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Santé

Un yaourt est un produit comestible fabriqué à base de lait. Le lait est fermenté par l’ajout des bactéries lactiques thermophiles, les lactobacillus delbrueckii subsp. bulgaricus et Streptococcus thermophilus qui doivent être ensemencées simultanément et se trouver vivantes dans le produit fini.


Voici pourquoi il est très important de consommer régulièrement du yaourt
Voici pourquoi il est très important de consommer régulièrement du yaourt
Il faut savoir que la consommation du yaourt se fait depuis des siècles. Un savant russe du nom d’Ilya Metchnikoff a valorisé le yaourt au 20e siècle. En collaboration avec Louis Pasteur, il voulait savoir comment le yaourt pouvait augmenter l’espérance de vie.

Les yaourts étaient vendus dans les pharmacies pour soigner les troubles digestifs, mais à partir des années 50, la vente des produits laitiers furent libéralisés à cause des industries agro-alimentaires.

1- C’est un produit sain

Il renferme du calcium qui est excellent pour la calcification des os. Le calcium contribue à la formation, à la solidité et à la bonne santé des os et des dents. Il intervient dans la coagulation sanguine, la contraction musculaire, la conduction nerveuse et la libération d’hormones.

2- Une bonne source de protéines

Pour 100 grammes de yaourt vous avez 5 grammes de protéines. L’organisme assimile plus facilement les protéines laitières.

3- Il renforce l’immunité intestinale.

Le yaourt prévient certaines infections et même certains cancers grâce à la bactériocine qu’il contient et qui a des propriétés anti-infectieuses.

Grâce aux ferments lactiques qu’il renferme, il protège l’intestin. Il possède également des enzymes qui participent à la protection du milieu intestinal. Il est particulièrement recommandé aux personnes qui ont un intestin très fragile, ou qui consomme des antibiotiques de boire du yaourt.

4- Pour le corps
Il est utilisé pour des recettes de beauté et il est bon pour maintenir la forme en luttant contre l’obésité.

AFRK.MAG
Maroc: une fillette vivait avec une sangsue de 6 centimètres dans la gorge
La fillette avait des difficultés à respirer et crachait du sang. Il s'est avéré qu'elle avait une sangsue logée dans la gorge.

Les parents étaient inquiets de son état de santé. La fillette, âgée de 6 ans, a finalement été auscultée par des médecins de l'hôpital Ibn Rochd de Casablanca (Maroc). Pour connaître les raisons de ses difficultés à respirer et ces rejets de sang, les professionnels ont d'abord procédé à une nasofibroscopie. En clair, ils ont introduit une fibre optique dans l'une des narines de la fillette pour voir ce qui se passait dans sa gorge, son larynx ou encore dans sa cavité buccale.

Là, les médecins sont tombés sur une masse noire et luisante au fond de sa gorge. Il s'agit d'une sangsue, une espèce hermaphrodite de vers annelés vivant le plus souvent dans l'eau, rapporte le Journal of Surgery Case Reports, repris par Le Figaro. La fillette a été opérée d'urgence pour ôter l'animal. Une fois l'enfant anesthésié, les médecins ont procédé au retrait de la fameuse gène, surpris par la taille de cette sangsue de plus de 6 centimètres de long !

Interrogés, les parents ont confié que leur fille avait bu de l'eau d'une rivière deux mois plus tôt, période à laquelle sont apparus les premiers symptômes. On peut alors supposer que la sangsue, d'une taille infime à ce moment-là, a été ingérée par l'enfant puis a doucement grossi au fond de sa gorge, en s'alimentant de son sang.

 

Utilisé pour sucrer des réparations ou nappé sur une tartine, le miel est un aliment incontournable de notre quotidien. Mais c'est aussi un puissant médicament naturel aux vertus insoupçonnées. Dans certains hôpitaux, il est utilisé pour faciliter la cicatrisation des plaies, et les résultats sont bluffants.


