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Santé

Votre bébé est patraque, il pleurniche, ne veut rien manger… Premier réflexe : prendre sa température. Il a plus de 38,5 °C. Pas d’affolement ! La fièvre est un symptôme banal qui n'est pas dangereux, à condition de respecter certaines règles.


Les bons gestes quand bébé a de la fièvre
La fièvre n'est pas une maladie en soi. Il s'agit en fait d'une réaction naturelle et utile de l'organisme qui lui permet de se défendre face à une infection ou une inflammation. Selon son degré, adoptez les bons réflexes.

Fièvre de 38 °C à 40 °C, comment réagir selon l'âge de votre bébé ?
On considère qu'il y a fièvre à partir de 38 °C. Entre 36,5 et 37,5 °C, continuez à observer votre enfant et reprenez sa température dans quelques heures si cela vous semble utile.

De 38 °C à 38,5 °C :
• Votre enfant a moins de 3 mois, donnez-lui du paracétamol et consultez votre médecin dans la journée, même s'il semble aller bien.
• Il a plus de 3 mois : s'il n'est pas gêné dans ses activités et ne ressent pas d'inconfort, inutile de lui donner du paracétamol. Patientez, à condition de le surveiller et de contrôler sa température toutes les deux ou trois heures

De 38,5 °C à 39,5 °C :
• Votre enfant a moins de 3 mois : donnez-lui du paracétamol, appelez immédiatement votre médecin.
• Il a entre 3 et 6 mois : donnez-lui du paracétamol, avec des doses espacées toutes les six heures.
• Au-delà de 6 mois, s'il joue, mange et n'est pas grognon, il n'y a pas d'urgence à lui donner du paracétamol, à condition de le surveiller et de contrôler sa température régulièrement. En revanche, traitez-le si vous constatez un changement dans ses habitudes ou qu'il se plaint d'avoir mal.

Si cette fièvre persiste plus de 48 heures ou s'accompagne d'autres symptômes (vomissements, diarrhées, respiration sifflante, refus de s'alimenter, maux de tête, mal d'oreille, pleurs incessants, éruption cutanée…), il est préférable de consulter dans la journée.

Au-delà de 39,5 °C : donnez du paracétamol et consultez un médecin rapidement.

Le paracétamol, le médicament antipyrétique de référence chez le bébé
Avant 6 mois, le paracétamol est le seul médicament antipyrétique recommandé. Donner de l'aspirine à un enfant en bas âge n'est pas recommandé en raison du risque d'effets indésirables digestifs, rénaux et d'un risque très rare, mais grave, de syndrome de Reye. … Quant à l'ibuprofène et le kétoprofène, autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, il n'est pas souhaitable de les donner sans avis médical, car ils sont contre-indiqués dans certains cas d'infections virales, notamment la varicelle.

L'administration de paracétamol ne doit pas dépasser 60 mg/kg/jour, à répartir entre quatre ou six prises, soit environ 15 mg/kg toutes les six heures (respecter un délai de quatre heures entre deux prises). Privilégiez sa forme sirop, déjà graduée en dose-kilo.

L'administration d'ibuprofène (chez l'enfant de plus de 3 mois) ne doit pas dépasser 20 à 30 mg/kg/jour, à répartir entre quatre prises.

Pour limiter tout risque de surdosage, il est important d'utiliser la cuillère-dose ou la pipette fournie avec le médicament. Eviter de recourir à une cuillère à café ou à soupe, pas assez précise. Respecter la dose indiquée par le médecin ainsi que l'intervalle préconisé entre deux prises.

Il est contre-indiqué d'associer simultanément plusieurs médicaments.

Les autres réflexes anti fièvre
• En dehors de l'administration de paracétamol, ne couvrez pas trop votre enfant, même s'il frissonne. C'est même l'inverse : découvrez-le, quelle que soit la saison, et habillez-le avec des vêtements légers et en coton. Pour éviter tout risque de convulsion, il peut être utile de retirer sa turbulette épaisse quand il dort, et de juste le recouvrir avec un drap léger. La température dans la pièce à vivre et la chambre ne doit pas dépasser 19 °C.
• Donnez régulièrement à boire à votre bébé. Chez un enfant en bas âge, il est important de prévenir tout risque de déshydratation.
• Pendant longtemps, il a été conseillé de baigner un enfant fiévreux dans une eau dont la température est inférieure de 2 °C à celle de l'enfant. Cette méthode n'est plus aujourd'hui préconisée car son efficacité ne semble pas probante.

