Ils sont devenus indissociables par la force de la nature. Hier, trois jeunes pubères aux trajectoires différentes, ils sont aujourd’hui les acteurs principaux, malgré eux, d’un mélodrame amoureux qui se joue dans un incompatible mariage à trois.
Au début, c’était Waly Seck et Sokhna Aidara, deux jeunes auréolés par la gloire et couverts de strass et de paillettes. Lui musicien et « fils de… », elle mannequin à succès qui ensorcelle les tapis rouges des « palace to be » dakarois. Ils se rencontrent un soir de pleine lune et se découvrent des points communs. Ils accrochent du premier regard et commencent à se fréquenter. Même si les deux tourtereaux vivent leur amour en cachette, l’histoire s’ébruite. Leur idylle est dévoilée au grand jour par la presse people, même si chacun de son coté essaie d’esquiver les incursions indiscrètes dans leur jardin privé. Ce jeu de cache-cache va continuer encore longtemps.
Entre-temps, le jeune chanteur fait la connaissance d’une jolie nymphe, Penda Niang, une belle sans guibolles au minois d’ange, rien à voir avec la fée des podiums, mais qui a l’atout de compter la superbe Magui Niang (mannequin) dans sa fratrie. La jeune fille, mignonne à croquer, réussit à faire chavirer le cœur du fils de Thione Seck. Waly ne sait plus ou donner de la tête. Il passe ses journées à rembobiner le film de sa vie qui a rencontré celle de deux belles étoiles qui font briller ses nuits. Difficile de faire le choix, Waly décide de jongler avec les deux femmes. Une attitude qui se révélera être au fil du temps ; plus que prémonitoire. Waly élit Penda Niang comme la reine de son cœur et tous deux décident d’unir leur vie. Toutefois, ils vont se heurter à un mur. Les parents de la jeunes fille très portés sur la tradition, refuse de donner en mariage Penda, sous prétexte que Waly est griot. Le chanteur a mal au plus profond de son être. Heureusement que Sokhna Aidara n’est pas loin. Son premier amour est prêt à lui porter assistance.
Il épouse Sokhna Aidara. Un mariage qui a vite pris les allures d’un feuilleton de telenovela avec ses rebondissements et suspens. Un divorce est d’abord évoqué, puis une réconciliation, encore un divorce… Les rumeurs les plus folles circulent à propos du couple qui s’emmure dans un silence complice. Contre toute attente, Sokhna et Waly joignent ensemble »L’observateur » pour prouver que leur ménage est plus que jamais solide. Ce n’était qu’un écran de fumée, puisque le bonhomme profitait de ses tournées en Europe pour faire un tour du coté de Paris ou s’était installée Penda Niang. De petites escapades qui se sont transformées en une passion torride. Et ce qui devait arriver arriva : une grossesse vient conforter les liens ardents qui existent entre les deux.
Nouveau rebondissement. Penda et Waly attendent un enfant, ce qui a eu le don de mettre Sokhna , l’épouse légitime dans tous ses états de femme trahie. Atteinte, elle se résigne à pardonner les incartades de son époux. Apres la naissance d’une jolie petite fille à Paris du nom de Mouny Fatim Seck, du nom de la grande sœur de l’artiste. Au même moment, la chronique annonce, la grossesse de Sokhna Aidara. Pour la seconde fois, Waly va être papa. Seulement, cet heureux événement ne va pas inciter le jeune chanteur à se consacrer uniquement à son épouse. Il continue à voir Penda avec une excuse valable : leur fille. «C’était un alibi pour s’amouracher de nouveau avec Penda », souffle un proche de la jeune maman. Des retrouvailles qui n’ont pas échappé à Sokhna qui a remué ciel et terre pour ne pas voir son m »nage s’échouer sur les rives du divorce ou l’on compte les épitaphes de beaucoup de couples de stars. Peine perdue, les deux amants se rapprochent dangereusement et le couple Sokhna – Waly bat de l’aile. la presse pondra meme une fausse -verité née de cette guéguerre familiale: “Waly a battu Sokhna qui a décidé de rentrer chez ces parents”, qui avait réveillé le cosmos people dakaroise. Depuis , les ragots sont allés bon train. Mais Waly, l’objet de la discorde, écartelé entre son role de pere et d’époux,refuse de manquer à ses obligations. Il dément l’info:” Lorsque les journaux relatent cette information, je n’étais pas au senegal”, se défend-il.
