Et qu’elle était bâillonnée pour ne pas divulguer le viol.
Les avocats ont affirmé que les spécialistes de la réputation avaient été employés par Ronaldo au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Portugal pour discréditer Mayorga, affirmant qu’elle avait été agressée sexuellement par le footballeur à Las Vegas en 2009.
Selon Leslie Stovall, l’un des avocats de Mayorga, les spécialistes de la réputation ont suivi Mayorga, 34 ans, pour constituer un dossier secret sur sa vie, tout en cultivant une «source confidentielle» au département de police de Las Vegas.
M. Stovall affirme que les «réparateurs» ont contraint l’ancien modèle à accepter 375 000 dollars pour ne jamais discuter de l’agression présumée dans la suite de Ronaldo au prix de 775 £ la nuit au Palms Palace.
Les papiers remis à l’avocat par le site Web de dénonciation, Football Leaks, détailleraient l’utilisation faite par la star des responsables de la réputation. M. Stovall s’est déjà plaint à la police de Las Vegas et souhaite à présent que le FBI, Scotland Yard, et la police portugaise enquêtent.
Il a dit à Mirror:
Je vais renvoyer les documents [aux enquêteurs]pour déterminer s’ils ont commis ou non des infractions pénales (…): complot d’entrave, obstruction, fraude criminelle et diffamation criminelle.
La semaine dernière, Mme Mayorga a tenté d’annuler son accord de confidentialité de 2010 en affirmant qu’elle avait été forcée à le signer.
Ronaldo, 33 ans, a, à plusieurs reprises nié les prétentions de Mme Mayorga. Il a tweeté:
Je nie fermement les accusations… Le viol est un crime abominable qui va à l’encontre de tout ce que je suis et dans lequel je crois.
Aussi désireux que je puisse me vanter, je refuse de nourrir le spectacle médiatique créé par des personnes cherchant à se faire connaître à mes dépens. Ma conscience tranquille me permettra d’attendre avec tranquillité les résultats des enquêtes.
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