Le ministère du Tourisme et des Transports aériens dit avoir « constaté le survol de l’espace aérien national, avec prise de vue dans la région de Ziguinchor et notamment, dans les zones de sécurité », lit-on.
Ledit aéronef ne disposait d’aucune "autorisation », comme il sied en la circonstance, pour opérer des survols de sites et d’installation dans des conditions définies par nos lois et règlements.
Face à cette situation, les services du ministre Alioune Sarr ont pris les mesures conservatoires, en « immobilisant l’avion incriminé et (ont) ouvert une enquête », pour déterminer les responsabilités liées à cet événement « très grave dans un pays souverain ».
Ledit aéronef ne disposait d’aucune "autorisation », comme il sied en la circonstance, pour opérer des survols de sites et d’installation dans des conditions définies par nos lois et règlements.
Face à cette situation, les services du ministre Alioune Sarr ont pris les mesures conservatoires, en « immobilisant l’avion incriminé et (ont) ouvert une enquête », pour déterminer les responsabilités liées à cet événement « très grave dans un pays souverain ».