L’angoisse des convulsions

C'est une des craintes majeures des jeunes parents : que leur bébé convulse lorsqu'il a de la fièvre. Ceci se comprend car les convulsions sont impressionnantes : l'enfant alterne pendant quelques minutes des phases d'enraidissement et d'agitation liées aux spasmes musculaires.

Les convulsions demandent une prise en charge médicale en urgence pour mettre l'enfant hors de danger. Mais pas de panique… Tous les enfants ne sont pas égaux face aux convulsions : ce risque ne concerne que 2 à 5 % d'entre eux, qui appartiennent plutôt à des familles prédisposées. Ce risque disparaît totalement après l'âge de 5 ans.

Comment prendre la température chez le bébé et l'enfant

Avoir un bon thermomètre paraît être une évidence et pourtant... Saviez-vous que les thermomètres électriques à affichage digital sont les plus fiables et les plus pratiques ? L'utilisation recommandée reste celle par voie rectale. Choisir un modèle à sonde flexible, plus "confortable" surtout chez le bébé.

En pratique quotidienne chez un enfant de plus de deux ans, on peut recourir à deux autres méthodes, moins précises mais moins stressantes :
• Le thermomètre électronique à utiliser dans la bouche ou sous les aisselles (inconvénient : la température est souvent sous-estimée),
• Le thermomètre à infrarouge auriculaire (déconseillé chez un bébé de moins de six mois et peu fiable en cas d'otite) ou temporal.

A savoir : chez le nouveau-né, la prise de la température sous les aisselles est comparable à la mesure rectale.





santemagazine.fr

A l'occasion de la Journée Mondiale contre le Cancer, l'Institut Curie fait le point sur les avancées prometteuses en matière de détection des tumeurs dans le sang des patients.


Détecter le cancer à partir d'une prise de sang : c'est déjà une réalité

On les appelle "biomarqueurs tumoraux circulants" : des indices semés par la tumeur cancéreuse dans le sang des patients. "Ces biomarqueurs sont porteurs d'un grand nombre d'informations utiles pour le suivi du patient. Toute la difficulté consiste à les détecter et à déterminer leur signification", explique le Pr François-Clément Bidard, oncologue médical et chercheur à l'Institut Curie, qui mène des projets de recherche sur le sujet aux côtés du Pr Jean-Yves Pierga et de Charlotte Proudhon dans le laboratoire des Biomarqueurs Tumoraux Circulants.

Bientôt la biopsie liquide sera une routine

Grâce à une simple prise de sang, sorte de "biopsie liquide", les chercheurs et médecins espèrent révolutionner la prise en charge des cancers. Les attentes sont nombreuses, notamment pour détecter les lésions cancéreuses avant même qu'une tumeur ait réellement commencé à se développer ou à réapparaître après un traitement.

"Nous n'avons jamais été aussi proches d'utiliser en routine cette biopsie liquide pour lutter contre certains cancers", ajoute le Pr François-Clément Bidard.

Valider le traitement dans le cancer du poumon

L'utilisation la plus aboutie des biomarqueurs circulants est celle d'aide au diagnostic et à la décision thérapeutique. Lorsqu'une biopsie classique est trop difficile à réaliser chez un patient, une recherche d'altérations spécifiques de l'ADN est effectuée grâce à une simple prise de sang. La prise de sang reste en effet un geste médical simple, rapide, peu douloureux en comparaison à une biopsie tissulaire. Cette utilisation est complètement validée depuis 2014, dans les cancers du poumon et réalisée de manière quotidienne à l'Institut Curie.

Pour les médecins et chercheurs, les biomarqueurs tumoraux circulants offrent aussi la possibilité de préciser le pronostic d'un cancer ou de déceler rapidement une résistance à un traitement.

D'autres recherches sont en cours pour améliorer la sensibilité de ces techniques de traitements et d'analyses des biopsies liquides. L'objectif : mettre au point des méthodes pouvant être standardisées et utilisées en routine partout.




topsante.com
A dose thérapeutique, le paracétamol est sans risque car il est dégradé en métabolites non toxiques par une molécule présente dans l'organisme appelée glutathion qui se lie aux toxines pour les éliminer du corps.

Mais une surdose de paracétamol ou des prises élevées et fréquentes de cet antidouleur, diminuent les réserves en glutathion du foie, le rendant plus vulnérable.

D'autres médicaments peuvent aussi voir des effets délétères sur le foie : les statines (pour réguler le taux de cholestérol), les corticoïdes, les antifongiques (pour traiter les infections dues à des champignons) ainsi que certaines pilules contraceptives et traitements hormonaux.





