Cela passe par :
• Des tapis d’éveil avec des jeux au sol, en évitant les arches de jeu qui attirent l’attention du bébé en haut et non sur les côtés ;
• Le respect du mouvement de l’enfant ;
• Le portage encouragé ;
• La stimulation de la rotation cervicale pendant les soins, le change et les repas.

Si des parents observent une déformation du crâne chez leur enfant, il est important de mettre en pratique les gestes cités précédemment, d’appuyer l’enfant du côté de "la bosse" lorsqu’il est dans les bras et d’avoir recours à la kinésithérapie cervicale pour normaliser les amplitudes des mouvements cervicaux.

Si la déformation persiste à 4 mois, il faut consulter un médecin spécialisé, qui mettra en place des traitements adaptés.



doctissimo.fr

La peau noire ou métissée est particulièrement sensible aux changements saisonniers et ses besoins évoluent : souvent sèche, inconfortable en hiver, très grasse en été. Aussi, adaptez vos produits de soin, en toute connaissance de cause.


Les bonnes techniques pour garder une peau parfaite
La partie visible de la peau, l’épiderme, se renouvelle en continu. De nouvelles cellules naissent en profondeur et migrent en surface en s’aplatissant, puis meurent et s'éliminent progressivement, une fois arrivées en surface pour être remplacées. Ces cellules mortes, organisées en couches superposées constituent la couche cornée, qui a un rôle protecteur. 

Sur une peau saine, la couche cornée s’exfolie progressivement par un mécanisme naturel invisible à l’œil nu. Le processus s’effectue normalement en 4 à 6 semaines. 

Hors du climat intertropical humide auquel elle est adaptée, la peau noire est sensible à la déshydratation. En milieu plus sec, l’exfoliation naturelle se fait mal. La couche cornée devient plus compacte, plus épaisse. La peau est fragilisée. Elle perd de son éclat, devient terne. Le sébum s’écoule mal. Des brillances, des imperfections et des boutons peuvent apparaître, et ce, à tout âge. 
Déshydratée, la peau présente tous les signes extérieurs...d'une peau grasse ! Pour lui rendre son équilibre, il faut restaurer la barrière cutanée et le bon niveau d’hydratation.

Alors que faire maintenant?

Je lave mon visage soir et matin... tout en douceur. Inutile d’en mettre trop. Une seule pression de pompe suffit. Je ne rince pas à l’eau trop chaude, pour éviter d'endommager le film protecteur de la peau. Une peau décapée souffre d’une sécrétion accrue de sébum avec son cortège de luisances, boutons, taches. J’évite.

J’aide ma peau à se renouveler en favorisant l’exfoliation... J’assainis ma peau en désincrustant les pores en profondeur... mais toujours en douceur...


1 à 2 fois par semaine, je chouchoute ma peau avec un masque... Le masque est un concentré d’actifs. En 20 minutes, il représente l’équivalent de toute une semaine de soins. 
 
J’évite les gommages mécaniques qui favorisent la dissémination des bactéries et irritent une peau déjà fragilisée. Le Peel Off, c’est la solution : en se décollant, mon masque entraîne toutes les impuretés et les cellules mortes. Ma peau est toute neuve !

Une peau souple et douce et saine est une peau bien hydratée. Pas question de zapper l’étape  HYDRATATION ! Les peaux grasses ont, elles aussi besoin d’être hydratées. Le matin comme le soir, c’est jamais sans ma crème. Et je ne laisse jamais l’eau sécher sur mon visage car, aussi étrange que cela semble...l’eau dessèche ! J’essuie sans frotter, en tamponnant délicatement.

 Ma lotion, c’est sans alcool. La lotion le nettoyage et aide à éliminer les cellules mortes et impuretés. En plus, elle procure une agréable sensation de fraîcheur...Les formules à base d’alcool déshydratent et occasionnent des taches sombres. J’évite. Ma peau est sensible ? Je dilue la lotion dans 1 volume d’eau ou je l’applique sur peau humide.

Complexes à évaluer et à traiter, les douleurs chroniques peuvent être de différentes natures et avoir des conséquences néfastes sur la vie du patient. Le point sur les formes de douleurs chroniques et leur prise en charge.


Douleurs chroniques : Causes, diagnostic, traitements

Contrairement à la douleur aiguë, brève mais intense, qui joue le rôle d'un signal d'alarme, la douleur chronique est une pathologie à part entière. La douleur est considérée comme chronique lorsqu'elle excède trois mois et devient récurrente au-delà.

La douleur chronique est une maladie, contrairement à la douleur aiguë, qui est un symptôme. La douleur chronique peut avoir de graves conséquences sur la vie du patient, en détériorant ses capacités fonctionnelles, et en l'empêchant de mener à bien ses activités quotidiennes et professionnelles.