Le miel possède des vertus thérapeutiques impressionnantes
Connu de tous les becs sucrés, le miel est un aliment très apprécié à travers le monde mais pas uniquement pour son goût. Ceux qui ont eu la voix enrouée savent qu'une cuillère de miel dans un peu d'eau chaude et de citron peut soulager la gorge en quelques minutes. Pourtant, le miel a d'autres vertus en tant que médicament, notamment celle de faciliter la cicatrisation des plaies. Utiliser le miel comme pansement peut paraître insolite, et pourtant depuis l'Égypte antique, le miel est utilisé pour faciliter la guérison et la cicatrisation des plaies. Il suffit pour cela d'appliquer un peu de miel sur une compresse et de placer le tout sur la zone à problèmes (plaies, brûlures ou encore cicatrices infectées). En quelques jours et sans que le patient ne souffre, le miel agit sur la plaie et l'a fait cicatriser. Des vertus que l'on doit à deux éléments qui le composent : l'eau oxygénée et l'acide glycolique. Le premier fait office d'antiseptique tandis que le second empêche les microbes de se développer.
Si ce remède de grand-mère était tombé dans l'oubli, le miel est de plus en plus utilisé dans la médecine. À la fois anti-inflammatoire, antioxydant et antibactérien, il est devenu la base de l'apithérapie moderne, une médecine douce basée sur tous les produits de la ruche y compris le miel qui se fait progressivement une place dans les hôpitaux. C'est toutefois un miel particulier qui est utilisé pour faire cicatriser les plaies : le miel de thym. Et ce miel a bien d'autres vertus médicinales. En plus d'agir sur les plaies, il est très bon pour prévenir et lutter contre les maladies infectieuses, respiratoires et digestives. Incarnant une solution à la fois écologique, économique (les crèmes cicatrisantes sont 100 fois plus chères à l'achat) et naturelle, le miel de thym est un médicament puissant qui ne cesse d'étonner mais aussi de faire ses preuves. Ses vertus ont de quoi ravir les adeptes de médecine naturelle mais aussi les hôpitaux même si ceux-ci sont encore peu nombreux à l'utiliser au quotidien.
 
 
Médecine générale: Le professeur Seydou Nourou Diop explique comment on peut prévenir 80 % des cas de diabète
Médecine générale: Le professeur Seydou Nourou Diop explique comment on peut prévenir 80 % des cas de diabète
Le diabète est une pathologie qui est en train de prendre des prévalences élevées partout dans le monde. Toutefois, le professeur Seydou Nourou Diop soutient qu'avec un suivi normal des diabétiques, la pratique d'exercice physique régulière et l'alimentation équilibrée, on peut prévenir 80 % des cas de diabète.

Le diabète qui gagne de plus en plus du terrain est une pathologie méconnue du grand public. Ainsi les journées sénégalo-marocaines de médecine générale ont été une occasion de faire une revue de connaissances sur le diabète de type 2.

Selon le professeur Seydou Nourou Diop qui est diabétologue, « il y a trente ans le diabète n’était qu’à 2 %. Il est important de faire face d’autant plus que si le diabète n’est pas pris en charge très tôt, il peut être handicapant chez l’adulte.

Toutefois la prise en charge du diabète ne se limite pas au médecin traitant, mais il faut l'implication du corps de la santé, c’est à dire les médecins, les infirmiers les sages-femmes et même les communicateurs traditionnels parce que c’est une pathologie qui exige une bonne communication".

A son avis, l’unique problème est que «même dans notre pays, on n’a pas encore tous les médicaments requis à notre disposition ».

Le professeur n’est pas resté sans donner des conseils à l’endroit des patients à qui il recommande de ne pas s’éloigner du corps médical. Pour lui, beaucoup de patients se disent qu’ils savent ce qui leur arrive et ils préfèrent rester chez eux. Cependant, le diabétologue invite tous les diabétiques à "se rendre tous les trois mois à l’hôpital et à faire de la prévention à partir de quarante ans par le biais d’exercices physiques réguliers et d’une alimentation équilibrée en mettant l’accent sur la consommation des légumes, avec moins de gras et moins de sucre. Avec ça, on peut prévenir 80 % des cas de diabète", conclut-il.

Tribune
Bill Gates : ‘’Le monde doit se préparer à une pandémie globale’’
Bill Gates : ‘’Le monde doit se préparer à une pandémie globale’’
La communauté internationale doit réaliser qu'elle doit au plus vite se préparer à une pandémie mondiale, a jugé vendredi Bill Gates, fondateur de Microsoft devenu mécène, devant la Conférence de sécurité de Munich.

Prenant l'exemple de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest en 2014-2015, de la grippe espagnole de 1918 ou évoquant l'invention possible d'un virus à des fins «terroristes», M. Gates a jugé «probable» une catastrophe à l'échelle du globe.