TopSante

La cigarette électronique, moins dangereuse que les cigarettes classiques ? Rien n’est moins sûr selon les résultats d’une étude. D’après les chercheurs, le vapotage représenterait un plus grand risque de contracter certains cancers et de développer des maladies cardiaques. Et ce malgré le fait qu’elles contiennent moins de substances cancérogènes. Une conclusion tirée d’expériences menées pendant des mois sur des souris, dont l’ADN a été endommagé.


Cigarette électronique : vapoter peut être encore plus dangereux que fumer des cigarettes classiques

La cigarette électronique serait belle et bien nocive, et peut-être même plus que les cigarettes traditionnelles sur certains aspects. C’est le résultat d’une étude menée par des chercheurs de la faculté de médecine de l’université de New York, qui ont exposé des souris pendant douze semaines à la vapeur de nicotine. Les conséquences sur leur organisme ne se sont pas faites attendre, comme le relaie Le Parisien.

« Bien que les cigarettes électroniques contiennent moins de substances cancérogènes que les cigarettes conventionnelles, le vapotage pourrait présenter un risque plus grand de contracter un cancer pulmonaire ou de la vessie ainsi que de développer des maladies cardiaques », affirment les chercheurs dans un article publié dans la revue scientifique « Comptes-rendus de l’Académie nationale des sciences des États-Unis d’Amérique ».

La cigarette électronique augmente le risque de cancer

Lors de leurs expériences, ils ont constaté des dommages importants dans l’ADN des cellules des poumons, de la vessie et du cœur des souris. Ces cellules contenaient également moins de protéines réparatrices que chez des souris n’étant pas exposées à la vapeur de nicotine. L’étude souligne que les trois mois d’exposition pour les rongeurs équivalent à environ dix ans de vapotage pour les humains. Bien sûr, le chiffre varie énormément selon la consommation.

Des effets comparables ont été observés sur des cellules humaines de poumons et de vessies, confirmant les dangers de la cigarette électronique. Mais il reste difficile de savoir si elles sont plus néfastes que les classiques, d’autres études viendront étayer ce cas épineux. Quoiqu’il en soit, les deux ne sont pas recommandables.

« En France, le tabagisme est la première cause de mortalité évitable, avec environ 66 000 décès chaque année. En moyenne, un fumeur régulier sur deux meurt prématurément des causes de son tabagisme, et la moitié de ces décès se situe entre 35 et 69 ans », selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes).

Ne baissez jamais les bras face au moustique, et vous aurez beaucoup plus de chance d'être épargné : c'est ce que nous apprend une étude américaine récemment publiée.


Pour dissuader un moustique de nous piquer, rien de mieux que d'essayer de l'écraser

Dès les premières chaleurs, il y a toujours celui ou celle qui se fait davantage dévorer par les moustiques, malgré la citronnelle et le répulsif dont il ou elle s'est paré(e). Si vous êtes cette personne, voici peut-être venue la fin de tout ou partie de votre problème.

VOIR AUSSI : Pourquoi les moustiques ciblent certaines personnes et pas d'autres

Dans une étude publiée jeudi 18 janvier dans la revue scientifique Current Biology et relayée par le New York Times, on apprend que les moustiques sont en fait très sensibles à nos comportements lorsqu'ils veulent nous piquer. En effet, ils seraient en mesure d'associer les vibrations produites lorsqu'ils sont menacés par l'homme, avec l'odeur du corps humain. Ainsi, si vous avez essayé de tuer un moustique en faisant de grands gestes, il imprimera rapidement l'information "cet humain m'est hostile" en associant les vibrations de vos mouvements avec votre odeur, et ne cherchera normalement plus à vous attaquer par la suite.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs de l'Université de Washington qui ont mené cette étude ont placé des moustiques et plusieurs odeurs dans un vortex créant des vibrations similaires à celles d'une main voulant gifler un avant-bras, mais le ratant de peu. En seulement 15 minutes, les moustiques avaient associé les odeurs témoins aux vibrations, et préféraient se tourner vers de nouvelles odeurs inconnues insérées dans d'autres zones du vortex.

Le vortex dans lequel les moustiques ont été placés pour l'expérience.Kiley Riffell

Cette information de danger est restée vivace près de 24 heures chez les moustiques de laboratoire, puisqu'ils continuaient un jour après le début de l'expérience de se tourner vers un chemin "nouveau" proposé par les scientifiques, dans lequel il n'y avait pas d'odeurs qu'ils connaissaient.

Les scientifiques américains précisent ensuite que la dopamine serait la responsable de cette mémorisation olfactive. En effet, en modifiant génétiquement les récepteurs de dopamine de certains cobayes, cette faculté à discerner le danger ne serait plus active.