Elle peut ainsi devenir un véritable handicap, et conduire à la dépression dans certains cas. La douleur chronique concerne principalement les femmes et les catégories socioprofessionnelles les moins aisées. Les risques de souffrir de douleur chronique augmentent généralement avec l'âge.

Causes
Il existe trois types de douleurs chroniques, selon leurs causes. Les douleurs inflammatoires ou noriceptives, dues aux inflammations : arthrose par exemple. Les douleurs neuropathiques localisées au niveau du système nerveux central et périphérique : lésions nerveuses, séquelles post-opératoires, accident vasculaire cérébral. Les douleurs cancéreuses qui associent le plus souvent des causes inflammatoires et neuropathiques.

Diagnostic
La douleur chronique est particulièrement subjective, et son diagnostic est complexe. Une évaluation de la douleur reste nécessaire pour déterminer sa prise en charge. Le diagnostic passe avant tout par un interrogatoire et un examen clinique. Des examens complémentaires du système nerveux peuvent être pratiqués en cas de douleurs neuropathiques.

Pour mesurer la douleur, les médecins ont généralement recours à des outils comme des échelles numérotées (0 représentant le plus faible niveau d'intensité) ou des échelles visuelles représentant des visages. Celles-ci sont particulièrement adaptées aux enfants.

Traitement
La prise en charge de la douleur chronique s'inscrit généralement dans une démarche pluridisciplinaire : elle associe les médicaments à une approche psychologique et à des thérapies physiques, pour traiter à la fois douleur et dépression.

Les douleurs inflammatoires répondent généralement bien aux antalgiques, contrairement aux douleurs neuropathiques qui peuvent être soulagées au moyen d'antiépileptiques et d'antidépresseurs. Leur efficacité est néanmoins modérée. La neurostimulation électrique peut être utilisée dans le traitement des douleurs cancéreuses. Il est également possible d'avoir recours à des traitements non médicamenteux : relaxation, sophrologie, hypnose, acupuncture, par exemple.

Antalgiques : le bon choix
Plusieurs types de médicaments sont prescrits en fonction de l’intensité de la douleur :
Les antalgiques de palier 1 de faible intensité, comme le paracétamol et les anti-inflammatoires, les antalgiques de palier 2 d’intensité modérée que représentent les opioïdes dits « faibles » comme la codéine et le tramadol, et les antalgiques de palier 3, de forte intensité qui sont les opioïdes type morphine.

L’Analgésie multimodale
Les spécialistes des traitements anti douleurs utilisent notamment les antalgiques que nous venons de citer en associant plusieurs actifs, qui agissent sur des modalités différentes de la douleur, ce que l’on appelle l’analgésie multimodale, en additionnant divers médicaments par addition (exemple AINS + paracétamol) ou par synergie (AINS + opioïdes),

Les antidépresseurs
Les antidépresseurs tricycliques comme l’imipramine, l’amitriptyline ou la clomipramine, peuvent être utilisés chez les personnes présentant des douleurs chroniques, sans présenter de dépression, comme par exemple, lors de douleurs neuropathiques. Mais ces médicaments doivent être prescrits avec précaution, surtout chez les personnes âgées, en raison de leurs effets secondaires et sont déconseilles lors de pathologies cardiaques, de glaucome ou d’adénome de la prostate.

Les antiépileptiques
Les médicaments anticonvulsivants comme la gabapentine ou la prégabaline peuvent également être prescrits chez des personnes présentant des douleurs neuropathiques liées au zona par exemple ou lors d’une fibromyalgie.

L’oxygène
L’inhalation d’oxygène est parfois proposée dans des centres anti douleur aux personnes présentant une algie vasculaire de la face, lorsque les traitements habituels ne suffisent pas. Ce traitement pourrait également être utilisé au cours de la fibromyalgie.

Le Cannabis
Le Cannabis est utilisé aux Etats-Unis, Canada, Allemagne, Belgique, Israël mais il n’est toujours pas disponible en France en 2017.

La kétamine
Une centaine de consultations anti-douleurs proposent la kétamine, antihyperalgésique puissant réservé au bloc opératoire, qui peut être ainsi administré en perfusion contre des douleurs complexes et résistantes. Des études cliniques sont en cours pour en évaluer l’efficacité à long terme.

La toxine botulique
La toxine botulique de type A, encore appelée Botox, injectée localement sur des zones douloureuses, pourrait être un traitement efficace pour ceux qui souffrent de douleurs neuropathiques périphériques.

Pompes implantables : thérapie intrathécale
La thérapie intrathécale consiste à diffuser les antalgiques au contact du système nerveux afin d’obtenir une meilleure amélioration, en utilisant moins de produit, situation entrainant moins d’effets secondaires. Ce traitement est prescrit pour aider les personnes présentant des douleurs chroniques, notamment celles provoquées par un cancer et qui résistent aux antalgiques systémiques.

