Le président de la Conférence des leaders, Khalifa Ababacar Sall est persuadé qu'Amy Ndiaye Gniby "regrettera ses propos tenus" à l'endroit du guide des Moustarchidines. Il a exprimé sa fierté à l'endroit des députés de la coalition Yaw. Ainsi, le président du groupe parlementaire Yewwi Askan Wi, Birame Soulèye Diop qui affirme "n'être guère surpris", est déterminé à tout mettre en œuvre pour que la députée Amy Ndiaye présente ses excuses.
Amy Ndiaye, regrette-t-on, "a été applaudie après sa déclaration. Ce qui prouve qu'elle a été soutenue par ses camarades". Birame Soulèye Diop a réitéré sa volonté de voir la députée de Benno Bokk Yakaar, présenter ses excuses devant l'hémicycle. Ce qu'aurait refusé Amy Ndiaye.
Mais, le leader de Pastef, Ousmane Sonko estime que les députés de Benno Bokk Yakaar peinent "à suivre le niveau du débat imposé par l'opposition". Ces derniers "n'ont pour argument que l'insulte". Tant que les insultes sont dirigées vers les leaders de Yewwi, "il n'y a pas de soucis". Reprenant Abba Mbaye, le leader de Pastef a considéré que "la ligne rouge a été franchie".
"Je n'aurai jamais pensé qu'on en arriverait à ce qu'un député puisse avoir le courage d'insulter un guide religieux au sein même de l'hémicycle". Ousmane Sonko a rappelé ses "alertes" qu'il disait lancer depuis des années, considérant que l'on joue avec le feu.
D’après Ousmane Sonko, le pouvoir a mis le pays dans une pente dangereuse. C'est seulement avec le régime de Macky Sall, précise-t-il, qu'on a connu des débats sur l'appartenance ethnique ou confrérique. Ousmane Sonko a donné des nouvelles de sa tournée. "En faisant l'intérieur du pays, je me suis rendu compte que les Sénégalais ne veulent plus de Macky, qui compte faire un forcing en 2024, en passant par la terreur en emprisonnant et en tuant".
Un "forcing" face auquel, le leader de Pastef compte bien constituer barrage, en poursuivant "la dynamique enclenchée lors des dernières élections locales et législatives".
Amy Ndiaye, regrette-t-on, "a été applaudie après sa déclaration. Ce qui prouve qu'elle a été soutenue par ses camarades". Birame Soulèye Diop a réitéré sa volonté de voir la députée de Benno Bokk Yakaar, présenter ses excuses devant l'hémicycle. Ce qu'aurait refusé Amy Ndiaye.
Mais, le leader de Pastef, Ousmane Sonko estime que les députés de Benno Bokk Yakaar peinent "à suivre le niveau du débat imposé par l'opposition". Ces derniers "n'ont pour argument que l'insulte". Tant que les insultes sont dirigées vers les leaders de Yewwi, "il n'y a pas de soucis". Reprenant Abba Mbaye, le leader de Pastef a considéré que "la ligne rouge a été franchie".
"Je n'aurai jamais pensé qu'on en arriverait à ce qu'un député puisse avoir le courage d'insulter un guide religieux au sein même de l'hémicycle". Ousmane Sonko a rappelé ses "alertes" qu'il disait lancer depuis des années, considérant que l'on joue avec le feu.
D’après Ousmane Sonko, le pouvoir a mis le pays dans une pente dangereuse. C'est seulement avec le régime de Macky Sall, précise-t-il, qu'on a connu des débats sur l'appartenance ethnique ou confrérique. Ousmane Sonko a donné des nouvelles de sa tournée. "En faisant l'intérieur du pays, je me suis rendu compte que les Sénégalais ne veulent plus de Macky, qui compte faire un forcing en 2024, en passant par la terreur en emprisonnant et en tuant".
Un "forcing" face auquel, le leader de Pastef compte bien constituer barrage, en poursuivant "la dynamique enclenchée lors des dernières élections locales et législatives".