Outre nous épargner de pénibles piqûres, cette découverte pourrait surtout permettre de mettre au point des moyens plus efficaces pour éviter les piqûres, et donc la possible transmission de maladies graves par les moustiques comme la dengue, le virus du Zika ou encore la fièvre jaune.

 

Un patient touché par la grippe peut transmettre sa maladie simplement en respirant, l'air expiré contenant des micro-particules virales.


Le virus de la grippe peut être transmis par la respiration, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Proceedings of the National Academy of Sciences.

Les chercheurs de l'université du Maryland aux Etats-Unis, ont capturé et étudié le virus de la grippe dans le souffle expiré de 142 cas confirmés de personnes atteintes de la grippe au moment où ils respiraient, parlaient, toussaient et éternuaient et pour évaluer leur caractère infectieux.

L'analyse du virus infectieux a montré qu'un nombre important de patients infectés par la grippe, étaient contagieux avec leur simple respiration.

"Les personnes atteintes de grippe génèrent des aérosols infectieux (de minuscules gouttelettes qui restent en suspension dans l'air pendant une longue période), même lorsqu'elles ne toussent pas, surtout pendant les premiers jours de la maladie. Donc, quand quelqu'un attrape la grippe, il devrait rentrer chez lui et ne pas rester sur le lieu de travail et infecter les autres", a déclaré le Dr Milton, professeur de santé environnementale à l'Université de Maryland School of Public Health et chercheur principal de cette étude.

RÉDUIRE LE RISQUE DE CONTAGION
Ces conclusions pourraient être utilisées pour améliorer les modèles mathématiques du risque de transmission de la grippe par voie aérienne chez les personnes atteintes de la maladie. Les résultats peuvent également permettre de développer des interventions de santé publique plus efficaces et de contrôler et réduire l'impact des épidémies de grippe et des pandémies. Des améliorations pourraient être apportées aux systèmes de ventilation afin de réduire les risques de transmission dans les lieux publics tels que les bureaux, les salles de classe et les voitures de métro.

"Les résultats de l'étude suggèrent que garder les surfaces propres, se laver les mains tout le temps, et éviter les personnes qui toussent, ne fournit pas une protection complète contre la grippe", a déclaré Sheryl Ehrman, Don Beall Doyen du Collège Charles W. Davidson à l'Université d'État de San Jose. "Rester à la maison et sortir des espaces publics pourrait faire une différence dans la propagation du virus de la grippe".



TopSante
Découvrez la liste des médicaments qu’il faut éviter à tout prix, pour rester en parfaite santé !
Récemment, un test très concluant a été effectué sur les médicaments vendus en pharmacie et sans ordonnance. Sur cette liste, figure principalement des médicaments contre la toux, le rhume, les maux de gorge, les troubles intestinaux et la grippe.

Il se trouve également que sur cette liste non-exhaustive, près de la moitié des médicaments sont à « proscrire » selon le magazine 60 millions de consommateurs. Sur les 62 médicaments qui ont été passés au peigne fin, sous le contrôle d’un pharmacologue clinicien, seuls 21 % d’entre eux sont à privilégier.

En première place de cette fameuse liste noire, on retrouve les médicaments anti-rhume comme Actifed Rhume, Dolirhume et Nurofen Rhume.

Il se trouve que ces médicaments sont composés de trois principaux actifs : un vasoconstricteur (nez bouché), un antihistaminique (nez qui coule) et du paracétamol ou de l’ibuprofène (mal de tête). Pour cette raison, ce cocktail peut être à l’origine de surdosage ou d’effets indésirables gravissimes tels que des accidents cardiovasculaires, neurologiques, vertiges. « En somme pour décongestionner un nez bouché, on met un bazooka à la disposition des malades », selon ce hors-série qui évoque notamment la pseudoéphédrine. « Cette substance expose à des risques d’accidents cardio-vasculaires et d’AVC », observe le professeur Giroud qui qualifie ces médicaments à proscrire de « dangereux ».

« Ils devraient être retirés du marché », selon le magazine.
En ce qui concerne les médicaments destinés à soulager la toux, le bilan n’est guère davantage satisfaisant, car près, 60 % est à proscrire.

« C’est l’hécatombe par rapport à l’étude que nous avions réalisée en 2015, où il y avait 35 % de médicaments à privilégier et seulement 50 % à proscrire », écrit la revue.

Cette situation découle du fait que depuis le mois de juillet, la majorité des sirops et des comprimés à base de dextrométhorphane, ne sont désormais plus accessibles sans ordonnance.