Les traitements complémentaires
D’autres traitements non médicamenteux appartenant au domaine des médecines, peuvent être proposés aux patients présentant des douleurs chroniques. L’avis du médecin reste indispensable.

L’acupuncture
Des études ont validé une certaine efficacité de l’acupuncture dans certaines circonstances, pouvant parfois permettre de diminuer la dose de morphine sans entraîner d’effets secondaires.

L’hypnose
De nombreuses études scientifiques valident l’efficacité de l’hypnose dans le traitement des douleurs chroniques notamment au cours des douleurs neuropathiques.

Les thérapies psychocorporelles
La relaxation, le yoga, la sophrologie, la musicothérapie permettent de décentrer l’attention du cerveau concentrée sur les douleurs.

Les thérapies cognitivo-comportementales, TCC
Les thérapies cognitivo-comportementales, TCC, de plus en plus utilisées agissent sur la sensation physique de la douleur, le retentissement psycho affectif, la mémorisation et le comportement.

Méditation
La méditation de pleine conscience de plus en plus connue et faisant l’objet de nombreuses études scientifiques, semble également apporter une amélioration significative de la fréquence et de l’intensité des douleurs.

Des études effectuées chez des patients qui méditent, ont montré qu’au cours d’une IRM, les zones du cerveau impliquées dans le contrôle de la douleur, sont activées.



sante-medecine.journaldesfemmes.com
Voici 10 changements sur vos ongles qui pourraient cacher des problèmes de santé
Un ongle en bonne santé peut se plier légèrement, être arrondi au bout et a une couleur rose clair. Si vos ongles ne ressemblent pas à cette description, ça peut ne pas être grave, mais parfois un changement au niveau de vos ongles peut être le signe d’une maladie plus grave. Vous ne devriez pas prendre à la légère les 10 symptômes suivants.

1-Des ongles cassants

Ce n’est pas seulement un problème présent chez les femmes. La plupart du temps on a des ongles cassants à cause du ménage, de la vaisselle et/ou à cause de l’utilisation fréquente de dissolvant. Mais des ongles cassants peuvent aussi être le signe d’un dysfonctionnement de la thyroïde. Les autres symptômes sont la fatigue, la perte de poids et la chute des cheveux.
 

2-Des ongles courbés vers le haut

Si vous avez des ongles courbés vers le haut, cela pourrait être le signe d’un manque d’oxygène dans votre corps, peut-être dû à un dysfonctionnement du cœur et/ou des poumons.

3-Des rainures sur le côté

Des rainures sur vos ongles peuvent être des symptômes alarmants d’un grave problème de santé comme une infection ou une crise cardiaque.
 

4-Des rainures sur la longueur


Elles apparaissent généralement à un âge avancé. Des rainures minces peuvent être le signe d’un psoriasis, de troubles circulatoires et/ou d’un type d’alopécie. Demandez l’avis d’un médecin si vous avez juste une large rainure, ça pourrait être une tumeur de l’ongle.

5-Taches blanches

Le plus souvent ces taches blanches n’ont rien à voir avec des carences nutritionnelles, mais ce sont plutôt des traces que votre ongle a été abîmé dans le passé. Ne vous inquiétez pas, elles disparaissent le plus souvent avec la repousse de l’ongle.
 

6-Des ongles pâles

Si vous avez remarqué que vos ongles sont de plus en plus pâles, ça pourrait être le signe d’une anémie qui touche souvent les fumeurs et les diabétiques.
 

7-Des ongles épais et jaunes

 
Les médecins appellent ça le « syndrome de l’ongle jaune ». Cela affecte souvent les personnes atteintes de bronchites ou qui ont des maladies qui touchent les voies respiratoires. Mais des ongles jaunes peuvent aussi être un signe de rétention d’eau et/ou de champignons.
 

8-Des ongles marron ou noirs

Si vous n’avez pas mis de vernis de l’une de ces deux couleurs, vous avez probablement une petite blessure sous l’ongle. Mais si une tâche brune ou noire apparait sans qu’il y ait eu de blessure, demandez l’avis d’un médecin car ça pourrait être le signe d’une maladie de peau.

9-Des ongles bleus

Si votre sang n’a pas assez d’oxygène, vos ongles deviennent bleus. Ça pourrait être le signe d’une maladie des poumons ou d’un cœur faible.

10-Des ongles moitié-moitié

Si votre ongle a une coloration claire mais que le bout est rouge ou marron, ça pourrait être le signe d’un problème de reins.



