Quoi qu’il en soit, c’est le tribunal de Dakar que Titi a saisi, depuis un bon bout de temps, qui devrait dire qui, de la star ou du mari exilé, a raison dans le différend qui oppose le couple et qui perdure.
Mais déjà, il y en a qui trouvent que Titi perd son temps à poursuivre un mari insaisissable. Et pourquoi donc ? Parce qu’en Italie, renseignent- ils, il y a trop de jolies filles pour que certains époux n’en arrivent pas à oublier leurs épouses légitimes laissées au pays, s’ils ne les relèguent pas tout simplement en deuxième division, comme on dit au foot. Des beautés du diable, aussi bien du côté des sénégalaises émigrées, que de celui des autochtones. «Rakh si doli», il y en aurait de tellement fortunées, qu’avec leur argent de poche, elles seraient capables de payer un ministre sénégalais de l’après-Alternance. Ainsi, de là à penser que Ass aurait succombé aux sirènes d’une nymphe qui vit sur ces terres presque saintes, certains ont vite fait de franchir le pas, avant de conseiller à la chanteuse d’aller voir ailleurs, persuadés qu’elle ne perd rien au change.
D’autres, en revanche, plus prudents dans des histoires de ménage qui finissent souvent en eau de boudin, n’en estiment pas moins que Titi se devrait de faire une introspection, et un deuil de ce Hadj qu’elle ne verrait plus, même si elle en est encore amoureuse. Sûrs qu’un mari qui ne donne plus de nouvelles doit être entre de bonnes mains, ils suggèrent à la chanteuse de reprendre sa liberté et de regarder autour d’elle, pour voir combien ils sont nombreux les cœurs qu’elle a conquis, qui peuvent subvenir à tous ses besoins et assurer son bonheur ici au Sénégal.
A cet effet, ils lui ont dressé une longue liste, avec un nombre important de noms insoupçonnés. Une liste que j’ai eu la chance de consulter, et dont je peux assurer tout de suite, qu’elle ne compte pas un seul libéral (qui est fou avec toutes ces histoires d’audits ?)
En revanche, du côté du pouvoir, il y a quelques profils intéressants de prétendants. Mais, comme la plupart d’entre eux étaient mariés avant de venir au pouvoir, et qu’épouser une seconde femme, par ces temps, c’est presque inviter la brigade criminelle ou la DIC chez soi, vous voyez bien qu’ils sont paralysés.
Vous voulez des noms ? Faites un tour au journal.
Cébé
REWMI QUOTIDIEN
Mais déjà, il y en a qui trouvent que Titi perd son temps à poursuivre un mari insaisissable. Et pourquoi donc ? Parce qu’en Italie, renseignent- ils, il y a trop de jolies filles pour que certains époux n’en arrivent pas à oublier leurs épouses légitimes laissées au pays, s’ils ne les relèguent pas tout simplement en deuxième division, comme on dit au foot. Des beautés du diable, aussi bien du côté des sénégalaises émigrées, que de celui des autochtones. «Rakh si doli», il y en aurait de tellement fortunées, qu’avec leur argent de poche, elles seraient capables de payer un ministre sénégalais de l’après-Alternance. Ainsi, de là à penser que Ass aurait succombé aux sirènes d’une nymphe qui vit sur ces terres presque saintes, certains ont vite fait de franchir le pas, avant de conseiller à la chanteuse d’aller voir ailleurs, persuadés qu’elle ne perd rien au change.
D’autres, en revanche, plus prudents dans des histoires de ménage qui finissent souvent en eau de boudin, n’en estiment pas moins que Titi se devrait de faire une introspection, et un deuil de ce Hadj qu’elle ne verrait plus, même si elle en est encore amoureuse. Sûrs qu’un mari qui ne donne plus de nouvelles doit être entre de bonnes mains, ils suggèrent à la chanteuse de reprendre sa liberté et de regarder autour d’elle, pour voir combien ils sont nombreux les cœurs qu’elle a conquis, qui peuvent subvenir à tous ses besoins et assurer son bonheur ici au Sénégal.
A cet effet, ils lui ont dressé une longue liste, avec un nombre important de noms insoupçonnés. Une liste que j’ai eu la chance de consulter, et dont je peux assurer tout de suite, qu’elle ne compte pas un seul libéral (qui est fou avec toutes ces histoires d’audits ?)
En revanche, du côté du pouvoir, il y a quelques profils intéressants de prétendants. Mais, comme la plupart d’entre eux étaient mariés avant de venir au pouvoir, et qu’épouser une seconde femme, par ces temps, c’est presque inviter la brigade criminelle ou la DIC chez soi, vous voyez bien qu’ils sont paralysés.
Vous voulez des noms ? Faites un tour au journal.
Cébé
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