«Qu'ils apparaissent dans la nature ou dans les mains d'un terroriste, les épidémiologistes disent qu'un pathogène transmis dans l'air et se propageant rapidement, peut tuer 30 millions de personnes en moins d'un an», a expliqué M. Gates lors de cette réunion annuelle des responsables de la diplomatie mondiale.

«Et c'est assez probable que le monde va vivre une telle épidémie dans les 10 à 15 ans à venir», a-t-il ajouté, «c'est pourquoi, nous nous mettons en danger en ignorant le lien entre sécurité sanitaire et sécurité internationale».

Bill Gates a donc appelé les États à investir dans la recherche pour développer des technologies capables de créer des vaccins en quelques mois.

Enfin, le fondateur de Microsoft a appelé la communauté internationale à se préparer à une pandémie avec le même sérieux qu'elle se préparait à une attaque nucléaire durant la Guerre froide.

«Le coût global de la préparation à une pandémie est estimé à 3,4 milliards de dollars par an. La perte annuelle qu'une pandémie provoquerait pourrait atteindre 570 milliards», a-t-il affirmé.

lapresse
Cancer du sein: Les autorités recommandent d'éviter le docétaxel
Après des décès de femmes qui avaient reçu ce traitement, l'Institut national du cancer (INCa) a recommandé, dans un courrier adressé à des professionnels de santé ce vendredi, d'éviter l'utilisation du médicament docétaxel dans le traitement du cancer du sein opérable.

Six femmes traitées par docétaxel ont été victimes d'« entérocolites » - inflammation simultanée des muqueuses de l'intestin grêle et du côlon -, et cinq d'entre elles sont décédées, avait indiqué cette semaine l'Agence du médicament (ANSM). Ceci avait donné lieu à l'ouverture d'une enquête de pharmacovigilance, ouverte en septembre 2016 par l'ANSM, touchant l'ensemble des médicaments contenant du docétaxel.

Ce vendredi, l'Institut national du cancer (INCa), avec l'Agence du médicament ANSM, ont recommandé par précaution d'« éviter temporairement » l'utilisation du médicament docétaxel dans le traitement du cancer du sein opérable.

Il existe une alternative, le paclitaxel (Taxol et génériques) et « l'ANSM veille à garantir (son) approvisionnement », souligne ce courrier adressé à des professionnels de santé. Par précaution, nombre de cancérologues avaient déjà devancé cette décision en passant à cette solution alternative du Taxol, remarque-t-on dans ce milieu médical.

Des investigations sont en cours

« Des investigations sont en cours » concernant ces décès et les effets indésirables graves du docétaxel, rappelle l'INCa dans le courrier, co-signé de l'ANSM, adressé dans l'après-midi de vendredi aux médecins des centres autorisés à traiter les patients atteints de cancer. Cette recommandation, intervient « après consultation des professionnels de santé », a-t-il indiqué.

« Cette recommandation ne concerne pas, à ce stade, l'utilisation du docétaxel dans ses autres indications thérapeutiques » (ndlr, cancers avancés, cancers du poumon, de la prostate etc.). « L'INCA et l'ANSM reviendront vers les professionnels de santé pour partager les résultats des différentes investigations actuellement menées et adapter en conséquence les mesures. »

« Dans le contexte particulier qui fait l'objet de cette recommandation, l'ANSM souligne l'importance de déclarer immédiatement tout effet indésirable suspecté d'être en lien avec l'utilisation des spécialités à base de docétaxel et de paclitaxel », conclut ce texte disponible en ligne.

L'enquête de pharmacovigilance, ouverte en septembre 2016 par l'ANSM touche l'ensemble des médicaments contenant du docétaxel. Ses résultats seront présentés le 28 mars à un comité technique de l'agence du médicament.

ouest-france
Voici le remède le plus efficace contre la toux. Il agit instantanément.

