La chanteuse et danseuse, doublée du statut d’animatrice à la radio Sénégal Fm, se dit ravie de voir les femmes suivre ses pas. Trouvée dans son lieu de travail, Soda Bousso, toujours égale à elle-même, bien sapée dans son ensemble trois pièces «Obasanjo», bien brodé de couleur marron orange, cousu avec un tissu «Brocard», confie : «C’est parce que j’aime m’habiller bien que je porte ça. Je vous avoue, d’ailleurs, que c’est mon style depuis ma tendre enfance. Parce que je tiens à mon corps et je ne veux pas exhiber mes parties sensibles. C’est pourquoi j’ai fait de cette façon de m’habiller mon style et tous les gens qui me connaissent le savent».
Et d’ajouter à l’intention de ceux-là qui pensent qu’elles s’habillent de la sorte parce que ces tenues sont moins chères : «Au contraire, ce sont des tissus chers, de valeur, comme le ‘Brocard’ qui a été porté par la femme Bécaye Mbaye lors de son drapeau de lutte. Personnellement, je fais coudre ce modèle avec des tissus de valeur dont les coûts peuvent aller jusqu’à 200 000 francs».
«Je suis fière de voir que les jeunes filles et aussi les grandes dames commencent à faire comme moi en s’habillant de la sorte, en mode ‘Obasanjo’. Car une femme doit se respecter. Et le fait de s’habiller de façon indécente peut faire perdre à la femme sa valeur», souligne-t-elle en notant que si le modèle était connu jusque-là comme un boubou pour homme, il est toujours possible d’opérer des variations pour lui donner un style féminin.
«Porter une tenue connue pour les hommes ne veut pas forcément dire que l’on est masculin ou un garçon manqué. Non ! De mon point de vue, c’est juste un habillement qui s’adapte à la personne. Et c’est différent de ce que représente la personnalité de la personne en question. Je trouve même que le fait qu’une femme porte ce genre d’habits doit nous amener à nous inspirer du courage que les hommes ont par rapport à la bravoure et au sens du travail pour participer au développement du pays. C’est aussi pour dire que là où on voit un homme, une femme peut et doit être à ses côtés». Soda Bousso révèle qu’à 95%, ses habits sont cousus selon le modèle «Obasanjo», même si elle a quand même d’autres habits typiquement réservés aux femmes.
SOURCE:Popxibaar.com
Et d’ajouter à l’intention de ceux-là qui pensent qu’elles s’habillent de la sorte parce que ces tenues sont moins chères : «Au contraire, ce sont des tissus chers, de valeur, comme le ‘Brocard’ qui a été porté par la femme Bécaye Mbaye lors de son drapeau de lutte. Personnellement, je fais coudre ce modèle avec des tissus de valeur dont les coûts peuvent aller jusqu’à 200 000 francs».
«Je suis fière de voir que les jeunes filles et aussi les grandes dames commencent à faire comme moi en s’habillant de la sorte, en mode ‘Obasanjo’. Car une femme doit se respecter. Et le fait de s’habiller de façon indécente peut faire perdre à la femme sa valeur», souligne-t-elle en notant que si le modèle était connu jusque-là comme un boubou pour homme, il est toujours possible d’opérer des variations pour lui donner un style féminin.
«Porter une tenue connue pour les hommes ne veut pas forcément dire que l’on est masculin ou un garçon manqué. Non ! De mon point de vue, c’est juste un habillement qui s’adapte à la personne. Et c’est différent de ce que représente la personnalité de la personne en question. Je trouve même que le fait qu’une femme porte ce genre d’habits doit nous amener à nous inspirer du courage que les hommes ont par rapport à la bravoure et au sens du travail pour participer au développement du pays. C’est aussi pour dire que là où on voit un homme, une femme peut et doit être à ses côtés». Soda Bousso révèle qu’à 95%, ses habits sont cousus selon le modèle «Obasanjo», même si elle a quand même d’autres habits typiquement réservés aux femmes.
SOURCE:Popxibaar.com
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