Le Sénégal reste un pays où les normes et règlements sont bafouées par des hommes et des femmes d’un haut rang social. Loin d’avoir des soucis du devenir de la communauté, ils s’accaparent du littoral et l’agressent de manière dramatique. Et, les moins nantis, étant dans une posture inconfortable, peinent actuellement à accéder à ces plages de la capitale sénégalaise. Ne serait-ce, juste que pour prendre de l’air pur et naturel. Rien comme espace de distraction ou de loisir n’est laissé à leur disposition. Une situation gravissime qui a entraîné l’ire des populations.
Ainsi, il a été constaté ces derniers temps, une sorte d’intempérie revanchard qui a dévasté une partie des édifices et autres bâtisses à la Corniche Est, juste à hauteur du Lagon 1. C’est regrettable, dénonce-t-on, de voir une agression de la Corniche avec l’installation anarchique et une extension incomprise de restaurants et hôtels, ne respectant aucune règle.
Conséquence, avec l’avancée de la mer, les roches agressées ne résistent plus aux fortes attaques ou pressions maritimes. Résultats, des effondrements, justifiés par les fortes pluies, posant impérativement, la question du réaménagement du domaine public. Une urgence et priorité à plusieurs milliards de FCfa pour se sauver d’une plus grande catastrophe.
Ainsi, il a été constaté ces derniers temps, une sorte d’intempérie revanchard qui a dévasté une partie des édifices et autres bâtisses à la Corniche Est, juste à hauteur du Lagon 1. C’est regrettable, dénonce-t-on, de voir une agression de la Corniche avec l’installation anarchique et une extension incomprise de restaurants et hôtels, ne respectant aucune règle.
Conséquence, avec l’avancée de la mer, les roches agressées ne résistent plus aux fortes attaques ou pressions maritimes. Résultats, des effondrements, justifiés par les fortes pluies, posant impérativement, la question du réaménagement du domaine public. Une urgence et priorité à plusieurs milliards de FCfa pour se sauver d’une plus grande catastrophe.