La combinaison de l’oignon et du miel est bien connu depuis l’antiquité comme un remède naturel efficace pour la toux. L’avantage de ces deux ingrédients médicinaux naturels est qu’ils sont toujours disponibles et peu couteux. En outre, vous saurez quels sont les ingrédients que vous avez utilisé lorsque vous préparez un remède contre la toux à partir de ces ingrédients, à la différence des sirops ou d’autres produits qui contiennent souvent des colorants artificiels, des parfums et des conservateurs.
Recette :

Ingrédients :

* 2-3 cuillères à soupe de miel naturel

* 1 oignon

Préparation :

Choisissez un oignon de taille moyenne saine et agréable. Pelez l’oignon et coupez-le de haut en bas avec un couteau pointu, mais pas tout le chemin vers le bas.

Dans un bol profond, placez l’oignon et versez le miel dessus. Couvrez le bol et laissez vos ingrédients à une température ambiante pour toute la nuit. Le lendemain matin, filtrez la souche du mélange à travers une passoire ou une gaze épaisse. Ceci est une dose pour un jour.

Toutes les deux heures, consommez une cuillère de ce sirop, vous pouvez même prendre plus souvent que cela. Dans un court laps de temps, la toux va disparaître et vous aurez le sentiment que vous pouvez respirer plus facilement.

Santé: Découvrez quelques bienfaits des peaux de banane
Santé: Découvrez quelques bienfaits des peaux de banane
Nombreuses sont les personnes qui aiment bien consommer la banane. Sa richesse en vitamine B et sa très bonne saveur laissent très peu de personnes indifférentes. En consommant la banane, elle enrichit notre corps en pectine mais aussi en potassium. De quoi nous permettre d’avoir de l’énergie tout au long de la journée. Consommer la banane permettrait, selon une étude, de lutter contre les radicaux libres et par conséquent, prévenir l’apparition de certaines maladies comme le diabète ou encore le cancer.

Seulement, après sa consommation, l’on ignore souvent que même les peaux de banane peuvent procurer le bien-être. A la question de savoir que peuvent apporter les peaux de banane, les spécialistes donnent quelques raisons pour lesquelles l’on ne devrait plus jeter les peaux de banane.


1. Pour des dents blanches

Lorsque les dents commencent à jaunir, une peau de banane peut les blanchir. Il suffit de passer délicatement la peau de banane sur les dents chaque jour durant 2 minutes, elles retrouveront leur éclat.

2. Pour éliminer une verrue

En fixant quelques peaux de banane à l’aide d’un bandage sur votre verrue durant toute une nuit, celle-ci finira par disparaître.

3. Pour éliminer les boutons d’acné

En frottant une peau de banane sur le visage à l’endroit où se concentre des boutons d’acné pendant plusieurs minutes chaque jour. Quelques minutes après, vous aurez des résultats très satisfaisants.

4. Pour faire disparaître les rides

Il suffit d’appliquer la peau de banane à l’endroit où les rides sont concentrées. La peau de banane est un excellent traitement pour l’élimination des rides.

5. Pour vous soulager d’une piqûre d’insecte

Si vous avez été victime d’une piqûre d’insecte et que vous n’avez aucun traitement à votre portée à cet instant, n’hésitez pas à prendre la peau d’une banane, elle permettra de vous soulager de la douleur en quelques minutes.

afrikmag

Le Sommet mondial de la gouvernance, rendez-vous annuel de décideurs organisé à Dubaï, a décerné dimanche le titre de "meilleur ministre" à la Sénégalaise Awa Marie Coll Seck pour son rôle dans la lutte contre l'épidémie d'Ebola.

Mme Seck, ministre de la Santé, a reçu sa récompense des mains de cheikh Mohammad ben Rached Al-Maktoum, vice-président, Premier ministre des Emirats arabes unis et souverain de Dubaï.

Choisie parmi huit candidats, la ministre de la Santé du Sénégal a été saluée pour "son rôle dans la lutte contre Ebola, à travers des programmes de prévention et d'information".

Partie du sud de la Guinée en décembre 2013, l'épidémie de "maladie à virus Ebola" a fait au moins 11.315 morts pour 28.637 cas recensés, selon l'OMS. Les victimes se sont concentrées à plus de 99% dans trois pays voisins : Guinée (plus de 2.500 morts), Sierra Leone (plus de 3.900 morts) et Liberia (plus de 4.800 décès), des bilans sous-évalués selon l'OMS.

L'OMS a annoncé officiellement en janvier 2016 la fin de l'épidémie en Afrique de l'Ouest, avec l'arrêt de la transmission au Liberia. De nouveaux cas mortels ont toutefois été identifiés depuis, comme en mars en Guinée.