Dans chaque pays, il existe quasiment près de 4 000 médicaments en vente sans ordonnance, et parmi eux, près de 600 sont en accès direct en pharmacie. « Il y a un problème d’information, le public ne connaît les médicaments que par la publicité, or elle n’est pas véritablement informative », déplore le clinicien.

Plusieurs autres médicaments et d’autres produits de pastilles tels que Strefen sans sucre présentent aussi des risques d’hémorragies assez élevés. Mais selon le théoricien, même si le risque zéro n’existe pas, il faudrait tout de même veiller à réduire le taux d’auto-médication.






Source : afrikmag.com
Ghana: Elle perd la vue dans ses tentatives de se blanchir la peau

Le blanchiment de la peau est devenu une pratique courante tant chez les femmes que chez les hommes. Selon les médecins, les effets de cette pratique sont dévastateurs mais plusieurs personne s’entêtent à changer la couleur de leur peau.

L’une des récentes victimes, une femme âgée d’une soixantaine d’années a récemment partagé son expérience effrayante. Elle a révélé qu’à force de se blanchir la peau, elle a perdu la vue. Il lui a fallu l’intervention de ses enfants qui ont payé la somme de 8 000 Cedis aux médecins de l’hôpital universitaire de Korle-Bu (Ghana), pour une chirurgie oculaire.

L’hydroquinone, une substance de blanchiment contenue dans la crème qu’elle utilisait, était entrée en contact avec ses yeux.  Elle a révélé que ses envies démesurées de devenir claire au début de la vingtaine, l’ont poussée à utiliser toutes les crèmes de blanchiment sur le marché.

« J’étais une très belle femme quand j’étais une jeune fille et je voulais être plus belle et claire et chaque fois que j’entendais parler d’une nouvelle crème de blanchiment sur le marché, je l’achetais », a-t-elle révélé lors d’une interview accordée à GhanaOne TV.

Après sa chirurgie à Korle Bu, les médecins lui ont conseillé de rester à l’écart des crèmes de blanchiment, soulignant que si elle redevenait aveugle, ce serait pour la vie, un conseil qu’elle a mis en pratique.

Cependant, sa peau a subi un dommage permanent. Tantine Kai, comme on l’appelle, a la peau complètement brûlée.

Aujourd’hui cette dernière déconseille cette pratique aux jeunes filles car selon elle « le blanchiment de la peau n’a aucun avantage, seulement des regrets et des infections cutanées à long terme ».
 

Les experts médicaux affirment que l’hydroquinone contenue dans les crèmes de blanchiment affecte non seulement les yeux mais aussi d’autres organes du corps. Elle peut également causer de graves problèmes de santé tels que l’hypertension, le diabète et même les maladies mentales.

Des menstrues en retard ou momentanément bloquées sans grossesse, constituent une situation qui arrive fréquemment dans la vie d’une femme.


Vouloir déclencher ses règles pour des convenances personnelles ou pour contourner certains maux, est tout à fait légitime. Voici 3 remèdes naturels pour déclencher des règles en retard.

Le persil pour déclencher les règles
– Prenez un demi bouquet de persil que vous hacherez grossièrement, et ajoutez-le dans une casserole d’eau bouillante.
– Laissez infuser jusqu’à ce que le liquide devienne complètement vert.
– Filtrez le liquide dans une tasse en y ajoutant une cuillère à soupe de miel.
– Buvez une tasse de ce remède 3 fois par jour pour plus d’efficacité.

La particularité du persil est qu’il va permettre de stimuler les contractions de votre utérus et donc l’arrivée de vos règles. Pensez cependant à consulter votre médecin ou votre gynécologue si votre cycle menstruel est irrégulier.

Aliments riches en vitamines C
Cette vitamine aide à produire naturellement des œstrogènes qui entraînera, si vos règles sont en retard, que les parois de l’utérus se contractent et se produise le saignement attendu. Bien que vous pouvez obtenir des suppléments de cette vitamine, il est préférable que vous incluiez dans votre alimentation des produits riches en vitamine C comme l’orange, le citron, la papaye, le thé vert, le gingembre, les épinards, le chou, les haricots verts et petits pois parmi beaucoup d’autres options.

Infusion de cannelle pour déclencher les règles
Une autre astuce très utilisée, car il s’agit d’un remède de grand-mère très connu pour faire venir les règles, est de boire une infusion de cannelle, une épice connue par favoriser la menstruation et soulager les douleurs au niveau du ventre. Il est recommandé de prendre une tasse chaude matin et soir.





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