Emeraude ASSAH

L’expression vocale du plaisir féminin est liée à l’intensité du ressenti. C’est un moment libérateur et exutoire. Mais c’est aussi la qualité du moment vécu, qui agit. Et il ne faut pas croire que des femmes qui ne gémissent pas (ou ne crient pas),ne ressentent pas des sensations intenses. Le point avec Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute.


Dans le cadre de la politique de la Couverture maladie universelle, la césarienne, un acte chirurgical, est devenue gratuite au Sénégal dans les structures sanitaires publiques. Toutefois, les autres charges sont exclues de ce traitement.


Complication de la Césarienne : Un gynécologue plaide pour la gratuité des soins
Estimant que les complications sont nombreuses et souvent coûteuses, un gynécologue obstétricien appelle à la gratuité du traitement des complications liées à la Césarienne. « Je demande solennellement aux autorités de rendre gratuite la prise en charge de la gestion des complications des Césariennes; c’est important », a lancé, sur Rfm mercredi le Docteur Abdoulaye Sarr, gynécologue obstétricien au service de la maternité de l’hôpital Abass Ndao.

Abass Ndao enregistre annuellement en moyenne 3100 naissances, avec un taux de Césarienne de 37%. Et comme tout acte chirurgical, relève le média, la Césarienne peut engendrer des complications. Les infections sont les plus fréquentes. Par exemple la cicatrice peut s’infecter et provoquer un lâchage de la paroi. Et là, le traitement est long et lent parce que c’est un cas de figure compliqué. Des problèmes d’ordres divers peuvent aussi subvenir après une Césarienne et la prise en charge demande des moyens. Et malheureusement, la plupart des patientes des structures sanitaires publiques sont démunies.

 
La rédaction de Leral.net

Les bienfaits de la banane sur la santé sont indéniables. Ce fruit tropical est riche en nutriments et en fibres, qui peuvent améliorer la santé à de nombreux niveaux. Si vous aimez manger de la banane, voici certaines de ses vertus dont vous n’avez probablement jamais entendu parler.


Voici 10 bienfaits de la banane dont vous n’avez probablement jamais entendu parler

1. Donne de l’énergie
Avant de faire du sport, manger deux bananes peut vous donner assez d’énergie pour supporter une séance d’entraînement de 90 minutes.

2. Contre la dépression
Les bananes sont riches en tryptophane, une protéine qui se transforme en sérotonine dans le corps. Or l’augmentation des niveaux de sérotonine permet de combattre la dépression.
Les bananes contiennent aussi de la vitamine B6, particulièrement bénéfique pour la régulation du taux de glucose dans le sang, ce qui permet d’améliorer l’humeur et de calmer l’irritabilité. Cette vitamine est conseillée en cas de déprime.

3. Lutte contre le stress
La teneur des bananes en vitamine B6 aide à réduire efficacement le stress. Celui-ci peut provenir soit du travail soit de la vie personnelle.

4. Conseillée aux hypertendus
Grâce à sa richesse en potassium et son faible taux de sodium, ce fruit tropical est extrêmement efficace dans le traitement de l’hypertension artérielle. De plus, il peut réussir à prévenir les AVC.

5. Élimine les brûlures d’estomac
Les bananes ont un effet antiacide naturel sur le corps humain, ce qui les rend extrêmement bénéfiques pour soulager les brûlures d’estomac.

6. Un laxatif naturel
Si vous souffrez de constipation, pensez à manger des bananes. Leur richesse en fibres permet de réguler le transit intestinal et remplace efficacement les laxatifs vendus en pharmacie.

7. Pour une meilleure concentration
Les bananes aident à mieux se concentrer grâce à leur richesse en potassium. Voilà pourquoi il est fortement recommandé de manger des bananes lors des préparations aux examens.

8. Anti-gueule de bois
Vous étiez invité chez des amis la veille et le dîner était bien arrosé ? Mangez des bananes, elles viendront à bout de la gueule de bois.

9. Traite l’anémie
La grande teneur en fer de la banane favorise la formation de globules rouges et prévient l’anémie. Ce fruit est donc conseillé aux personnes souffrant de cette maladie.

10. Tout est bon dans la banane, même ses pelures !
Les pelures de bananes peuvent également être très utiles. Elles soulagent les démangeaisons et favorisent une guérison plus rapide des piqûres de moustiques. Elles permettent aussi de faire disparaître les verrues.
Il suffit de masser l’intérieur d’une peau de banane sur la peau affectée. Cette opération est à faire jusqu’à disparition complète des lésions.
Riche en vitamines et digeste, La banane est riche en protéines, glucides et lipides qui sont les constituants essentiels du lait maternel. Ces nutriments sont fortement recommandés dans l’alimentation de la femme enceinte ou allaitante, car ils favorisent la lactation. Toutefois, ce fruit est déconseillé aux diabétiques et aux personnes souffrant de maladies du foie et de calculs biliaires.
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