Source: L’observateur
Au début, c’était Waly Seck et Sokhna Aidara, deux jeunes auréolés par la gloire et couverts de strass et de paillettes. Lui musicien et « fils de… », elle mannequin à succès qui ensorcelle les tapis rouges des « palace to be » dakarois. Ils se rencontrent un soir de pleine lune et se découvrent des points communs. Ils accrochent du premier regard et commencent à se fréquenter. Même si les deux tourtereaux vivent leur amour en cachette, l’histoire s’ébruite. Leur idylle est dévoilée au grand jour par la presse people, même si chacun de son coté essaie d’esquiver les incursions indiscrètes dans leur jardin privé. Ce jeu de cache-cache va continuer encore longtemps.
Entre-temps, le jeune chanteur fait la connaissance d’une jolie nymphe, Penda Niang, une belle sans guibolles au minois d’ange, rien à voir avec la fée des podiums, mais qui a l’atout de compter la superbe Magui Niang (mannequin) dans sa fratrie. La jeune fille, mignonne à croquer, réussit à faire chavirer le cœur du fils de Thione Seck. Waly ne sait plus ou donner de la tête. Il passe ses journées à rembobiner le film de sa vie qui a rencontré celle de deux belles étoiles qui font briller ses nuits. Difficile de faire le choix, Waly décide de jongler avec les deux femmes. Une attitude qui se révélera être au fil du temps ; plus que prémonitoire. Waly élit Penda Niang comme la reine de son cœur et tous deux décident d’unir leur vie. Toutefois, ils vont se heurter à un mur. Les parents de la jeunes fille très portés sur la tradition, refuse de donner en mariage Penda, sous prétexte que Waly est griot. Le chanteur a mal au plus profond de son être. Heureusement que Sokhna Aidara n’est pas loin. Son premier amour est prêt à lui porter assistance.
Il épouse Sokhna Aidara. Un mariage qui a vite pris les allures d’un feuilleton de telenovela avec ses rebondissements et suspens. Un divorce est d’abord évoqué, puis une réconciliation, encore un divorce… Les rumeurs les plus folles circulent à propos du couple qui s’emmure dans un silence complice. Contre toute attente, Sokhna et Waly joignent ensemble »L’observateur » pour prouver que leur ménage est plus que jamais solide. Ce n’était qu’un écran de fumée, puisque le bonhomme profitait de ses tournées en Europe pour faire un tour du coté de Paris ou s’était installée Penda Niang. De petites escapades qui se sont transformées en une passion torride. Et ce qui devait arriver arriva : une grossesse vient conforter les liens ardents qui existent entre les deux.
Nouveau rebondissement. Penda et Waly attendent un enfant, ce qui a eu le don de mettre Sokhna , l’épouse légitime dans tous ses états de femme trahie. Atteinte, elle se résigne à pardonner les incartades de son époux. Apres la naissance d’une jolie petite fille à Paris du nom de Mouny Fatim Seck, du nom de la grande sœur de l’artiste. Au même moment, la chronique annonce, la grossesse de Sokhna Aidara. Pour la seconde fois, Waly va être papa. Seulement, cet heureux événement ne va pas inciter le jeune chanteur à se consacrer uniquement à son épouse. Il continue à voir Penda avec une excuse valable : leur fille. «C’était un alibi pour s’amouracher de nouveau avec Penda », souffle un proche de la jeune maman. Des retrouvailles qui n’ont pas échappé à Sokhna qui a remué ciel et terre pour ne pas voir son m »nage s’échouer sur les rives du divorce ou l’on compte les épitaphes de beaucoup de couples de stars. Peine perdue, les deux amants se rapprochent dangereusement et le couple Sokhna – Waly bat de l’aile. la presse pondra meme une fausse -verité née de cette guéguerre familiale: “Waly a battu Sokhna qui a décidé de rentrer chez ces parents”, qui avait réveillé le cosmos people dakaroise. Depuis , les ragots sont allés bon train. Mais Waly, l’objet de la discorde, écartelé entre son role de pere et d’époux,refuse de manquer à ses obligations. Il dément l’info:” Lorsque les journaux relatent cette information, je n’étais pas au senegal”, se défend-il.
Source: L’observateur
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